Revue de presse

[Didier 74]

Selon France 3 Alpes, un TER a pris feu mardi 13 mai dans l'après-midi à Saint-Quentin Fallavier.

alpes.france3.fr, 18 mai

[align=center]Le trafic des trains perturbé entre Lyon et Grenoble après un début d'incendie sur un TER[/align]
Un début d'incendie sur un TER, en gare de Saint-Quentin-Fallavier, a engendré d'importantes perturbations sur l'axe ferroviaire Lyon-Grenoble. Des TGV ont été déviés.

Peu après 17h30, la circulation des trains a dû être interrompue entre Lyon et Grenoble, en raison d'un début d'incendie sur un TER arrêté à hauteur de Saint-Quentin-Fallavier. Les 300 passagers du TER ont tous été évacués.

Les sapeurs-pompiers de l'Isère se sont rendus sur place. A leur arrivée, il n'y avait plus de dégagement de fumée. Avec leur équipement infra-rouge, ils n'ont détecté aucun point de chauffe. Pour autant, l'une des rames est bien en panne et a certainement dû subir une surchauffe.

Deux TGV ont dû être détournés.

Source http://alpes.france3.fr/2014/05/13/le-t ... 76409.html

Le communiqué de SNCF http://telechargement.ter-sncf.com/Imag ... 102756.pdf

[Didier 74]

mobilicites.com, 13 mai

[align=center]La SNCF dément l'existence d'un plan de départs volontaires[/align]
La SNCF dément "catégoriquement" l'existence d'un plan de départs volontaires à la SNCF, révélé le 12 mai 2014 par le site challenges.fr. Les syndicats de l'entreprise eux confirment les informations du journal.

La SNCF va-t-elle annoncer ce 13 mai 2014 en Comité Central d'Entreprise un plan de départs volontaires ? C'est ce qu'affirme le site Challenges.fr. Ce plan explique le site "qui pourrait s’appliquer dans les trois mois" concernerait les salariés nés en 1959, 1960 et 1961 qui pourraient quitter sous conditions l’entreprise publique deux à trois ans avant l’âge normal de la retraite avec un prime équivalente à environ 12 mois.

Une information démentie "catégoriquement" par la direction de la SNCF qui explique dans un communiqué "qu'aucun point concernant l'évolution des effectifs ne figure à l'ordre du jour (du CCE)". L'entreprise explique que lors de cette réunion sera examinée "entre autres (…) une mise à jour du référentiel RH 0281 qui définit, depuis 1954, les conditions d'indemnisation de tout agent qui choisit volontairement de quitter l'entreprise."

Les syndicats confirment
De leur côté les syndicats confirment les informations de Challenges. Pour Nathalie Bonnet (Sud-Rail), le toilettage du référentiel RH0281 est "clairement un plan social" pour "faire partir tous les cheminots du fret en excédent" et permettre à la SNCF de supprimer "la moitié des vendeurs" entre 2012 et 2016.

Pour inciter au départ les salariés "embauchés depuis au moins quatre ans", une prime sera offerte. A partir de 15 ans d'ancienneté, un salarié pourra partir avec 15 mois de salaire, et jusqu'à 18 mois pour les plus âgés, précise-t-elle. Entre 4 et 15 ans d'ancienneté, la prime est "pratiquement nulle". "Ceux qui ont entre 53 et 56 ans vont faire leurs calculs, mais la prime n'annulera pas les effets de la décote", évalue Mme Bonnet. Selon elle, le dispositif a été utilisé "pour la dernière fois dans les années 90".

La SNCF, qui a plongé dans le rouge en 2013 avec une perte nette de 180 millions d'euros, avait annoncé en décembre son intention de réduire ses effectifs moyens de 1.400 postes en 2014, soit 2.500 personnes concernées selon la CGT qui avait alors dénoncé "un véritable plan d'austérité imposé aux cheminots".

Source http://www.mobilicites.com/011-2811-La- ... aires.html

[Didier 74]

mobilicites.com, 12 mai

[align=center]Marseille- Nice : F. Cuvillier accélère les études de tracé de la ligne nouvelle[/align]
Les études qui doivent permettre de définir le tracé de nouvelles voies pour désengorger la ligne Marseille Nice, vont être accélérées a annoncé Frédéric Cuvillier. Objectif obtenir la déclaration d'utilité publique en 2017.

La réalisation d'une ligne ferroviaire nouvelle entre Marseille, Toulon et Nice et une des rescapés de la commission mobilité 21 qui avait dans son rapport de juin 2013 recalé la plupart des projets de nouvelles lignes TGV (dont la LGV Paca), privilégiant la modernisation des réseaux existants.

Frédéric Cuvillier, secrétaire d'état aux transports, a arrêté le fuseau de passage et décidé d'accélérer les études afin d'obtenir une déclaration d'utilité publique en 2017.

Il s'agit de construire des voies nouvelles à chacune des extrémités de la ligne actuelle saturée :

A l'ouest, une traversée souterraine de Marseille, comprenant une nouvelle gare souterraine au niveau de l'actuelle gare Saint-Charles, doit être construite, ainsi qu'une quatrième voie entre Marseille et Aubagne. "Ces aménagements doivent permettre de dé-saturer le nœud ferroviaire marseillais avec un objectif de doublement des capacités ferroviaires régionales et une fiabilisation de l'exploitation", précise le secrétariat d'État dans un communiqué.
A l'est, une ligne nouvelle doit être créée, entre la future gare nouvelle Nice-Aéroport, et la ligne ferroviaire Cannes-Grasse. Elle devrait "proposer une boucle TER desservant l'ouest du département des Alpes-Maritimes, permettant l'accroissement des dessertes régionales notamment pour le pôle de Sophia-Antipolis et l'organisation de missions TER jusqu'à Monaco et Vintimille".

Le tracé de ces voies doit être défini dans le courant de l'année 2016.

Source http://www.mobilicites.com/011-2807-Mar ... velle.html

[Didier 74]

L'Essor Savoyard, 8 mai

[align=center]Gare d'Annecy : après plusieurs rixes, le quartier a retrouvé sa sérénité[/align]
Devant le parvis de la gare ou dans les squares environnants, les bagarres entre bandes ont, d'après les riverains, quasiment disparu. Les opérations de contrôle sont plus fréquentes durant les vacances scolaires.

Lors des dernières vacances d'hiver, deux violentes bagarres avaient perturbé la vie des habitants et des commerçants du quartier de la gare d'Annecy.

Ces derniers redoutaient donc que le phénomène recommence lors des congés de printemps.

Mais à leur grande satisfaction, aucun incident n'est pour le moment à déplorer.
Henriette, 58 ans, vit autour du square de Verdun depuis une dizaine d'années maintenant. Et des bagarres, elle en a vu un « sacré paquet » se dérouler devant la gare d'Annecy. « Ça a toujours été ainsi , et ce depuis bien avant que le secteur ne soit rénové », raconte-t-elle.
Pourtant, un affrontement comme celui du 22 février dernier, elle n'en avait encore jamais observé. « C'était hyper violent, se rappelle-t-elle. Il y avait deux bandes d'une dizaine de jeunes et on avait l'impression que c'était la guerre civile ... » Fort heureusement, Henriette n'a pas eu, depuis, à revivre une telle scène. Bien conscients de l'attrait que représente le quartier de la gare d'Annecy pour les adolescents un peu véhéments du reste du département, les autorités locales, police en tête, y ont renforcé les opérations de contrôle en période de vacances (lire ci-dessous). Une mesure qui a, d'après une voisine d'Henriette, « refroidi les ardeurs des plus excités », lesquels ne font désormais plus que « passer » sous les fenêtres des riverains au lieu d'y régler leurs comptes.

D'autres comportements sont à prévoir
Juste devant une boutique de la rue Saint-François-de-Sales, toujours à quelques encablures de la gare, Jean-François est du même avis. Lui qui se souvient très bien des dernières « émeutes » est tout à fait « satisfait » du climat qui règne dans le périmètre aujourd'hui : « Honnêtement, je trouve que ce qui a été fait pour "pacifier" le quartier a très bien fonctionné. » « Maintenant, poursuit-il, plus personne ne traîne devant le parvis. Les gens circulent très rapidement. » Pourtant, ces deux avis, s'ils semblent partagés par la majorité des personnes qui vivent et travaillent dans le secteur, ne font pas l'unanimité. Juste à l'extérieur d'un café de l'avenue de Chevêne, plusieurs adolescents estiment qu'« en faisant autant de contrôles, on ne résout en rien le problème, on ne fait que le déplacer ». Et d'affirmer que « les jeunes vont continuer à se donner rendez-vous à Annecy pendant leurs vacances - parce que ce sera toujours plus sympa que de les passer à La Roche-sur-Foron ou Gaillard -, mais qu'ils iront se défouler ailleurs, à l'abri des regards indiscrets ». Ce qui, selon eux, serait bien plus dangereux.

Les actions mises en place par la police et la SNCF ont démontré leur efficacité
Suite aux nombreuses bagarres qui s'étaient déroulées devant la gare d'Annecy l'hiver dernier, la police nationale et la SNCF avaient décidé de travailler main dans la main afin de réduire sensiblement ce phénomène de violence.
À l'époque des faits, le Directeur départemental de la sécurité publique, Alain Favre, avait en effet expliqué que les différentes personnes arrêtées dans le cadre de ces affaires « venaient le plus souvent de Cluses ou de Chambéry et arrivaient à Annecy par le train », ce qui explique que le quartier de la gare soit devenu le théâtre de leurs rixes. Le DDSP avait par ailleurs précisé que si ce phénomène n'était pas « totalement inconnu des autorités », il avait tendance à « prendre de l'ampleur durant les périodes de vacances scolaires, quelles qu'elles soient ».

