mm a écrit :Salut,
Comme vous le savez, des Trollino12 ont ėtė commandé, ce qui va entraîner la rėforme des 11 Cristalis stėphanois à l'horizon 2021.
Je me demandais si le Sytral ne serait pas intėrėsser de les récupėrer pour pièces voir ppur certain en ėtat de marche de les introduire sur le rėseau lyonnais qui manque cruellement faute d'une fiabilitė mėdiocre, ce qui accentuerait un taux de rėserve raisonnable.
BBArchi a écrit :Il y a des trolleybus à San Francisco, California… j’avais découvert l’info, mais sans avoir l’idée de regarder de plus près. Carence réparée... et ça m'a donné l'idée d'en faire profiter les amis
A+
Airbus a écrit :A propos de trolleybus lyonnais, j'ai noté avec surprise que lors de l'épisode de pollution de la semaine dernière, presque toutes nos lignes étaient exploitées en thermique, mais vous avez peut être débattu de ce cas étrange ?
maxc19 a écrit :Airbus a écrit :A propos de trolleybus lyonnais, j'ai noté avec surprise que lors de l'épisode de pollution de la semaine dernière, presque toutes nos lignes étaient exploitées en thermique, mais vous avez peut être débattu de ce cas étrange ?
Il me semble que le sytral avait fait un post sur Twitter pour dire que les trolleys étaient en révision. Et le timing a fait que ça tombe pile pendant le pic de pollution
BBArchi a écrit :(Il y a aussi un genre de Lyon City Tour, avec bus cabriolet, sur Haight St. Mais ça, ce n’est pas du trolley, et les lacs sont bien plus bas qu’à Lyon, je me demande comment ça se passe dans certains cas, si les passagers se lèvent ?
yanns040586 a écrit :Les lignes E et F, ce sont celles avec les trams historiques. Ils sont donc tous à perches ? Intéressant comme "réduction de l'impact visuel" !
Dldwg a écrit :Un "trolley" aux USA ça peut être un tramway, un trolleybus voir même les cable car.
Alain a écrit :Dldwg a écrit :Un "trolley" aux USA ça peut être un tramway, un trolleybus voir même les cable car.
J'avais retenu qu'aux Etats-Unis, "trolley" signifait un tramway à perche à l'ancienne et était généralement synonyme de "streetcar" (même si les plus récents ont un pantographe), le tram moderne en site propre étant plutôt un "light rail". Quant au trolleybus, j'en étais resté à "trackless trolley". C'est juste ? Obsolète ?
NB : ceux qui ont vu la version française de "Qui veut la peau de Roger Rabbit" https://fr.wikipedia.org/wiki/Qui_veut_la_peau_de_Roger_Rabbit, dont l'intrigue se déroule à l'époque du démantèlement du réseau de trams de Los Angeles, se souviennent peut-être de l'erreur de doublage en français, où le mot "trolley" est employé à la place de "tramway".
“ On s’intéresse au trolley ” Les objectifs fixés par le plan de déplacements urbains visent, d’ici 2023, à diminuer la part de la voiture à 47 % et à faire progresser celle du bus à 13 % (20 % en 2030). Comment ? « En proposant des mesures incitatives », explique le maire de Joué-lès-Tours. C’est donc avec un réseau de transports en commun encore plus adapté et plus complet que la collectivité espère convaincre les usagers de laisser leur voiture au garage.
Qui dit transports en commun, dit aujourd’hui tramway. « Le tram change les habitudes », rappelle l’élu en s’appuyant la réussite jamais remise en cause de la première ligne (44 % de la fréquentation totale du réseau Fil bleu en 2018).
