alecjcclyon a écrit :Fin de la rupture de charge à LB du coup ?
roro 42 a écrit :A St Etienne je crois qu'il ne reste q'un seul cristalis avec l'ancienne plaque .Il me semble que lorsque la carte grise suite aux contrôles ou modification est pleine , nouvelle carte donc nouvelle plaque .
yanns040586 a écrit :Avant c'était déjà des "trop laids" bus... on est plus à ça près, non ?
Concernant les Urbino "classiques-à-mazout", ils ont un moteur qui est sur colonne en position latérale (je ne sais pas comment on appelle ce type de positionnement...), comme les Volvo 7900 par exemple. Solaris a peut-être standardisé ses pièces assez pour que le bloc électrique y ait aussi sa place ?
Airbus a écrit :Mais à quoi sert l'autonomie des trolleybus si au moindre prétexte de travaux on bascule toute une ligne en thermique ?
Que se passera-t-il demain avec des trolleys IMC n'utilisera-t-on pas l'emperchage automatique de maniere régulière sur chaque course ?
Alors pourquoi ne pas s'entrainer dès maintenant ?
Airbus a écrit :Why not, mais je doute toutefois de la possibilité technique de réaliser ça au quotidien, les systèmes électroniques montrant parfois des signes de faiblesse !
Doktor Villamos a écrit :Le contrôle de la trajectoire par dispositif électronique, n'est pas de la fiction, il existe depuis une vingtaine d'années sur TEOR à Rouen et une quinzaine sur le trolleybus de Castellon en Espagne , avec guidage sur tout le parcours.
Airbus a écrit :
A Rouen, sur TEOR, le guidage optique du véhicule thermique ne se fait qu'à l'approche des arrêts. D'autre part, le principe d'un véhicule routier, c'est qu'il peut se déporter en cas d'obstacle sur sa voie de roulement. La perche permet cette déviation, mais le panto, en revanche, pas du tout !
Enfin, le bifilaire porte les deux phases du courant, séparées de moins d'un mètre, et avec un panto, il y aurait risque de frottement sur les 2 phases en même temps, ce qui n'est pas top !
Doktor Villamos a écrit :Où est le problème ?
Airbus a écrit :A Rouen, sur TEOR, le guidage optique du véhicule thermique ne se fait qu'à l'approche des arrêts.
Dldwg a écrit :Doktor Villamos a écrit :Où est le problème ?
Le problème est que trop souvent en France on cherche à faire compliqué là où il n'y en absolument pas besoin, je pensais que l'expérience Cristalis avait permis de tirer les conséquences de cette culture de la compléxité.
Ici dans notre cas il faudrait remplacer une bande de peinture au sol et un entonnoir (système qui n'a par ailleurs pas besoin de vérins pneumatiques ni de caméras et systèmes de sécurité en tout genre) et il faudrait remplacer ça par un complexe système informatique ?
Pourquoi toujours vouloir réinventer l'eau chaude ?
Doktor Villamos a écrit :Dldwg a écrit :Doktor Villamos a écrit :Où est le problème ?
Le problème est que trop souvent en France on cherche à faire compliqué là où il n'y en absolument pas besoin, je pensais que l'expérience Cristalis avait permis de tirer les conséquences de cette culture de la compléxité.
Ici dans notre cas il faudrait remplacer une bande de peinture au sol et un entonnoir (système qui n'a par ailleurs pas besoin de vérins pneumatiques ni de caméras et systèmes de sécurité en tout genre) et il faudrait remplacer ça par un complexe système informatique ?
Pourquoi toujours vouloir réinventer l'eau chaude ?
Absolument pas besoin ?
Je ne pense pas ! Ce qui est prévu avec le trolleybus IMC, c’est le franchissement de multiples carrefours complexes et de centres historiques en autonomie.
Donc si tu trouves que c’est mieux pour une ligne "en pointillés" de ce genre d’avoir 4 ou 5 arrêts de service d’une ou 2 minutes sous les entonnoirs pour reperchage, alors que la technologie moderne permet d’éviter çà …
Description succincte : >_le Sytral envisage le renouvellement des midi-trolleybus Nmt222 roulant actuellement sur la ligne S6 du réseau Tcl et qui ont été mis en service en 1999.La durée de vie des véhicules est de 20 ans.Une assistance après-vente, auprès de l'exploitant tout au long de la vie du produit, est impérative, notamment sur le suivi du traitement d'obsolescence qui sera contractualisé.>_le marché prend effet à compter de sa date de notification et se termine à la plus tardive des deux dates suivantes :- Fin de la période de garantie- Ou clôture des comptes.La durée prévisible du marché est de 36 mois à compter de sa date de notification y compris 24 mois de garantie.La date prévisionnelle envisagée de début d'exécution est fixée à : novembre 2019