L'objectif : faire comprendre aux bagarreurs qu'ils ne sont pas les bienvenus
C'est pourquoi ce dernier avait décidé, en collaboration avec le personnel de sécurité de la SNCF, d'augmenter le nombre d'opérations de contrôle dans les wagons à destination d'Annecy ainsi que sur les quais et le parvis de la gare. Le mot d'ordre : « Faire comprendre à ces jeunes, parfois désoeuvrés, qu'ils ne sont pas les bienvenus ici pour faire ce qu'ils veulent. » Autre objectif du commissaire : accroître le sentiment de sécurité des voyageurs et des riverains.
Ces opérations, menées fréquemment lors des vacances d'hiver, ont été renouvelées durant celles de printemps. Et si l'on en croit les habitants du secteur, et quelques voyageurs réguliers, elles ont porté leurs fruits.
D'après Alain Favre, ce dispositif spécial n'a cependant « pas vocation à être pérennisé dans le temps ». Si les contrôles de routine continuent, et continueront, les déploiements de force ne devraient être réservés qu'aux périodes de fortes fréquentations.

Source http://www.lessorsavoyard.fr/Actualite/ ... le_q.shtml

[Didier 74]

languedoc-roussillon.france3.fr, 14 mai

[align=center]Le déraillement d'un train à Narbonne perturbe le trafic TER[/align]
Un wagon d'un train de fret de la société privée Europorte a déraillé, ce mercredi matin, en gare de Narbonne, dans l'Aude. Rien de grave. Mais durant la sortie de rail, un connecteur électrique de signalisation SNCF a été endommagé, ce qui a entraîné un léger retard du trafic ferroviaire passager.

L'incident concerne un train privé de marchandises, appartenant à Europorte*.

Selon nos informations, le convoi évoluait sur un accès privé de la gare de fret de Narbonne. Le wagon, juste derrière la locomotive, pour une raison encore indéterminée, a déraillé à proximité d'un aiguillage.
Durant l'incident, une roue du wagon a percuté et endommagé un boîtier de connexion électrique servant à la signalisation SNCF.

Des techniciens ont dû intervenir pour réparer les dégâts. Durant les réparations, le trafic passager de la SNCF, notamment 3 TER, a été retardé.
Au total, l'incident a impacté 3 TER Languedoc-Roussillon qui ont eu chacun 15 minutes de retard.

*Europorte est une entreprise ferroviaire française du groupe Eurotunnel. Elle est formée par la réunion de la branche française de Veolia Cargo et d'Europorte 2, la filiale d'Eurotunnel spécialisée dans le fret ferroviaire.

Source http://languedoc-roussillon.france3.fr/ ... 77055.html

[Didier 74]

Rhône-Alpes primée pour l'aménagement de la gare d'Annecy

Éliane Giraud, Vice-présidente de la Région Rhône-Alpes aux transports, infrastructures et déplacements, s'est vue remettre le Grand Prix des Régions de Ville Rail et Transports, pour l'aménagement de la gare d'Annecy. Achevés courant 2013, les travaux ont notamment permis la création d'une halle multimodale, d'une vélo-stations, d'une gare routière et d'une station de taxis.
La Région Rhône-Alpes a participé aux travaux à hauteur de 23% (3,6M€ sur 15,5M€), aux côtés de l’État, des collectivités locales et SNCF. Le réaménagement de la gare d'Annecy en pôle multimodal est un exemple phare de la politique de Rhône-Alpes en matière de gares TER - auxquelles elle consacre chaque année environ 20M€ - faisant de l'intermodalité et de l’accessibilité aux voyageurs l'une de ses priorités.

[Didier 74]

Newsnet, 14 mai

[align=center]Un professeur préconise des autoroutes à 70 km/h[/align]
Pour réduire les embouteillages, un professeur de l'EPFZ propose de ramener la vitesse à 70 km/h sur les autoroutes.

La situation est connue : le trafic routier ne cesse d'augmenter en Suisse ainsi que le nombre d'embouteillage et donc les heures perdues à cette occasion. Le professeur Kay Axhausen, professeur à l'EPFZ spécialisé les systèmes de trafic, propose dans la NZZ de ramener la vitesse sur les autoroutes à 70 kilomètres à l'heure.

La limitation tomberait même à 40 kilomètres à l'heure sur les autres routes. Il argumente que «les embouteillages ne sont rien d'autre que des réductions de vitesse. En d'autres mots : à quelle vitesse voulons-nous en Suisse aller du point A au point B». L'Office fédéral des routes (Ofrou) a déjà émis des pistes allant dans ce sens au début de l'année.

Une idée qui ne laisse pas indifférent Mathias Ammann, président de l'Automobile Club de Suisse (ACS). Ce dernier y voit une solution provisoire aux heures de pointe mais s'y oppose sur une base permanente.

Des autoroutes à deux étages
Sans surprise, les milieux routiers affichent leur scepticisme. «Plus on conduit longtemps et plus on reste sur la route, ce qui veut dire davantage de bouchons. Dans ce cas, une limite à 140 km/h serait judicieuse», explique le conseiller national UDC Walter Wobmann dans 20 Minuten.

Même rejet chez Route Suisse et son secrétaire général, Hans Koller, pour qui cette solution ne prend pas en compte les différents véhicules et donc les vitesses différentes sur une autoroute.

Le secrétaire général prône plutôt une augmentation des infrastructures qui pourrait prendre la forme d'autoroutes à deux étages, comme aux États-Unis ou en Asie.

[Didier 74]

tdg.ch, 14 mai

[align=center]Cornavin inaugure son aile de luxe[/align]
Le Business Point des CFF et le Lounge première classe ouvrent leurs portes demain.

En plus d'y manger, d'y organiser ses vacances ou d'y faire ses courses, on peut désormais également travailler et se relaxer à la gare Cornavin. Ce mercredi matin, les CFF ont inauguré leur secteur «deluxe», situé au deuxième étage de la nouvelle aile est. Genève est désormais la seule gare de Suisse à bénéficier à la fois d'un Business Point et d'un Lounge 1ère classe.

Tout le monde ne peut pas accéder à ces deux salons feutrés, offrant une vue sur le quai 1 : le voyageur souhaitant travailler au sein du Business point devra louer une des 20 salles de réunion, à l'heure, à la demi-journée ou à la journée. Le succès sera-t-il au rendez-vous ? Oui, estiment les CFF. Même davantage qu'à Berne, seule autre structure du même type en Suisse. Pour l'entreprise, le nombre d'organisations internationales présentes à Genève, le dense tissu économique et la proximité de la France génèrent une forte demande.

Le Lounge, lui, sera réservé aux 45000 voyageurs possédant un abonnement général CFF 1ère classe. Mais aussi aux détenteurs d'un billet international de même niveau, en provenance de France ou d'Italie, notamment. Les lieux proposent journaux internationaux, wifi et boissons gratuites ainsi que de larges sièges en cuir. Ici aussi, les CFF sont confiants : «Avec 800 clients par jour, le Lounge de Zurich est toujours plein», assure Jeannine Pilloud, cheffe de la division Voyageurs. L'entreprise attend ainsi de 600 à 650 personnes par jour.

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/16620619

Le reportage de la RTS diffusé au 19h30 du 13 mai sur le nouveau visage de Cornavin http://www.rts.ch/video/info/couleurs-l ... navin.html

[Didier 74]

leprogres.fr, 14 mai

[align=center]Lyon : chute sur les voies du métro B[/align]
Une personne est tombée sur les voies du métro à la station Part-Dieu (Lyon 3e), ce mercredi après-midi, vers 17 heures. A la suite de cette chute, qui s’est produite pour une raison encore indéterminée, la ligne de métro B a été interrompue pendant près d'une heure.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/1 ... eview=true

[Patafix]

Bonjour,

Un bus TCL aurait pris feu ce matin à Dardilly

Grosse frayeur ce jeudi vers 7h30 pour ce chauffeur des TCL qui conduisait son bus dans la zone d’activités Techlid à Dardilly. Le compartiment moteur a subitement dégagé de la fumée alors que le véhicule circulait route du Paisy.

Le bus a été évacué et les secours immédiatement prévenus. Aucun blessé n’est à déplorer. La partie arrière de la machine est complètement détruite.

La circulation a été perturbée dans le secteur durant l’intervention des sapeurs-pompiers et les opérations de remorquage. La brigade de gendarmerie de Dardilly était sur place.

Source: http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/1 ... -activites

Surement un véhicule de la 89 vu le secteur, ou peut être un JD ?

[Lyon-St-Clair]

C'est un Agora S qui a cramé (moteur), un JD d'UTV ?

[BBArchi]

leprogres.fr, 14 mai

[align=center]Lyon : chute sur les voies du métro B[/align]
Une personne est tombée sur les voies du métro à la station Part-Dieu (Lyon 3e), ce mercredi après-midi, vers 17 heures. A la suite de cette chute, qui s’est produite pour une raison encore indéterminée, la ligne de métro B a été interrompue pendant près d'une heure.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/1 ... eview=true

Je suis littéralement scandalisé par l'article.

Pas un, je dis bien pas un mot, sans même parler de phrase ou, plus fastueux, de paragraphe, pour s'inquiéter du conducteur de ce métro, et de ce qu'il doit gérer...

3 options :

1. Le conducteur est transparent, personne ne l'a jamais vu (?)
2. est passé en automatique en douce, sans prévenir...
3. Le rédacteur de l'article est dans la moyenne des bourrins.

Je penche fortement pour l'hypothèse 3, compte tenu de la quantité de bestiaux pas foutus de voir devant eux qu'il y a du monde, des personnes, qui travaillent, oeuvrent, font quelque chose pour lesquelles elles sont payées en règle générale ; ce qui doit apparemment entraîner des réflexes pavloviens déclenchant cécité / surdité vis à vis de l'environnement, et par ricochet, une sorte d'irrespect pour le travail en cours.

Alors évidemment, les mêmes bourrins vont expliquer que "c'est pas pareil, un conducteur de métro conduit des métros, et c'est normal, c'est dans son profil de poste de se taper (?!) des tentatives de suicide".

No comment...

Parfois, les journalistes (enfin, ceux qui peuvent écrire parce qu'ils ont été embauchés dans un journal), je les adore. Comme les animaux.

Avec du sel et bien cuit.

>:D


Pensées au conducteur pour digérer tout ceci.

[RayanUto]

J'espère pas que sa soit un bus de la 89 qui à brûlé , vu qu'il ont que des neufs !!