La mise en service de la deuxième ligne, à l’horizon 2024-2025, puis l’espoir d’une troisième, vont dans ce sens. « On s’intéresse aussi au trolleybus qui présente l’avantage de rouler jusqu’à 40 % du temps sans caténaire, ce qui limite le coût de l’équipement. »
Adapté au cœur de la métropole, le tram (ou le trolley) ne l’est en revanche pas pour la première couronne. Sans tram, avec des passages de bus moins fréquents, les habitants de certaines communes limitrophes n’ont d’autre choix que de prendre leur voiture. La Métropole a ainsi demandé à Keolis Tours, l’exploitant du réseau Fil bleu, de mettre sur pied un système de transports à la demande qui ramènera les voyageurs vers les stations de tram. « Cela débutera en septembre et montera en puissance. »
Un bus TOSA nantais en test à Genève
Destiné à la ville de Nantes, un modèle à double articulation sillonne ces jours les rues genevoises. Et il pourrait s'y plaire. Vidéo: Lucien Fortunati
Mis à jour le 27.03.2019
Les dernières lignes installées.
Pôle d'échanges. Perchés sur leur nacelle, les monteurs des lignes haute tension qui alimentent grâce à leurs perches les trolleybus de la STCL sont en train de finir d'installer les fils au futur terminus des lignes 2 et 6 à La Bastide.
...
Découvrez les deux tracés du futur bus à haut niveau de service actés par Limoges Métropole
Lors du conseil communautaire du 27 mars, les élus de Limoges Métropole ont voté le lancement d'une nouvelle phase de concertation publique autour du projet de bus à haut niveau de service, dont les deux tracés ont été actés.
Le projet de Bus à haut niveau de service porté par Limoges Métropole « entre dans une deuxième phase » a expliqué le vice-président Gilles Bégout. Le tracé des deux lignes est acté : une ligne nord/sud de la ZI Nord/Beaubreuil au CHU en passant par la gare et l’hyper centre de Limoges, sur 13 km (hors terminus CHU et université) ; une ligne est/ouest de Panazol au Val de l’Aurence via l’hyper centre, sur 8,5 km.
Les deux tracés :
Leur déploiement s’accompagnera d’une réorganisation complète des services de bus pour en augmenter la fréquence. Dans les communes éloignées, le service devrait ainsi passer d’un bus par heure à un bus toutes les 30 minutes.
Une période de concertation publique – les habitants pourront notamment s’exprimer sur le positionnement précis des arrêts – sera ouverte du 20 mai au 30 juin. Une exposition présentera le projet, des réunions publiques seront organisées et un registre sera mis à disposition au siège de Limoges Métropole et dans les mairies de Limoges et Panazol.
albert liet a écrit :Retour de quelques CRISTALIS sur C 11 en service commercial. Photo prise ce jour.
Airbus a écrit :Pourquoi n'a-t-on pas profité de la GR des Cristalis pour unifier les girouettes en mode LED qui sont bien plus lisibles que les vieilles pastilles, surtout le soir car une rampe fluo est éteinte !?
Transport
A Limoges, les chauffeurs de trolley gardent la ligne
Il y a un code de la route des trolleys. M Morange, conducteur de trolley sur la ligne 4 (Pole St Lazare / Beaublanc) explique. © Brigitte AZZOPARD
Les chauffeurs de trolley doivent avoir les yeux partout. S’ils respectent le code de la route, ils doivent tenir compte des différentes indications qui se situent en l’air et au sol.
Christian Morange est l’un des chauffeurs attitrés de la ligne 4 qui relie le Pôle Saint-Lazare à Montjovis. Engagé il y a 16 ans à la STCLM (Société des Transport en Commun de Limoges Métropole), ce conducteur de bus a dû suivre une formation supplémentaire d’une semaine pour saisir les gestes et comprendre les indications nécessaires au déplacement du trolley. Une conduite très précise qui nécessite une forte concentration. « Je ne vous cache pas que mes premiers voyages étaient assez stressants. Il ne faut rien oublier », confie Christian Morange.
Se tenir au courant
Sur cette ligne par exemple, mais c’est pareil pour les autres, il y a trois sections. La première se situe avenue de la Révolution, la seconde devant le théâtre et la dernière rue de la Mauvendière. « Si une coupure de courant intervient, je peux rejoindre avec le moteur thermique la section suivante et poursuivre mon périple », explique Christian Morange.
