Revue de presse

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to8d
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Re: Revue de presse

Message non lupar to8d » 24 mai 2013, 21:38

phili_b a écrit :N'importe quoi comme nom.

C'est clair ; le grand public va avoir du mal à comprendre que ce charabia anglais est un site internet officiel.
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Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 25 mai 2013, 19:18

Le Progrès, 25 mai
[align=center]Fausse alerte : le métro A bloqué hier soir pour un cadeau oublié[/align]
Un sac avec un cadeau à l’intérieur : c’est la cause d’une interruption de la ligne de métro A, durant 20 minutes, hier soir vendredi, à 17h30. Le paquet a été repéré par le conducteur, chargé d’inspecter les rames à l’arrivée du terminus à Perrache (Lyon 2e). La ligne a été stoppée entre Perrache et Charpennes. Le temps qu’une patrouille de police contrôle le contenu du paquet et la circulation du métro a pu reprendre.

Source http://www.leprogres.fr/faits-divers/20 ... ere-minute
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BBArchi
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Re: Revue de presse

Message non lupar BBArchi » 25 mai 2013, 20:24

Onlymoov.

Je n'avais pas osé dire grand chose la dessus quand les premiers PMV ont indiqué le truc... :-\ Peur d'être catalogué dans la rubrique de plus en plus encombrée des indécrottables franchouillards bourrins attardés, peut-être ? ::)

Mais quand même. Ils compensent quoi, quand les concepteurs et les décideurs choisissent d'utiliser ce genre d'artifices à 2 cents pour faire passer un produit bien intéressant en lui même, et qui n'a pas forcément vocation à être utilisé au plan mondial... ? ;D

Un nom simple, sympa, et indiquant accessoirement la vocation de ce produit, ça craint à trouver et à retenir ? Ca y est, on est devenus aussi pauvres d'esprits ? ???

En fait, le globish, faiche. Et on passe accessoirement pour des glands vis à vis des touristes étrangers qui viennent "humer" l'atmosphère si particulière de Lyon... et qui trouvent parfois notre comportement et notre docilité vis à vis du globish attendrissant (véridique, ça fait plusieurs fois qu'on me fait la réflexion quand je discute avec des visiteurs égarés du coté de Fourvière ou du Vieux Lyon !)

Y'a pas que des bourrins qui viennent nous voir ; beaucoup viennent partager des ambiances urbaines et une culture plus riches qu'ailleurs, et pour autant n'exigent pas d'avoir un service et un accueil internationalisé. Et si ça fait un peu peur aux décideurs, il serait bon de leur rappeler qu'il vaut mieux avoir beaucoup de visiteurs au budget moyen, mais capables d'apprécier, que quelques écervelés blindés de thunes et d'un niveau de culture coincé dans les poils de moquette, qui de surcroit ne font que passer en se foutant éperdument du cadre local.

Et qui de toutes façon, globish ou pas sur l'outil en question, ne l'utiliseront de toutes façons JAMAIS. ;D

Alors je préfèrerais qu'on s'intéresse d'abord au local, qui vit et travaille sur place, en lui donnant un bon outil, et que cet outil permette aussi l'accueil et l'orientation des touristes. C'est un bon début pour ce bouquin, mais virez moi le titre... :D
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 29 mai 2013, 20:24

Une nomination surprenante pour l'actuel DGS du CG74

mobilicites.com, 29 mai
[align=center]Claude Faucher, délégué général adjoint de l'UTP à la rentrée 2013[/align]
Claude Faucher rejoindra au 1er septembre 2013 l'Union des transports publics et ferroviaires (UTP) au poste de délégué général adjoint. A ce titre, il accompagnera Bruno Gazeau, délégué général, dans ses missions.

Ingénieur de formation et diplômé de l’ESSEC, Claude Faucher a réalisé une grande partie de son parcours professionnel au sein de la Fonction publique territoriale notamment dans les services de la région Rhône-Alpes et dans différents départements.

Âgé de 48 ans, il a notamment occupé les postes de directeur général des services du département de l’Yonne et du département de la Sarthe, Directeur territorial à l’Office National des Forêts pour les régions Limousin et Auvergne, et, enfin, de conseiller technique en cabinet ministériel.
A ce jour, Claude Faucher est directeur général des services du département de la Haute-Savoie.

Source http://www.mobilicites.com/fr_infos-pro ... _2580.html
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Re: Revue de presse

Message non lupar BBArchi » 30 mai 2013, 18:09

Au juste, quelle est la fonction de l'UTP ? ???