[dedale]

Concernant cette accident, sa m'a fait me poser une question. Le métro est éléctrifié par des rails qui sont au sol si je ne m'abuse? Mais du coup, c'est lequel des rails qui fournis le jus? Et comment quelqu'un peut tomber sans s’électrocuter?
Autant savoir, parce qu'il y a de nombreuses fois où j'ai cru que des gens allait tomber, et quitte à l'aider à remonter autant par y passer non plus.

Une pensée aussi pour la victimes et pour le conducteur, ça doit pas être facile à gérer l'approche des stations après sa.

[yannick]

et quitte à l'aider à remonter autant par y passer non plus.

Surtout pas ! Si quelqu'un tombe, le mieux est de donner l'alerte pour que la ligne soit arrêtée, et le courant coupé, d'autant que les stations ont une fosse "anti-suicide" qui doit théoriquement abriter la personne même si le train passe.

Le courant arrive par le rail latéral, et il y a un vrai risque de s'appuyer dessus pour remonter par ses propres moyens.

(Avis au pros : corrigez-moi si je me trompe)

[yannick]

C'est un Agora S qui a cramé (moteur), un JD d'UTV ?

Je dirais un 6, vu que c'est son trajet, son heure, que c'est effectivement le genre de véhicule qu'on peut y rencontrer, d'autant que le GE 4 est un taxi, et que si c'était un JD, il en aurait été fait mention dans les articles, je pense (quitte à qualifier d'enfants des jeunes de 15 ans... )

[dedale]

D'accord, donc autant lui conseiller de s'aplatir dans les fosses entres les rails et trouver les trucs d'appel sur le quai. Merci, c'est bon à savoir.

[marcel71]

C'est un Agora S qui a cramé (moteur), un JD d'UTV ?

Je dirais un 6, vu que c'est son trajet, son heure, que c'est effectivement le genre de véhicule qu'on peut y rencontrer, d'autant que le GE 4 est un taxi, et que si c'était un JD, il en aurait été fait mention dans les articles, je pense (quitte à qualifier d'enfants des jeunes de 15 ans... )

Le 2714, sur un JD.

[phili_b]

et quitte à l'aider à remonter autant par y passer non plus.

Surtout pas ! Si quelqu'un tombe, le mieux est de donner l'alerte pour que la ligne soit arrêtée, et le courant coupé, d'autant que les stations ont une fosse "anti-suicide" qui doit théoriquement abriter la personne même si le train passe.

Je n'y connais rien mais il me semble que le bouton rouge d'alerte sur les quais coupe automatiquement le jus, non ? Donner l'alerte ne suffit pas dans ce cas là, il faut appuyer sur ce bouton de tout urgence...mais effectivement ne pas descendre pour autant.

[Auron]

Le courant arrive par le rail latéral, et il y a un vrai risque de s'appuyer dessus pour remonter par ses propres moyens.

Il me semble que le rail latéral électrifié ne l'est justement pas au sur la largeur du quai, le jus passe par un autre rail electrifié.
Je dis ça, j'y connais rien mais l'explication (?) donné par une technicienne (??) lors de la marche sous le Rhône.

[Didier 74]

Le Jura mise sur son aéroport et le co-voiturage, pas sur les transports collectifs

franche-comte.france3.fr

[align=center]Le Jura veut développer le covoiturage[/align]
D'ici 2015, une centaine d'aire de covoiturage devraient être aménagées dans le Jura. Pour l'instant, trois sont proposées aux automobilistes qui peuvent trouver un passager ou un conducteur sur le site internet Juracovoit.fr mis en place par le conseil général du Jura.

Saint-Germain les Arlay, l'aéroport de Dole Tavaux, et Perrigny ont en commun de proposer une aire de covoiturage : un système de transport qui se développe en raison du coût de l'essence. Un budget de 100000 euros va permettre d'aménager et de signaler des aires de stationnement dédiées au covoiturage

Vidéo http://franche-comte.france3.fr/2014/05 ... 77229.html

[Didier 74]

ATS, 15 mai

[align=center]L'extension souterraine de la gare Cornavin devant le Grand Conseil[/align]
Le Grand Conseil genevois a accepté jeudi à l'unanimité la validité de l'initiative populaire "Pour une extension souterraine de la gare Cornavin".

Les Genevois devraient pouvoir se prononcer sur l'initiative populaire "Pour une extension souterraine de la gare Cornavin". Le Grand Conseil a accepté jeudi la validité de ce texte qui avait récolté plus de 16'300 signatures.

Le débat aurait dû porter uniquement sur la validité du texte, mais les députés ont largement abordé le fond. Pour la gauche, l'option de l'extension souterraine ne fait aucun doute, car elle permet de préserver le quartier des Grottes tout en offrant un meilleur potentiel de développement pour la gare.

Variante estimée à 1,2 milliard
La variante souterraine est actuellement estimée à 1,2 milliard. Un coût couvert par les 790 millions inscrits dans le programme de financement et d'aménagement de l'infrastructure ferroviaire (FAIF). La Ville de Genève devrait verser 100 millions et le canton le solde, tout en espérant être remboursés à terme par la Confédération.

Le PLR a toutefois mis en évidence les risques de surcoûts liés à la version souterraine.

[Didier 74]

Midi Libre, 16 mai

[align=center]Contournement Nîmes - Montpellier : "La nouvelle gare de Manduel se fera"[/align]
Le directeur régional adjoint de RFF, Joseph Giordano, a assuré publiquement ce jeudi 15 mai que la nouvelle gare TGV Nîmes - Manduel (Gard) sera construite.

Depuis quelques mois, le contournement Nîmes - Montpellier (CNM) et la réalisation de 80 km de voies ferrées nouvelles est devenue une réalité. Au sein de la campagne gardoise, les entreprises de travaux publics dessinent la ligne, livrée le 5 octobre 2017.

"Il n’y a plus de débat sur la création et la localisation de la gare de Manduel"
Toutefois, dans la préfecture gardoise, le sujet de la nouvelle gare de Nîmes - Manduel fait toujours débat. Directeur régional adjoint de RFF et chef de projet CNM à RFF, Joseph Giordano a mis fin à toutes les discussions, jeudi 15 mai : "Il n’y a plus de débat sur la création et la localisation de la gare de Manduel. Elle se fera. Nous avons le financement, à hauteur de 95M€, pour la réalisation des deux gares de Montpellier et de Nîmes. Il est assuré par l’État, la Région et les agglomérations de Montpellier et de Nîmes."

Joseph Giordano : "Une réflexion à mener sur les accès routiers"
Aujourd’hui, le dossier avance. Et la concertation devrait même commencer dès le début de l’année 2015 pour une livraison encore et toujours programmée en 2020 : "Nous avons une réflexion à mener sur les aménagements urbains et les accès routiers. Nous savons aujourd’hui que le conseil général du Gard ne veut pas les financer mais nous avançons avec Nîmes Métropole."

22 trains de voyageurs à la gare de Nîmes Manduel en 2020
Le directeur régional adjoint de RFF se montre très clair : "Si quelqu’un venait à faire capoter le projet de la gare de Manduel, il porterait une grande responsabilité sur ses épaules. En effet, si RFF s’est engagé sur le contournement Nîmes Montpellier à hauteur de 400 millions d’euros, c’est aussi pour la réalisation des deux gares. Nous ne faisons pas un projet à tiroirs, le CNM est un tout."

En 2020, la gare de Nîmes Manduel devrait accueillir vingt-deux trains de voyageurs alors que la gare historique en recevrait quinze : "Si nous construisons une gare à Nîmes, c’est tout simplement qu’elle correspond à un véritable besoin". Voilà qui est dit.

Source http://www.midilibre.fr/2014/05/15/la-n ... 861335.php

[Didier 74]

Vaucluse Matin, 18 mai

[align=center]Vingt-six rames TER achetées[/align]
Afin d’accroître la qualité et la performance du service TER, la Région, la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Caisse des dépôts ont signé une convention pour le financement de l’acquisition des 26 rames TER à hauteur de 194M€. Ce financement permettra l’acquisition par la Région de 10 rames Régiolis et de 16 rames Régio 2N qui offriront aux utilisateurs un service optimal, avec des informations visuelles et sonores innovantes et accessibles aux personnes à mobilité réduite. Coût total : environ 260M€. Les rames seront progressivement livrées dans les prochains mois. Le nouveau prêt de 130M€ a été accordé par la BEI sur longue durée à des conditions attractives. La Caisse des dépôts a proposé un prêt de 64,1M€ dans le cadre de l’enveloppe de 20Md€ sur fonds d’épargne qu’elle met à la disposition du secteur public local, sur la période 2013-2017.

Source http://www.ledauphine.com/economie-et-f ... r-achetees

[Didier 74]

Le Dauphiné Libéré, 16 mai

[align=center]Grenoble : EDF dévoile le bus électrique en station[/align]

Lors du salon de l’équipement de la montagne “Mountain Planet”, qui vient de se tenir à Alpexpo (du 23 au 25 avril), EDF Pôle Montagne a notamment présenté “Montagne 3D”, une station virtuelle, véritable plateforme consacrée aux projets énergétiques des acteurs de la montagne. Témoignages de professionnels, présentation des offres et conseils d’experts, permettaient à chaque collectivité et entreprise d’obtenir des solutions concrètes pour faire des économies d’énergie.

Durant le salon, EDF, avec son partenaire B.E Green, filiale verte du transporteur Autocars Dominique, a mobilisé un bus de 50 places 100 % électrique pour transporter les visiteurs. L’idée : les sensibiliser à la mobilité électrique… en station.

Des stations comme l’Alpe du Grand Serre, Pralognan-la-Vanoise, Les Gets et Font Romeu ont déjà choisi de mettre en place une navette B.E Green durant trois à quatre mois pour le transport des touristes et des habitants.

Source http://www.ledauphine.com/isere-sud/201 ... ation-crzm

[Didier 74]

lyonmag.com, 15 mai

[align=center]Agression d’un contrôleur de train entre Lyon et Saint-Étienne[/align]
Un jeune homme de 23 ans été interpellé mardi soir, en gare de Châteaucreux, à l'arrivée du TER en provenance de Lyon. D'après le Progrès, un titre de transport non composé a été découvert sur lui au cours d'un contrôle. Une altercation a eu lieu après qu'il ait reçu une amende de la part du contrôleur. Le jeune homme a envoyé sa convention au visage du contrôleur et lui a porté un coup. Avertis par les autres contrôleurs présents dans le TER, des CRS en renfort à Saint-Étienne dans le cadre du plan national ont accueilli le jeune homme, originaire de Dijon, avant de le placer en garde à vue.