Tendre la perche
Sur un écran situé proche du tableau de bord, il observe les perches. « Avant il y avait un rétroviseur », poursuit le chauffeur qui apprécie ces nouvelles technologies. L’aiguillage est une manipulation délicate. Des marques jaunes pour les bus simples, orange pour les articulés, peintes au sol indiquent là où il y a changement de direction. Là, Christian Morange doit actionner le bouton aiguillage. « Si je n’appuie pas, les perches n’accompagneront pas le véhicule dans la direction désirée et elles sortent ».
Les flèches lumineuses situées à 5 ou 6 mètres attirent l’attention sur le bon déroulement de la manœuvre….Bref?! C’est un métier
L'écran
Il remplace les rétroviseurs qui équipaient les anciens trolleys. Les caméras situées sur le toit du bus, diffusent les images et permettent d’observer les perches, de suivre leur déplacement avec plus de précision. Les séquences de déperchages certes sont rares mais sont observées avec attention par le chauffeur. Elles se font dans les goulottes!
Les marquages
Ils donnent des indications aux chauffeurs. Ils sont oranges pour les trolleys, articulés jaunes pour les plus petits véhicules.
Les flèches
Elles indiquent si le trolley peut ou non tourner. Une fois le bouton aiguillage actionné, la flèche indique la direction vers laquelle les perches et le véhicule doit se rendre.
L’aiguillage
L’aiguillage Une approche délicate qui nécessite un geste d’anticipation. Le chauffeur actionne le bouton aiguillage pour que le déplacement des perches soit cohérent avec celui du véhicule
Une approche délicate qui nécessite un geste d’anticipation. Le chauffeur actionne le bouton aiguillage pour que le déplacement des perches soit cohérent avec celui du véhicule.
Les goulottes
Elles délimitent les sections. Sur la ligne 4 qui relie le pôle Saint-Lazare et Montjovis, il y a trois sections.
Si une panne de courant intervient sur une section, le chauffeur du trolley actionne le moteur thermique qui lui permet d’atteindre la section suivante.
Le chauffeur se positionne sous les goulottes puis redresse les perches qui grâce à ces structures rejoignent directement les fils.
Jean-François Julien
chocapic69 a écrit :La réponse est simple : Trop cher .Moi aussi je me serai bien débarrassé de ces pastilles et de leurs néon fatigués (j'espère qu'ils ont été changés pendant la GR).
Bordeaux: Métro, trolleybus, téléphérique... Le plan du président de la métropole pour résorber la congestion
On passera sur les approximations du journalisteUn trolleybus pour les villes périphériques ?
« On doit réfléchir au coût et à l’optimisation de l’argent public, insiste Patrick Bobet. Il faut peser ce qui coûte un prix raisonnable tout en transportant un maximum de monde, et ce qui peut sembler plus confortable, plus prestigieux mais qui finalement coûte cher pour ce que ça rapporte. » Un missile envoyé contre le tramway ? « Le tramway a rendu d’énormes services, assure le président de Bordeaux Métropole, c’est un bel outil, mais il n’y a pas que ça. Il existe des équipements plus souples et plus raisonnables en termes de coût, comme le bus ou le trolleybus. » Le trolleybus, qui a déjà fonctionné à Bordeaux dans les années 1950, selon l’élu, « ce n’est pas un gros mot, c’est quelque chose qui existe dans plein de grandes villes dans le monde. » Il s’agit d’un bus électrique alimenté par des Lignes aériennes de contact (LAC) et qui circule sur rail, comme le tramway, mais qui peut aussi rouler sur la route. « Pourquoi pas en installer dans les zones urbaines, à Gradignan, Villenave d’Ornon, Mérignac… Et en plus cela peut se mettre rapidement en place. »
Il s’agit d’un bus électrique alimenté par des Lignes aériennes de contact (LAC) et qui circule sur rail, comme le tramway...
qui circule sur rail, comme le tramway...
