Le Forum de Lyon en Lignes

Un excellent reportage sur la construction des rames du métro de New York:

http://www.direct8.fr/video/we12r/les-c ... -27-03-11/

Dans le même genre d'émission, il y a aussi "les démolisseurs de l'extrême". La dernière fois, il y avait un reportage sur la démolition d'un 747...

Merci beaucoup pour l'indication de ce reportage. C'est instructif 

Merci pour le lien.

Dans un autre style, l'autre coté de l'histoire : la fin des wagons ... http://www.zigonet.com/m%e9tro/les-metr ... 0270.html#

Super reportage, merci pour le lien 

Je l'ai vu, mais je me demande si je suis le seul à penser que NY est encore à l'âge de pierre du métro ?

Au niveau de l'étendue, de la densité du réseau et de l'exploitation, c'est monstrueux, mais quand on voit les train neufs...
L'idée de n'avoir que des motrices (avec/sans loge de conduite) interchangeables entre elles n'est pas bête.
Mais les transfos gros comme un boeuf, pas de freinage par récupération, un châssis énorme en acier (avec des grosses plaques de fontes) et une caisse en alu...
On croirait des X2800 électriques, la gueule en moins (vieux, lourd, surpuissant, énergivore).
En voyant des rames New Yorkaises neuves (qui paraissent identiques à celles qui finissent au fond de l'atlantique), j'ai l'impression que nos "vieux" MPL75 sont récents et conçus "astucieusement".

Pour jetter des rames plus ou moins identiques aux anciennes, le recyclage c'est pas pour les chiens (surtout quand on voit comment on fait pour avoir des quantités pareilles  d'alu...)

Nouveau reportage cette fois-ci sur le réseau de transport de Philadelphie:

http://www.direct8.fr/video/nvo4c/les-c ... -04-05-11/

On n'imagine pas la quantité de maintenance qu'il y a à faire sur un tel réseau, cette émission vaut le détour.

Salut

Tout en n'oubliant pas que les TC de Philadelphie transportent moins de gens que ceux de Lyon.

A+

Très intéressant comme reportage. Le point négatif, c'est la tournure dramatique que les américains ajoutent à tout.
On a l'impression qu'ils jouent leurs vies chaque seconde, alors qu'au final, la plupart du reportage se passait en dehors de l'exploitation