Source http://www.lyonmag.com/article/64808/ag ... nt-etienne

[Didier 74]

alpes.france3.fr, 18 mai

[align=center]Transports à Grenoble : le fantôme d'Ysis, un projet de tram périurbain, fait sa réapparition[/align]
Tramway, transport par câble, voies pour les cars... Les projets en matière de transports en commun ne manquent pas dans Grenoble et son agglomération. Plus encore depuis que les écologistes ont remporté la mairie de la ville centre. Et l'on reparle ainsi du tram périurbain, Ysis.

Ysis était à l'origine un projet de tram-train, avec un véhicule qui aurait pu circuler à la fois sur des voies de tramway en milieu urbain et sur le réseau ferroviaire à l'extérieur. Comme la circulation sur les voies ferrées étaient complexe, il s'était transformé au fil du temps en projet de tram périurbain.

Cette solution avait été envisagée, il y a dix ans, sans aboutir. Il s'agissait de résoudre le problème des embouteillages et de pollution dans l'Y grenoblois. Ysis devait permettre de relier Moirans à la ville préfecture. Aujourd'hui, alors que le tram E doit déjà aller jusqu'à Saint-Egrève, on en reparle.

Cela ressemble aussi à un engagement politique de la part présidence socialiste de la Métro envers ses alliés écologistes qui ont pris le pouvoir à la mairie de Grenoble.

Qu'est ce qu'un tram-train ?
Un tram-train est un train qui circule à la fois sur les lignes urbaines de tramway mais qui, sorti des villes, devient un train léger homologué pour circuler sur le réseau ferroviaire SNCF classique. Ce système nécessite une un raccordement physique entre les deux réseaux mais aussi du matériel roulant compatible (notamment en matière de signalisation, d'alimentation électrique, etc.).

Le première ligne de tram-train en France est exploitée depuis quelques années à Mulhouse, en Alsace. Une autre vient d'être inaugurée entre Nantes et Châteaubriant, en Loire-Atlantique. Le Tram-train de l'ouest lyonnais entre la gare de Saint-Paul et Sain-Bel n'en est pas réellement un puisqu'il n'y a pas (encore) interconnexion.

Vidéo http://alpes.france3.fr/2014/05/16/tran ... 78999.html

[Didier 74]

tdg.ch, 18 mai

[align=center]Les Genevois refusent de financer des P+R en France voisine[/align]
Genève ne cofinancera pas la construction de 5 P+R à la frontière. Le MCG, qui a lancé le référendum, et son allié l'UDC remportent une victoire contre la classe politique genevoise.

Tremblement de terre sur la région franco-genevoise. Les citoyens ont refusé à 51,1% de cofinancer la construction de cinq parking relais (P+R) sur le sol français, aux portes du canton.

Au-delà de la somme, (un peu plus de 3 millions de francs), cette décision du peuple a valeur de symbole en infligeant une claque aux promoteurs de la construction du Grand Genève. Et une victoire d’importance pour le troisième bloc composé de l’UDC et du Mouvement citoyens genevois, parti à l’origine du référendum. C'était la première fois qu'il en lançait un seul.

Ce résultat n’est pas anodin et préfigure des difficultés dans l'application des accords transfrontaliers. Le cofinancement des P+R était le premier crédit de la liste annexée à la charte du projet d’agglomération transfrontalière signée par Genève et ses partenaires en 2012. Le Conseil d’État s’est engagé à créer un fonds d’infrastructure à hauteur de 297 millions de francs sur dix ans (240 millions d’euros), soumis à l’approbation du Grand Conseil. Cet argent doit cofinancer sur sol français des ouvrages stratégiques pour le Grand Genève.

Le président du Conseil d’État François Longchamp a assuré que le résultat de ce dimanche ne remettait pas en cause les projets transfrontaliers en cours, en illustrant son propos avec l'extension du tram à St-Julien, mais a parlé «de résultat à haute portée politique». Le Conseil d’État, désavoué, estime avoir «été mal compris» et devra «en tirer les conséquences».

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/17221021

[align=center]«Le Grand Genève est en panne»[/align]
Réactions vives côté français suite au non au crédit P+R.

- Christian Monteil, président du conseil général de Haute-Savoie: «C’était LE rendez-vous ! des engagements avaient été pris par le Conseil d’État, ils ne pourront être tenus. Ce vote appartient au peuple genevois mais il est certain qu’il va rendre plus difficile le travail fait autour du Grand Genève. Concernant les P+R eux-mêmes, nous en avons financé neuf en Haute-Savoie ces trois dernières années, et nous continuerons à en financer. Il n’y aura pas de réaction brutale. Il n’est pas question de punir qui que ce soit. D’ailleurs, qui serait puni ? Les employeurs genevois ? Les frontaliers haut-savoyards ? La question est d’un autre ordre: Est-ce qu’on peut continuer à construire l’agglomération quand on achoppe sur de tels objets ? On s’effondre sur un tout petit crédit. Le problème fondamental, c’est donc la nouvelle relation à construire entre Genève et ses partenaires français. Il faut le reconnaitre : on est en panne ! A nous de trouver les solutions, de prendre d’autres chemins.»

- Guy Larmanjat, Conseiller général de l'Ain: «Je préfère un résultat négatif à un très faible résultat positif qui aurait pu laisser quelque espoir sur cette contribution spécifique genevoise. Ce vote démontre que le fonds de 240 millions d’euros sur 10 ans a été un leurre présenté par le Conseil d’état genevois pour inciter les français à signer le projet d’agglomération 2. Car, s’il y avait un projet qui devait passer c’était bien celui-là. Je rappelle que ces P+R, c’est du foncier, pris sur France pour éviter des voitures sur Genève. Si dans ce projet les Genevois ne sont pas capables de voir leur intérêt !»

- Pierre-Jean Crastes, maire de Chênex et président de la communauté de communes du Genevois : «On dit souvent en France que les référendums sont dangereux car les gens répondent à une question qui n est pas posée. Dans ce cas, le MCG a fait croire que ces infrastructures, utiles aux Genevois, étaient financées par l'impôt des genevois au détriment des équipements de type écoles, alors qu’il n’en a jamais été question. Pour la première fois on entendait les élus majoritaires expliquer que la part de l’impôt des frontaliers (dont près de 40% sont suisses) qui reste à Genève doit servir à financer ces infrastructures utiles à la qualité de vie des genevois et utile à la pérennité du développement de Genève donc encore dans l'intérêt des genevois. Ce discours vrai mais complexe s’est fait battre par des arguments fallacieux et simplistes, il faudra donc que les élus genevois s’engagent davantage à l avenir pour convaincre leur population que le Grand Genève doit se construire en utilisant différemment l’impôt à la source qui pour près de 75% reste à Genève.»

- Christian Dupessey, maire d’Annemasse, Président d’Annemasse agglo et conseiller régional Rhône-Alpes: «C’est un dimanche paradoxal puisqu'à l’heure où l’on se parle, je suis en train de remettre des médailles aux côtés de Sami Kanaan, dans le cadre des jeux du Grand Genève. D’un côté ce sont des milliers de jeunes rassemblés qui montrent que le Grand Genève existe. Et de l’autre, une majorité d’électeurs genevois qui choisissent le repli sur eux-mêmes. En ce qui concerne la construction ou non de ces 5 P+R, on verra. Mais ce vote, c’est surtout un mauvais coup pour la construction solidaire de notre agglomération. Il y a des réalités : la première, c’est que le grand Genève existe. La seconde : il y a une convention d’objectifs qui prévoit 240 millions d’euros sur 10 ans. Ce qui est tombé aujourd’hui, c’est la méthode. C’est la dessus qu’il faut qu’on retravaille. La balle est maintenant dans le camp du Conseil d’Etat, qui, il faut le rappeler, a signé un engagement. Aujourd’hui, pour moi, il n’est plus question de procéder projet par projet. Il faut trouver un autre moyen de fonctionner. » Et de rappeler : « si la France se retirait du projet d’agglomération 2, ce sont des centaines de millions de Berne qui seraient remis en cause. Nous ne voulons pas dramatiser mais nous souhaitons que les engagements pris par le conseil d’État soient tenus. »

- Étienne Blanc, député-maire de Divonne : «Je respecte le vote genevois. Mais, cela va nous compliquer la tâche. Les premiers responsables sont les politiques locaux genevois et français. Ils doivent tout faire pour faire passer le message de l’intérêt commun de ces infrastructures. Depuis deux ans, le bureau exécutif de l’Arc (ndlr : le syndicat mixte qui regroupe les collectivités françaises entourant Genève) ne subit que des échecs : l’assurance maladie des frontaliers, la convention fiscale franco-suisse sur les successions, la libre circulation et maintenant le financement des P+R. Depuis 2 ans, l’Arc mène une politique calamiteuse. Il faut tirer les conséquences de ce nouvel échec et repenser notre stratégie politique commune. Quoiqu’on dise, quels que soient les votes, la région, elle, se construit. C’est la réalité, il faut l’accompagner.»

- Antoine Vielliard, maire de Saint-Julien et conseiller général de Haute-Savoie : «Pour moi, c’est une sorte de 9 février genevois. Les électeurs genevois n’ont pas pris la mesure des conséquences en chaine des décisions qu’ils viennent de prendre. Berne s’est prononcé sur un projet d’agglomération global. Or, pour que la Confédération maintienne son taux de financement, il faut qu’il y ait une cohérence globale. Là où on avait atteint un taux de subventions de 40%, la non réalisation de projets franco-genevois pourrait inciter Berne à revoir à la baisse sa participation.» Et d’ajouter : «Que fait Genève des 600 millions d’impôt à la source qui restent dans ses caisses ? cette question, Paris va se la poser, la Région Rhône-Alpes va se la poser, le département de Haute-Savoie va se la poser et les Genevois qui habitent en France sont aussi en droit de se la poser. Ces derniers commencent à se demander ce que fait Genève pour eux.»