Momox de Morteau a écrit :Plan de déplacements urbains : ouverture d'une enquête publique
Ci-joint les documents, se concentrer sur le document 8 - Retour PPA " Etude de réorganisation du réseau de transport publicde Limoges Métropole "
http://www.limoges-metropole.fr/fr/actu ... QZT0IL3fmg
=> Constat : des lignes de trolleybus attractives, avec un matériel roulant accessible, confortable, peu bruyant et adapté au relief
=> Trolleybus(4 lignes) lors de l'arrivée des nouvelles lignes de BHNS :
La Bastide–La Cornue 8,5 km
La Bastide-CHU 7,4 km
Val de l’Aurence–Les Casseaux 4,3 km
Montjovis/Beaublanc–St-Lazare 7,0 km
=> Renfort de l’offre structurante sur tous les jours pour les trolleybus, rocades, qui s’appuient fortement sur le BHNS et maintien d’un niveau de service élevé au cours de la journée sur les lignes de trolleybus.
Il faut donc souhaiter que les 2 nouvelles lignes de BHNS soient exploitées en trolleybus IMC, scénario qui semble tenir la route.
Mobilité
Cinq choses à savoir sur le plan de déplacements urbains de Limoges Métropole
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yanns040586 a écrit :Pas de trolleybus sur C13 et C14 aujourd'hui... Curieusement, ça correspond aussi aux vacances scolaires... Est-ce une conspiration ?
yanns040586 a écrit :Pas de trolleybus sur C13 et C14 aujourd'hui... Curieusement, ça correspond aussi aux vacances scolaires... Est-ce une conspiration ?
Du 8 avril jusqu’à ce vendredi, une équipe de la Stas (Société de transports de l’agglomération stéphanoise) a travaillé de nuit pour rénover les structures du trolleybus sur une partie de la ligne M7, entre le boulevard Valbenoîte et le cours Fauriel.
« On a juste changé les lignes aériennes, qui n’avaient pas été démontées mais qui n’avaient pas été utilisées depuis trente-cinq ans », explique Éric Laisne, directeur de la communication à la Stas. La même opération sera menée cet été sur la rue Antoine-Durafour. Ces travaux visent à préparer le grand retour du trolleybus dans les rues stéphanoises. Saint-Étienne Métropole (SEM) a en effet décidé, dans le cadre de sa politique de développement durable, de miser sur ce véhicule à zéro émission de CO2.
Vingt-deux trolleys à batterie rechargeable
Saint-Étienne fait partie des trois seules villes françaises à encore exploiter des trolleys. Mais, aujourd’hui, seule la ligne M3 est concernée. SEM (Saint-Étienne Métropole) a décidé de redéployer ce moyen de transport aussi ancien qu’écologique.
La Métropole va acquérir, pour 17 millions d’euros, vingt-deux trolleybus dernière génération, équipés de batteries qui se rechargent pendant qu’ils circulent sous la ligne électrique, ce qui leur permet de se passer du réseau filaire sur certaines portions. C’est pour cela que la Stas n’a pas besoin d’installer des câbles tout au long de la M7, mais seulement de remplacer ceux présents de manière alternative.
Ces nouveaux trolleybus 2.0 renteront progressivement en circulation à partir de fin 2019 ou début 2020.
Il se fraie un chemin rapide, comme un long serpent silencieux. Un véhicule hors norme a fait son apparition ces jours sur le réseau des Transports publics genevois (TPG), sans toutefois charger de passager. L’engin ne s’en fait pas moins remarquer. Ce bus à double articulation, d’une longueur de près de 24,5 mètres, évoque par son format les trolleybus extralongs qui circulent depuis 2005 sur la ligne 10. Mais ce n’est pas un trolleybus: il s’agit d’un modèle turbinant grâce à la technologie avant-gardiste TOSA, née à Genève et mise en service (avec quelques difficultés initiales) dès 2017 sur la ligne 23 sur des engins plus courts, à une seule articulation.