- L’association Genevois sans frontière, qui représente les Suisses habitant en France voisine: «Nous regrettons que la dimension du Grand Genève peine toujours à s'imposer dans les réflexions et dans les projets de l'agglomération genevoise, dès lors que l'on estime à plus de 80000 le nombre de Suisses et binationaux résidant en France voisine et à plus de 30000 ceux qui travaillent à Genève. A ces actifs, s’ajoutent les membres de leur familles, mais aussi les retraités suisses et genevois. Ce phénomène qui n'est pas près de se tarir, nécessite que les autorités genevoises et françaises s'emploient sans délais à communiquer à la population genevoise, l'utilisation faite des impôts a la source et des cotisations sociales versées par les Suisses résidant en France voisine et travaillant à Genève. Il devient en effet de plus en plus absurde que ces derniers soient considérés comme des citoyens Suisses de deuxième catégorie.»

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/10157684

Le reportage de F3 Alpes http://alpes.france3.fr/2014/05/18/les- ... 79805.html

ATS, 18 mai

[align=center]Les Genevois refusent de cofinancer des parkings en France voisine[/align]
Les Genevois ont refusé dimanche à 51,1% le cofinancement de parkings en France voisine mais ils ont accepté à 53,8% l'initiative contre la hausse des tarifs des transports publics.

Le refus de 51,1% des Genevois de cofinancer cinq parkings relais (P+R) en France voisine donne un coup de frein au développement de la région. Il met aussi à mal la mobilité douce, à l'instar de l'initiative de l'AVIVO pour baisser les tarifs des TPG, qui a été acceptée, elle, par 53,8% des voix. La participation au scrutin s'est montée à 57,1%.

Le MCG avait lancé un référendum contre le crédit de 3,1 millions de francs pour la construction de cinq parcs relais (P+R) en Haute-Savoie (F), sur des lignes de transports publics. Dans la foulée, il dénonçait le versement par Genève de 240 millions d'euros sur dix ans pour financer des infrastructures routières en France dans le cadre du projet d'agglomération franco-valdo-genevois.

Un échec pour la région franco-valdo-genevoise
Le crédit refusé dimanche constituait la première tranche de cette contribution. François Longchamp, président du Conseil d’État, parle d'un "échec pour la région à tous points de vue". Des incertitudes pèsent désormais sur l'extension de la ligne du tram 12 jusqu'à Annemasse (F).

"Chacun doit faire sa part", a réagi Eric Stauffer, président d'honneur du MCG. Le parti anti-frontalier gagne de justesse son pari. C'était la première fois qu'il lançait un référendum seul.

En refusant de participer au financement de 831 places de stationnement en France voisine, pour un coût moins élevé que dans le canton, les Genevois ont aussi rejeté une solution visant à réduire le trafic pendulaire.

[Didier 74]

La Tribune de Genève, 19 mai

[align=center]Carole-Anne Kast : «Barthassat ne fait pas mieux que Künzler»[/align]
Après le rejet par les Genevois du cofinancement de parkings relais frontaliers, c'est l'heure des comptes. Le MCG et les Français durcissent le ton.

Le référendum du MCG contre un crédit de 3,1 millions devant servir à la construction de cinq parkings relais à la frontière a été accepté par 51,2% des votants. Seuls 2971 votes séparent le camp victorieux (MCG et UDC) du groupe très fourni des battus (le Conseil d’État et tous les autres partis).

Carole-Anne Kast, présidente du Parti socialiste et conseillère administrative à Onex, estime que la responsabilité de la double défaite sur la mobilité (avec l’initiative acceptée de l’Avivo) incombe principalement au Conseil d’État. «Alors que la droite accusait Michèle Künzler de ne pas réussir à convaincre la population, force est de constater que Luc Barthassat, le ministre PDC en charge de la Mobilité, n’arrive guère à faire mieux.» Même réaction de la présidente des Verts. Lisa Mazzone évoque «un triste dimanche pour la mobilité à Genève». Et de tacler, elle-aussi, le conseiller d’État Luc Barthassat, «très peu présent durant la campagne».

Alain-Dominique Mauris, président du Parti libéral-radical, ne cachait pas dimanche sa déception : «Une analyse purement pragmatique montrait qu’il était plus avantageux pour Genève de cofinancer ces parkings sur France. Malheureusement, c’est la perception purement subjective et émotionnelle de la situation qui s’est imposée dans les urnes.»

Le président du Parti libéral-radical, a admis que les partis gouvernementaux avaient trop laissé le champ libre au MCG durant la campagne : «Nous en avons très peu fait. Tout simplement parce que nous n’avons plus d’argent pour cela. C’est la 22e campagne (élections et votations) que nous menons en trois ans. Il y a aussi des limites à ce que l’on peut investir en temps.» Dont acte. Le PLR n’a plus d’argent. Et le Parti socialiste ? «Non, ce n’est pas vraiment une question de finances, répond Carole-Anne Kast, sa présidente. Nous avons décidé de mettre l’accent sur l’initiative syndicale en faveur du salaire minimum.

Sommet Longchamp Monteil cette semaine
François Longchamp va rencontrer la semaine prochaine Christian Monteil pour faire le point après l’électrochoc de dimanche. Car c’est toute une stratégie qui est remise en cause. «Nous avions ciblé une série de projets bénéfiques de part et d’autre de la frontière pour lesquels Genève aurait pu participer financièrement», poursuit François Longchamp. On y trouve d’autres P+R, mais également le prolongement de lignes de tram sur le territoire français. C’est ce programme, qui prévoyait environ 293 millions de francs de participation genevoise sur dix ans, qui a été remis en cause.

Pour certains élus français, le dommage pourrait même être bien plus grave. Ils pensent que le non genevois fait peser un risque sur la part fédérale du financement du projet d’agglomération. Roger Golay, président du MCG et conseiller national n'a hésité à mettre dimanche le Conseil d’État en garde: «S'il s’avise de proposer un crédit pour une ligne de tram sur France, nous aurons 60 à 70% des électeurs qui soutiendront notre référendum.»

En France voisine, les élus se crispent
«C’était le rendez-vous ! déplore Christian Monteil, président du Conseil général de Haute-Savoie. Des engagements avaient été pris par le Conseil d’État, ils ne pourront être tenus. Ce vote appartient au peuple genevois mais il est certain qu’il va rendre plus difficile le travail fait autour du Grand Genève.» Certains n’hésitent pas à tacler haut et fort. Tel le conseiller général de l’Ain Guy Larmanjat : «Ce vote démontre que le fonds de 240 millions d’euros sur 10 ans a été un leurre présenté par le Conseil d’État genevois pour inciter les Français à signer le projet d’agglo 2. D’autant que s’il y avait un projet qui devait passer c’était bien celui-là : du foncier, pris sur France pour éviter des voitures sur Genève !»

Étienne Blanc, député maire de Divonne estime que la responsabilité est partagée : «Depuis deux ans, le bureau exécutif de l’Arc (ndlr : le syndicat mixte des collectivités françaises entourant Genève) mène une politique calamiteuse. Il faut tirer les conséquences de ce nouvel échec et repenser notre stratégie politique commune.»

Un brin plus clément, le nouveau président de la communauté de communes du Genevois Pierre-Jean Crastes salue le courage de certains politiques genevois: «Pour la première fois, on entendait les élus majoritaires expliquer que la part de l’impôt des frontaliers – dont près de 40% sont Suisses – qui reste à Genève doit servir à financer ces infrastructures utiles à la qualité de vie des Genevois et à la pérennité du développement de Genève.»

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/19628812

tdg.ch, 19 mai

[align=center]P+R : la presse hexagonale commente un vote «anti-Français»[/align]
Le Dauphiné libéré analyse négativement le résultat du scrutin genevois. De son côté, le MCG Carlos Medeiros s’explique au micro de France 3 Alpes.

«Le MCG, qui nous traite d’“envahisseurs” et de “mendiants” peut se frotter les mains», écrit Le Dauphiné Libéré dans ses éditions régionales de ce lundi, au lendemain du vote par lequel les Genevois refusent de financer les P+R. «Décidément, le sentiment anti-Français se manifeste sans complexe.»

Le Mouvement citoyens genevois (MCG) a pu s’expliquer au micro de France 3 Alpes. «Ce n'est pas un vote anti-français, ce n'est pas un vote anti-frontalier», se défend Carlos Medeiros. «Les priorités du peuple genevois (...) ne sont pas forcément de donner de l’argent à la France pour qu’elle construise un parking relais».

«Le MGC, parti régionaliste et populiste»
Les Échos consacre un encadré au vote cantonal genevois. «Depuis 1995, [le système des P+R] vise à réduire le trafic et le stationnement automobiles au centre de l’agglomération, en offrant aux transfrontaliers la possibilité de laisser leur voiture en périphérie et de poursuivre leur trajet en transport public», rappelle le grand quotidien économique français.

«Mais le MGC (sic), parti régionaliste et populiste a mené campagne contre ce qu’il appelle un «cadeau» offert aux frontaliers et à la France avec les impôts du canton», poursuit le quotidien. «Tous les autres partis et le gouvernement soutenaient cette mesure.»

«La Haute-Savoie va se les construire toute seule»
«Les places de stationnement arrivent à saturation (à Gex)», titre Le Pays Gessien en une de son site Internet. Mais l’hebdomadaire en est resté à son édition de jeudi. Le maire de Gex, Patrice Dunand, envisageait déjà de «faire appel à d'autres sources de financement» en cas de refus du crédit P+R par les Genevois. «Les communes n’auront peut-être d’autres choix que de participer financièrement», s’inquiétait déjà le maire.

Pour Le Dauphiné, le financement n’est pas un problème. «Ses cinq P + R, la Haute-Savoie va donc se les construire toute seule», lance-t-il. «Car le problème n’est pas là, le département, avec un budget d’un milliard et demi, peut consacrer deux millions et demi de plus à ces parkings», estime le quotidien régional, citant le président du conseil général Christian Monteil : «L’engagement est pris, je ne veux punir personne, ni les entreprises, ni les frontaliers, il n’y aura pas de mesures brutales».

«Genève en subira les conséquences»
Dans les colonnes du Dauphiné, Christian Dupessey, le maire d'Annemasse, envisage une «nouvelle méthode de financement». «Un vote sur les P+R qui fragilise la construction solidaire du #GrandGeneve mais c'est Genève qui en subira les conséquences :embouteillage (sic)», écrivait-il hier sur Twitter.

«La construction politique du Grand Genève prend encore un mauvais coup», poursuit Le Dauphiné Libéré. Il va falloir trouver «une méthode à l’abri des votations», conclut le quotidien. On imagine mal que l’idée plaise aux Genevois qui ont glissé un «non» au crédit d’investissement dans les urnes, ni qu’elle améliore l’image du Grand Genève auprès de la population.

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/26823700

Le reportage dans le 12h45 sur RTS Un http://www.rts.ch/video/info/journal-12 ... isine.html et celui du 19h30 http://www.rts.ch/video/info/journal-19 ... rance.html

Le reportage de TV8 Mont-Blanc http://lejt.tv8montblanc.com/Les-genevo ... v8895.html

La réaction de Jean-Jack Queyranne http://www.rhonealpes.fr/uploads/Extern ... 511942.pdf

[Didier 74]

alpes.france3.fr, 19 mai

[align=center]SNCF. Trafic interrompu pendant deux heures sur la ligne Grenoble-Lyon après un suicide[/align]
Ce lundi 19 mai, le trafic des trains a été très perturbé une partie de la matinée après le suicide d'un homme près de la gare de Cessieu, entre La Tour-du-Pin et Bourgoin-Jallieu.

Vers 10H ce matin, l''homme s'est jeté sur la voie au passage d'un TGV Paris-Modane, à quelques centaines de mètres de la gare de Cessieu. Le train est resté immobilisé sur la voie avec 300 voyageurs à son bord pendant près de deux heures.

En tout, une quinzaine de trains ont été impactés par cet événement sur la ligne Lyon-Grenoble, dans les deux sens. Un système de navettes TER a été mis en place entre Lyon et Bourgoin-Jallieu dans un sens et entre Grenoble et Saint-André-le-Gaz dans l'autre. Après les premières constations de gendarmerie, le trafic ferroviaire a pu reprendre normalement peu avant midi.

Source http://alpes.france3.fr/2014/05/19/sncf ... 80155.html

Lire aussi http://www.ledauphine.com/isere-nord/20 ... par-un-tgv

[Didier 74]

francetvinfo.fr, 19 mai

[align=center]En Belgique, des billets de train gratuits pour aller voter aux européennes[/align]
Le dispositif va être mis en place du 23 au 25 mai pour booster les chiffres de la participation belge.

Le cas de Malte a-t-il inspiré la Belgique, à quelques jours des élections européennes ? Selon le quotidien belge Le Soir, lundi 19 mai, la SNCB, équivalent belge de la SNCF, va offrir aux habitants des billets de train gratuits afin de les inciter à voter lors du scrutin du 25 mai. Ce jour-là, les Belges sont appelés aux urnes non seulement pour les européennes, mais aussi pour les élections fédérales et régionales.

Disponible aux guichets, ce billet "électeur" permet de se rendre dans la gare la plus proche du bureau de vote où la personne doit voter. Il s'adresse à quatre catégories de Belges : ceux qui n'habitent plus dans la commune où ils doivent normalement voter, séjournent dans un hôpital ou travaillent dans une autre ville, voire à l'étranger, et les étudiants vivant loin de leur commune électorale. Le billet sera valable du vendredi soir au dimanche soir.

Source http://www.francetvinfo.fr/elections/eu ... 04021.html

[Didier 74]

tdg.ch, 20 mai

[align=center]Genève P+R : le «non» le plus serré depuis l’an 2000[/align]
Jusqu’au vote de dimanche, le dernier refus à moins de 52% d’un objet cantonal remontait à l’an 2000 : 50,9% de «non» au contre-projet «Pour un droit des pauvres équitable».

Dimanche, 51,1% des électeurs Genevois ont refusé le crédit d’investissement pour les parking relais. Seules 2965 voix séparaient le «non» du «oui». Le dernier refus d’un objet cantonal à moins de 52% remonte au 26 novembre 2000 : 50,9% des Genevois refusent le contre-projet «Pour un droit des pauvres équitable».

Proches d’un point de vue statistique, ces deux scrutins se sont déroulés dans des conditions très différentes : le contre-projet de l’an 2000 s’opposait à l’initiative populaire cantonale «Pour la suppression partielle du droit des pauvres», qui a passé la rampe. L’initiative comme le contre-projet visaient à réformer la taxe de 13% sur les loteries et tombolas, une spécificité genevoise qui remontait à 1887.

En revanche, le Canton est un habitué du «oui» à la raclette. Depuis l’an 2000, quatre objets cantonaux ont été acceptés à moins de 51%. En 2002, l’initiative «Pour une contribution de solidarité temporaire des grandes fortunes» obtient 50,3% des suffrages et passe à 695 voix près. Deux ans plus tard, la «Loi modifiant la loi (sic) sur la vente à l'emporter des boissons alcooliques» passe avec 50,4% des voix. En 2006, la «Loi constitutionnelle pour une gestion saine et démocratique des finances publiques dans la durée» divise également les électeurs Genevois : elle obtient 50,7% de «oui».

La palme du clivage du corps électoral revient à l’initiative 144 «Pour la mobilité douce», acceptée à 603 voix près le 15 mai 2011.

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/31781846

[Didier 74]

leprogres.fr, 21 mai

[align=center]Un TGV Avignon-Lyon arrêté d’urgence en pleine voie après avoir percuté une personne[/align]
Une personne a été heurtée par un train entre les gares de Valence et Allan. La circulation a été interrompue à 17 heures pour permettre l'intervention des secours.

Certains trains empruntent désormais un autre itinéraire pour contourner l'incident, indique la SNCF. Ces trains desservent Valence-ville à la place de Valence TGV, des navettes sont mises en place entre ces deux gares.

Les faits se sont produits à une quinzaine de kilomètres au sud de Valence. Les passagers ont été informés qu’il y aurait environ 2h30 de retard. Cet accident peut également entraîner d’autres retards sur la ligne.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/2 ... e-personne

La gare d'Allan n'existe pas. Il n'y a pas de TGV Avignon - Lyon.

[TrainaLyon]

Mais l'accident existe bien : http://www.infolignes.com/previsions.ph ... me=Sud-Est

Nouvelle preuve de l'approximation habituelle de certains au Progrès...

[Didier 74]

leprogres.fr, 21 mai

[align=center]Lyon : un piéton renversé par le tramway[/align]
Une femme a été blessée mercredi après-midi alors qu’elle traversait les voies du tramway sans voir qu’une rame arrivait.

L’accident s’est produit à 14 heures sur la ligne T3 reliant la gare de la Part-Dieu à Meyzieu ZI après l’arrêt Reconnaissance Balzac. Touchée à la tête, la victime a été transportée à l’hôpital Edouard-Herriot.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/2 ... le-tramway

[Didier 74]

mobilicites.com, 21 mai

[align=center]Travaux ferroviaires : le secteur se concentre[/align]
La concentration se poursuit sur le marché des travaux ferroviaires, un secteur tiré par les efforts de rénovation du réseau classique mené par Réseau ferré de France (RFF). Le groupe de travaux publics NGE (ex Guintoli) qui a avalé TSO en 2011, renforce son pôle consacré aux travaux ferroviaires sur la zone géographique du grand sud ouest en rachetant plusieurs entreprises.

NGE a annoncé le 20 mai l’acquisition des entreprises Egenie (11,8 millions d’euros de CA en 2012) et Sages rail (3,6 millions d’euros en 2012) toutes deux implantées dans le Tarn à Saint-Sulpice.

Parmi les références affichées par ces deux PME qui emploient 125 personnes, on trouve notamment la ligne E du tramway toulousain avec Alstom, le renouvellement de voie et de ballast de la ligne ferroviaire vers Agen, les travaux de voie et terrassement en gare de Toulouse-Raynal, le chantier de la gare de Perpignan, ou encore les travaux sur ligne Bordeaux-Sète.

"Ce rapprochement va permettre à Egenie de rentabiliser ses investissements et de se déployer dans sa région" indique Thierry Baudot son directeur général. Avec Sages rail, spécialisé dans la sécurité ferroviaire des lignes fermées, les annonces de circulation sur les lignes en travaux, TSO acquiert un métier qu’il n’avait pas.

Cet investissement réalisé par ce concurrent d’ETF (Vinci) et Colas Rail ( Bouygues) est à replacer dans un contexte porteur. La longueur du réseau rénové par RFF est passé de 500 en 2005 à 1000 kilomètres l’an passé, un effort qui limite le rythme de vieillissement du réseau classique. En terme financier, les chiffres sont tout aussi parlants. 2,7 milliards d’euros ont été dépensé en 2013 par RFF, soit une hausse de 23%, pour moderniser le réseau.

Avant son renforcement, TSO représentait environ 200 millions d’euros (dont 25% à l’export) d’activité au sein du groupe NGE qui affiche une activité de 1,44 milliards d’euros.

Source http://www.mobilicites.com/011-2827-Tra ... entre.html

[Didier 74]

ATS, 21 mai

[align=center]L'entretien du réseau CFF va coûter plus cher que prévu[/align]
Si les infrastructures des CFF sont globalement en bon état, le Rapport sur l'état du réseau 2013, publié mercredi, souligne un besoin de rattrapage dans l'entretien de 2,3 milliards de francs.

Le besoin de rattrapage dans l'entretien du réseau CFF est plus important que supposé. Les rails en particulier souffrent de la densité du trafic et du fait que les trains sont plus lourds et accélèrent plus fortement que par le passé, selon le Rapport sur l'état du réseau 2013.

Ces dernières décennies, la voie ferrée n'a pas fait l'objet de travaux d'entretien et de rénovation suffisants. Par conséquent, par rapport à l'an dernier, le besoin de rattrapage réévalué passe de 1,8 à 2,3 milliards de francs pour l'ensemble des installations.