Un bus TOSA, rappelons-le, se passe de câbles et se contente de se recharger en courant au dépôt, aux terminus ou à certains arrêts où quelques secondes d’alimentation en mode «flash» peuvent suffire à le requinquer, sans interrompre l’exploitation. Un bras télescopique vient se brancher sur un rail d’alimentation suspendu au-dessus du véhicule.
Les distances parcourues sur le réseau des TPG avec ce type de technologie doivent croître de 333% ces prochaines années. «D’ici à 2024, deux nouvelles lignes de bus électriques viendront remplacer une cinquantaine de bus diesels, prévoit le récent plan d’action des transports collectifs. L’objectif étant de convertir l’ensemble des lignes urbaines d’ici à 2030.» À la fin de 2022, le Canton compte ouvrir une nouvelle ligne pour desservir le quartier en construction aux Communaux d’Ambilly. Elle devrait emprunter l’axe de Frontenex pour rallier le centre-ville, la place des Nations, voire l’aéroport. «Des bus de grande capacité seront nécessaires», prévient Thierry Currit, chef de projet TOSA aux TPG. La ligne 22, qui suit de près le parcours actuel du TOSA, est aussi vouée à muter. On prévoit des appels d’offres ouverts.
Le choix suisse de Nantes
La régie a donc de bonnes raisons de tester cette semaine un bus TOSA de grande capacité que le constructeur soleurois Hess récupérera ensuite avant de l’expédier ces prochaines semaines à son client final, l’agglomération de Nantes. Traditionnellement pionnière en matière de mobilité, la cité française a en effet acquis 22 de ces véhicules. Cet automne, ils prendront le relais de bus plus courts, roulant au gaz sur une ligne aujourd’hui saturée malgré une forte cadence: trois minutes entre chaque passage. Nantes a fait son choix au terme d’un appel d’offres ouvert. Pourquoi TOSA a-t-il prévalu sur ses concurrents? «Il nous fallait un bus capable de se recharger en route, explique Bertrand Affilé, vice-président de Nantes Métropole. La technologie flash a séduit la commission et l’opérateur. Elle nous a paru plus fiable: un chargement par le haut implique moins de risques d’aléas ou de vandalisme que si l’alimentation se faisait par le sol.»
Outre sa longueur, le bus commandé par les Nantais se distingue du modèle genevois par son agencement: le chauffeur bénéficie d’une cabine fermée, les dossiers translucides des sièges des passagers sont agrémentés d’un éclairage LED et disposent de prises USB. Le chef-lieu de la Loire-Atlantique, jouissant d’un climat tempéré, se passe de climatisation et se satisfait d’un chauffage léger. Nantes peaufine actuellement la mise en place de son nouvel outil, tentant notamment d’harmoniser les potences de recharge avec le patrimoine du centre historique.
La capitale des Pays de la Loire bénéficiera de l’expérience accumulée à Genève qui a «essuyé les plâtres» de la technologie TOSA, mijotée dès le début de la décennie au sein d’un partenariat réunissant les TPG, ABB, les SIG et l’Office de promotion des industries et technologies (OPI). Le lancement a valu des frayeurs aux responsables en raison d’un dysfonctionnement dans le système de refroidissement des batteries. On a aussi constaté depuis lors que les «totems» soutenant les points de recharge étaient trop flexibles. L’opération produisait en outre un sifflement désagréable qui a été bâillonné grâce à un capot isolant. Mais la ligne 23 s’est remise de ces mésaventures.
Une couverture quasi totale
«Cette ligne est couverte ce mois à 98% par des bus TOSA, se félicite Thierry Wagenknecht, directeur technique des TPG. Par rapport à une motorisation thermique, on économise 1000 tonnes de CO2 par an. Un bus TOSA est certes 25% plus cher qu’un diesel, mais il revient 12% meilleur marché qu’un trolleybus, selon nos premières estimations.»
Le TOSA va-t-il séduire de nouveaux clients? ABB évoque un accord préalable avec une ville asiatique tandis que Hess mentionne des pourparlers avancés avec des villes françaises et australiennes. (TDG)