Programme de financement
Selon le rapport, 71% des installations sont en bon ou en très bon état, 22,5% dans un état moyen, et 6,5% dans un état mauvais ou critique. La situation globale est donc bonne et représente une valeur d’acquisition estimée à 91,4 milliards de francs.

Les CFF ont lancé un programme "Financement et pilotage du réseau ferroviaire" afin de contribuer "de manière notable" au financement non couvert de l'entretien.

[Didier 74]

alpes.france3.fr, 21 mai

[align=center]Bus Crolles/Grenoble, le terminus en question[/align]
Une association d'usagers proteste contre un projet de modification de la ligne Crolles / Grenoble (6020). Son terminus serait ramené de la gare de Grenoble à la place de Verdun, à partir de la rentrée prochaine. Économies à la clé, selon le Conseil Général, en charge du transport par cars.

Ce n'est pour l'instant qu'un projet, mais il mobilise déjà la très active ADTC, une association d'usagers des transports en commun de l'Isère. Le Conseil général, en charge des cars Transisère, envisage de modifier le terminus de la ligne 6020 Crolles/Grenoble. A partir de septembre 2014, les bus n'iraient plus au-delà de Verdun/Préfecture. Les usagers devraient donc, ensuite, prendre un nouveau billet (sauf pour les abonnés) pour emprunter le tram et se rendre en centre ville. 700 voyageurs seraient concernés chaque jour.

Quatre arrêts seraient donc supprimés (Gares, Dr Mazet, Victor Hugo et Chavant), dont les trois plus fréquentés de la ligne correspondant à près d'un voyage sur deux, selon l'ADTC.

Selon l'ADTC, cette restructuration, déjà envisagée il y a quatre ans mais repoussée car tout le monde était contre, a été remise à l'ordre du jour sans concertation.

Pour le Conseil général, il s'agit de faire des économies. Mais également de réduire la pollution et les embouteillages sur les boulevards Agutte Sembat et Édouard Rey.

Vidéo http://alpes.france3.fr/2014/05/21/cars ... 82215.html

[Didier 74]

Mais l'accident existe bien : http://www.infolignes.com/previsions.ph ... me=Sud-Est

Nouvelle preuve de l'approximation habituelle de certains au Progrès...

Il s'agit d'un TGV bi-tranche Marseille - Genève / Le Havre avec 421 passagers à bord. L'accident a eu lieu à Chabeuil Voir http://www.ledauphine.com/drome/2014/05 ... par-un-tgv

[Didier 74]

SNCF s’explique un peu sur la suppression estivale d'un AR Paris - Chambéry - Aix - Annecy.

Jusqu’à présent, l’offre Paris <> Chambéry/Aix/Annecy était composée de 7 allers-retours en semaine toute l’année, malgré les fluctuations de la demande en fonction de la saison : beaucoup plus de voyages en hiver qu’en été notamment.
Les TGV Paris-Chambéry-Aix-Annecy étant composés de clients se déplaçant pour des motifs professionnels ou loisirs, nous avons constaté qu'en été comme sur d’autres marchés similaires comme Grenoble, une baisse significative de la clientèle professionnelle et un tassement de la clientèle loisirs malgré nos actions commerciales (« petits prix », TGV 100% Prem’s) ; les taux d’occupation de l’ensemble des TGV sont restés insuffisants pour atteindre l’équilibre.
C’est pourquoi, et en tenant compte des horaires les plus plébiscités, nous avons choisi d’alléger la desserte d’un aller/retour en été, passant ainsi de 7 à 6 pendant 8 semaines environ. Les rames économisées ont notamment été réinjectées sur les nouvelles dessertes au départ d’Annecy, Aix et Chambéry vers la Méditerranée durant tous les week-ends d’été et offrant ainsi une offre directe des Alpes vers le sud.

Source http://questions.sncf.com/questions/691 ... er_1439565

[Didier 74]

lemonde.fr, 22 mai

[align=center]Les syndicats veulent une fusion SNCF-RFF plus poussée[/align]
Dure semaine pour la SNCF et les Réseaux ferrés de France (RFF). Les deux entreprises publiques, mises en cause pour avoir commandé 2 000 TER plus larges que certains quais de gare – une bévue qui pourrait coûter 50 millions d'euros –, doivent affronter les critiques des cheminots, mobilisés jeudi 22 mai contre le projet de réforme ferroviaire.

Plusieurs milliers de manifestants (22000 selon la CGT) ont défilé à Paris, entre Bastille et Montparnasse, à l'appel des principaux syndicats CGT, UNSA, SUD-Rail et FO. Ils dénoncent le projet de loi, examiné les 17 et 18 juin par les députés, qui cherche à regrouper en un seul grand groupe public la SNCF et RFF, dont les activités ont été séparées en 1997.

« LA PREUVE QUE LE SYSTÈME NE FONCTIONNE PAS »
Les syndicats considèrent que « cette réforme n'est pas du tout celle annoncée en 2012 » et réclament une fusion plus poussée. Selon la CGT, le projet préparé par l'ex-ministre socialiste Jean-Louis Bianco prévoit non pas le retour à une seule entité, mais la scission en trois entreprises publiques industrielles et commerciales.

« Le projet de loi proposé ne réunifie pas le système. Il prépare les conditions de l'éclatement total du système ferroviaire pour le jeter en pâture aux lois de la concurrence. »

L'affaire des trains trop larges « pourrait relever du vaudeville si elle n'était la conséquence de la séparation entre la SNCF et RFF » dénonce la CGT. Selon Marc Baucher (UNSA), présent dans le défilé parisien, la bévue des trains, « malheureusement, renforce notre positionnement sur une réunification. C'est la preuve flagrante que le système ne fonctionne pas ».

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

[Didier 74]

leprogres.fr, 22 mai

[align=center]Lyon : une femme meurt percutée par un train en gare de la Part-Dieu[/align]
L’accident est survenu avec un train de fret vers 7h50, ce jeudi matin, sur la voie D de la gare de Lyon Part-Dieu, dans des circonstances qui restent encore à établir. Malgré l’intervention des pompiers et du Samu, la victime est décédée.

Les voies C et D ont été neutralisées entre 7h50 et 9h15. Toutefois, le perturbations ont été limitées. La direction régionale de la SNCF fait état de retards de 5 à 10 minutes.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/2 ... -part-dieu

[Didier 74]

Chambéry rend gratuit des parkings le samedi après-midi en centre-ville.

L'Essor Savoyard, 22 mai

[align=center]Trois parkings du centre-ville gratuits dès le 7 juin les samedis après-midi[/align]
Un long débat autour de la gratuité des parkings...

Point sucré d'une séance étirée du conseil municipal mercredi 14 mai, le débat qui devait déterminer l'opportunité de rendre trois parkings gratuits en centre ville le samedi après midi n'aura pas déçu, si l'on en croit la vigueur des interventions de chacun.

Dans les faits, ce ne sera qu'un essai qui restera à transformer. Ou non.
De 14 heures à 19 heures, les parkings du Château, de la Falaise et des Ducs, tous sous gestion de la mairie, seront gratuits les samedis à compter du samedi 7 juin (et non le 1er juillet comme envisagé au préalable), mesure évaluée au terme de 6 mois d'essai. C'est le choix de cette nouvelle mandature, de façon à dynamiser le petit commerce du centre ville. Un suivi sera assuré mais avant même sa mise en place, elle a déjà fait bondir les oppositions : « Vous pensez la ville sur des logiques anciennes », replaçait Henry Dupassieux. « Cette mesure va provoquer la saturation de ces parkings et la sous-utilisation de ceux sous délégation. Ensuite, le stationnement n'est jamais gratuit, il est reporté sur les contribuables ». Le dernier point évoqué, celui de la pollution engendrée par un afflux de véhicules, consécutif à un délaissement des transports en commun, ce qui va, aux yeux de l'élu, à l'encontre de tous les standards actuels... Sur Chambéry, Henry Dupassieux promet que le taux de paiement est de 33% quand « il se situe à 55% en moyenne, en France » . Soit 1,7 procès verbal par mois par place de parking, « des chiffres insuffisants ». Guy Fajeau (Chambéry cap à gauche), de son côté, s'est dit, lui, favorable « à toute mesure susceptible de dynamiser le centre ville » .
Enfin, Bernadette Laclais, jusqu'ici retenue par ses obligations parlementaires, se disait plus enthousiaste « à l'idée d'une gratuité sur une période plus courte, 5 heures, c'est long. Ça va à l'encontre d'une rotation rapide des véhicules en centre ville ». Et puis il y a le problème des abonnés, « comment leur garantir un accès permanent à leur place ? », s'interrogea-t-elle.
Autant dire que les interrogations des opposants n'ont pas manqué d'apporter de l'épice à un plat déjà relevé. Ce à quoi Michel Dantin répliqua par une sérénité non feinte. « Cette décision se place sous le seul signe de l'attractivité », souligna-t-il. « Les recettes de remplissage de ces trois parkings sont plutôt faibles (NDLR : environ 600 euros par parkings chaque samedi).
Cette mesure va conduire les usagers vers ces places disponibles ». Il rappela alors qu'il ne s'agissait « que d'un essai ». Les abonnés permanents le samedi n'occupant que 15% de l'ensemble des parcs, ce ne devrait pas être un problème majeur pour l'actuelle majorité.
Ce test devant convaincre les Chambériens de demeurer dans les murs de la ville plutôt qu'aller acheter à Aix, Grenoble ou même Annecy, on saura à la fin de l'année sur il aura été concluant. Il ne l'est pas aux yeux de tous, au conseil.

Source http://www.lessorsavoyard.fr/Actualite/ ... uits.shtml

[Didier 74]

ledapuphine.com, 23 mai

[align=center]BOURGOIN-JALLIEU Une lycéenne gifle la conductrice du car[/align]
Hier après-midi, une lycéenne de 16 ans a été entendue par les policiers berjalliens après une plainte déposée pour des faits de violences par une conductrice de la société Car Postal.

Les faits remontent au 12 mai. Vers 17h50, à la gare routière, l’un des cars démarre lorsqu’une lycéenne, en retard, frappe sur les portes arrières afin de faire stopper le véhicule. L’un de ses copains, passager du car, intervient aussitôt et tente d’actionner lui-même l’ouverture des portes. Afin de parvenir à ses fins, il s’impose physiquement face à la conductrice. Grimpant alors dans le car, la jeune fille se dirige aussitôt vers la conductrice et lui assène deux gifles avant de s’asseoir.

Très rapidement identifiée, la lycéenne a été entendue, tout comme son copain qui a actionné les portes. La jeune fille fera l’objet d’une mesure de réparation.

Source http://www.ledauphine.com/isere-nord/20 ... u-car-yypp

[Didier 74]

ledauphine.com, 23 mai

[align=center]AIX-LES-BAINS Une voiture fonce dans un bus[/align]
Vers 9 heures ce vendredi matin, à Aix-les-Bains, une voiture est entrée en collision avec un bus de transport en commun, avenue du Golf. Les deux véhicules circulaient en sens opposé. La voiture s’est progressivement déportée sur sa gauche alors que le bus arrivait en face. Le chauffeur n’a rien pu faire pour éviter l’accident. Le conducteur du véhicule a été secouru par les pompiers et la circulation, très perturbée, a dû être régulée toute la matinée.

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2014/0 ... ans-un-bus

[Didier 74]

ledauphine.com, 25 mai

[align=center]Incendie d'un wagon de fret à Glun, la D86 rouverte[/align]
Après l'incendie d'un wagon de fret vers 2h30 ce dimanche matin à Glun, la D86 sera de nouveau coupée, demain, entre Glun et Saint-Péray.

12h35 : La D86 sera de nouveau coupée, demain de 8 à 16 heures minimum, entre Saint-Péray et le carrefour de Glun, afin de permettre l'évacuation du wagon incendié. Il semble que l'incendie ait été causé par une pièce mécanique qui aurait frotté le long de la voie, après s'être décrochée. La pièce aurait endommagé près de 28 km de ligne ferroviaire. Les dégâts devraient être réparés d'ici demain.

11 heures : Les forces de l'ordre, présentes sur place, tentent d'évacuer une partie du convoi , à l'aide de leurs moyens de relevage. La grue routière, attendue dans un premier temps dans la journée, devrait finalement intervenir demain matin. La D86 pourrait être coupée, demain dès 8 heures, pour permettre l'évacuation du reste du convoi.

8h15 : Le wagon pourrait être évacué dans la journée. Plusieurs kilomètres de voie pourraient avoir été endommagés à partir de Sarras. Le trafic sur cette ligne, réservée aux trains de fret, est interrompue.

7h10 : Bison futé communique : "Suite à l'incendie d'une remorque frigorifique, maintenant terminé, la RN86 est rouverte à la circulation. Une coupure est envisagée, sans précision horaire, au moment où il faudra retirer la wagon supportant la remorque."

6h40 : Le train de marchandises, d'une longueur de 782 mètres, comprenait 23 wagons dont l'un d'entre eux a pris feu vers 2h30. La thèse de l'incident technique serait privilégiée.Il n'y a pas de blessés. Des agents SNCF sont sur les lieux, une grue est attendue pour évacuer les wagons.

Source http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/ ... d86-coupee

[Didier 74]

Le Dauphiné Libéré, 25 mai

[align=center]VALENCE Conductrice d’un bus braquée : un jeune homme recherché[/align]
Il est environ 13 heures ce vendredi quand la conductrice d’un bus entre dans le quartier du Polygone à Valence.

C’est là, alors qu’elle parcourt sa ligne, qu’un incident va se produire.

La jeune femme, au volant de son engin, va en effet surprendre des jeunes en train de s’affairer à manipuler, autour d’une voiture, une arme de poing. Sans doute un pistolet.

L’un de ces garçons croise alors le regard de ce témoin, qu’il doit très vraisemblablement considérer comme “gênant”.

Il croise son regard et s’empare aussitôt du pistolet
Tout va très vite. Le jeune homme s’empare de l’arme et la braque aussitôt vers la conductrice.

Extrêmement choquée, cette dernière ne va pas se démonter. Elle va même, tout en poursuivant son trajet, alerter le commissariat et donner aux policiers un signalement de l’individu avant d’aller déposer plainte.

Rapidement dans le secteur signalé par la jeune femme, les policiers du Groupe d’intervention départemental (GID) vont mener des premières investigations.

Hier soir, le jeune homme qui a exhibé l’arme était toujours recherché par les policiers valentinois.

Source http://www.ledauphine.com/faits-divers/ ... -recherche

[Didier 74]

ATS, 26 mai

[align=center]Le nouvel horaire CFF 2015 sera favorable à Fribourg[/align]
L'horaire 2015 CFF est ouvert à la consultation jusqu'au 15 juin, a indiqué lundi l'Office fédéral des transports. Il comporte notamment une offre plus étoffée pour la région de Fribourg.

Le nouvel horaire 2015 pour trains, bateaux, bus et téléphériques peut être consulté sur internet jusqu'au 15 juin sur le site http://www.projet-horaire.ch, a indiqué lundi l'OFT. Les usagers peuvent signaler d'éventuelles incohérences.

La 2e étape du RER fribourgeois permettra une offre de trafic en hausse de 30%, indiquent les CFF. Deux trains par heure circuleront dès le 14 décembre en semaine sur les lignes régionales Fribourg – Romont et Fribourg – Payerne Yverdon-les-Bains. Enfin, la nouvelle halte de Fribourg Poya sera ouverte.

Trafic nord-sud plus confortable
Pour le trafic nord-sud, le confort sera amélioré, selon les CFF. Huit ETR 610 entreront en service sur l’axe du Gothard et remplaceront les trains de première génération connus pour leur nombreuses pannes.

Le plus gros changement à rappeler, qui interviendra dès cet été, concerne surtout la Suisse alémanique avec l’ouverture de la ligne diamétrale de Zurich.

L'horaire en ligne des CFF sera disponible fin octobre.

Vaud veut doper ses lignes dans la Broye et la Vallée de Joux
Le Conseil d’État vaudois veut développer l'offre ferroviaire dans la Broye et à la Vallée de Joux, deux régions longtemps délaissées. Pour aller vite, il va préfinancer les études afin que ces projets fassent partie du prochain crédit-cadre de la Confédération pour 2017-2020.

Le programme, ambitieux, vise à améliorer la desserte et les cadences du RER vaudois ainsi qu'à sécuriser des lignes excentrées qui sont exploitées par les CFF.

Le sujet diffusé au 12h45 sur RTS Un le 26 mai http://www.rts.ch/video/info/journal-12 ... -2020.html et celui de Couleurs locales http://www.rts.ch/video/info/journal-12 ... -2020.html

Les changements au SA 2015 :
- trafic GL http://www.projet-horaire.ch/fileadmin/ ... r_2015.pdf
- trafic régional http://www.projet-horaire.ch/fileadmin/ ... rungen.pdf

[Didier 74]

ATS, 27 mai

[align=center]Les zones 30 km/h gagnent en popularité dans les villes suisses[/align]
Le Bureau de prévention des accidents a commandé un sondage qui révèle que près de la moitié des Suisses approuveraient en votation l'introduction de zones 30km/h dans toutes les communes.

Les zones 30 km/h dans les localités gagnent en popularité. Si une votation avait lieu à ce sujet, près de la moitié de la population approuverait leur introduction, à l'exception des axes principaux qui resteraient à 50 km/h, selon un sondage commandé à l'institut d'études de marché Link, par le Bureau de prévention des accidents.

La part des partisans des zones 30 a ainsi passé de 39% en 2002 à 48% en 2014. 65% des personnes interrogées estiment que l'introduction de zones 30 permet de réduire le risque d'accidents.

Femmes, seniors et Tessinois
Les zones 30 ont particulièrement la cote auprès des femmes, des seniors, des Tessinois, des personnes avec un niveau de formation élevé et auprès de celles qui ne prennent jamais ou peu le volant.

Les adversaires citent divers arguments, comme la perte de temps (39%), des zones 30 en nombre déjà suffisant (15%), le risque d'amendes (11%) ou le danger accru qu'elles représentent (8%).

[Didier 74]

reporterre.net, 27 mai

[align=center]La désastreuse autoroute A 65 entre Pau et Langon continue à voir son trafic baisser[/align]
L’autoroute la plus chère de France, qui a ravagé des zones humides entre Pau et Langon, en Aquitaine, montre chaque jour un peu plus son inutilité et son absurdité. Alors que la fréquentation est largement inférieure aux prévisions, le trafic continue de baisser.

Pour la quatrième année consécutive, les associations SEPANSO Aquitaine, ARLP et LEA ont effectué pendant vingt-quatre heures leur comptage annuel sur l’A65 (1).

Le trafic total journalier moyen de 5242 véhicules/jour mesuré, en baisse par rapport à 2013, est inférieur de près de 48% à l’objectif affiché par le concessionnaire pour 2014.

Ainsi plus de trois ans après la mise en service de cette infrastructure, et malgré l’obligation faite aux camions de transit circulant sur l’axe Langon-Pau de délaisser la route au profit de l’autoroute (2), le trafic total de l’autoroute la plus chère de France stagne en Gironde et baisse au sud de Mont-de-Marsan.

Dans un même temps, le trafic de la RN 524 avec 8701 véhicules/jour dont encore 415 poids lourds, affiche une insolente vigueur et démontre, si besoin était, la nécessité qu’il y aurait à aménager et sécuriser cet axe important.

Après avoir obligé une majorité des poids lourds à emprunter l’A65, on se demande ce qu’il va falloir encore inventer pour sauver l’autoroute la plus chère de France. Peut-être interdire la route gratuite aux voitures ?

Notes :

1- Ce comptage a été effectué du 20 mai à 20 h au 21 mai 2014 à 20h simultanément sur 3 points de l’A65 dans les départements de la Gironde, des Landes et des Pyrénées Atlantiques ainsi que sur la RN 524 à l’entrée nord de Bazas en Gironde.

2- C’est à compter du lundi 18 novembre 2013, qu’est entrée en vigueur l’interdiction de circuler pour les poids lourds en transit de plus de 7,5 tonnes sur le réseau parallèle à l’autoroute A65. La desserte locale reste quant à elle autorisée.

Source http://www.reporterre.net/spip.php?article5926