Euh. Pas l'UTP que je connais, sur l'avenue Lacassagne, hein. Celui de l'article... ;D
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 31 mai 2013, 00:03

lyonrail.com, 30 mai
[align=center]Josiane Beaud quitte la direction des TER Rhône-Alpes[/align]
Arrivée à la tête des TER de la région Rhône-Alpes en 2009, Josiane Beaud, 64 ans, va donc passer la main après 4 années passées à gérer la direction régionale de la SNCF. Elle a en effet annoncé qu'elle allait faire valoir ses droits à la retraite. Elle sera remplacée par Laurence Eymieu, qui occupe actuellement les mêmes fonctions dans la région Centre. Cette dernière connaît bien la région, puisqu'elle a été directrice de l'information et de la communication du Grand Lyon et de la Ville de Lyon sur la fin du mandat de Raymond Barre au début des années 2000.

Du mandat de Josiane Beaud, on retiendra surtout son caractère et ses convictions, qui s'étaient notamment exprimés lors du long conflit des cheminots de la Loire début 2011 ou lors de la grève sur l'Ouest Lyonnais à l'automne de la même année. Les cheminots rhônalpins vont donc devoir apprendre à connaître et à dialoguer avec un nouvel interlocuteur.

Source http://lyonrail.free.fr/lignes/josiane- ... hone-alpes
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Message non lupar Lyonrail » 31 mai 2013, 09:15

Merci Didier ;)

Rémi, tu as peut-être bossé avec Laurence Eymieu quand tu étais sur Orléans ? Tu la connais ?
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Message non lupar Rémi » 31 mai 2013, 10:59

Salut

Négatif, elle a pris ses fonctions à la DDTER après mon départ d'Orléans.

A+
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Re: Revue de presse

Message non lupar nanar » 31 mai 2013, 11:05

Salut

A propos de l'usage du globish (onlymoov), même reflexion.
Je suggère (il faut qu'on soit plusieurs à le faire) d'envoyer des messages au journal Municipal et au journal du grand Lyon pour le déplorer
C'est en insistant, en ne lachant jamais la corde qu'on peut espérer dompter la bête rétive.

A+
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Message non lupar phili_b » 31 mai 2013, 12:04

nanar a écrit :Je suggère (il faut qu'on soit plusieurs à le faire) d'envoyer des messages au journal Municipal et au journal du grand Lyon pour le déplorer
C'est en insistant, en ne lachant jamais la corde qu'on peut espérer dompter la bête rétive.


fait.
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Message non lupar Didier 74 » 02 juin 2013, 16:37

lantenne.com, 31 mai
[align=center]Les financements d'Eurocarex posent problème[/align]
Salvatore Alaimo, président de Lyon Carex, s’est récemment exprimé à la CCI de Lyon sur sa vision du développement durable, un concept qui convient bien au projet Eurocarex qu’il défend ardemment. Ce dossier concerne l’utilisation du rail à grande vitesse pour relier plusieurs pôles aéroportuaires européens.

La notion de développement durable englobe le report modal du camion vers le rail, de l’avion vers le rail, objet d’Eurocarex. "Le projet Carex concerne un mode de transport innovant et unique. Il est une réponse aux coûts énergétiques croissants. Il participe à la réduction des gaz à effet de serre. Il contribuera à créer une future attractivité pour les entreprises situées autour des railports", énumère le dynamique patron lyonnais du groupe Dimotrans et président de Lyon Carex qui aspire à une concrétisation la plus rapide possible de ce nouveau moyen de transport pour au moins une première mise en service à l’horizon-2017-2020.

Un budget de 170 millions d’euros
L’opération test, réussie, entre Lyon-Paris et Londres en mars 2012 a bien montré la faisabilité du projet. "Il s’agissait d’une opération marketing. Il faut passer à une réalisation opérationnelle", s’impatiente Salvatore Alaimo qui demande un ferme engagement de la puissance publique. "Il faut que les fonds promis arrivent. Il faut une gouvernance européenne pour que le projet reste bien unifié. J’ai peur que chaque pays conserve une gestion trop nationale du projet. Entre Français, Anglais, Belges, Hollandais, il faut un chef de file. Le meilleur". D’aucuns en effet relèvent qu’il manque "un plan stratégique au niveau européen sur la poursuite du projet". Des réunions organisées dans les diverses villes concernées, il ressort pourtant que tous les intervenants considèrent toujours le projet comme un atout stratégique mais à réaliser à "un rythme réaliste". L’ancien gouvernement français avait inscrit une ligne budgétaire de 170 millions d’euros au titre de l’engagement national ferroviaire mais aujourd’hui, même si le nouveau gouvernement dit soutenir toujours le projet, l’attribution de ces fonds poserait problème du fait de l’état lamentable des finances publiques, d’où l’intérêt de développer un service plus "light" et à moindre coût tant pour le matériel que pour les railports.

"Il manque un plan stratégique au niveau européen"
Le 12 juin, à Paris-Roissy, va se tenir l’assemblée générale statutaire avec tous les présidents des railports et les techniciens impliqués dans le dossier. Il sera question de l’étude de faisabilité de réemploi de rames TGV existantes pour réduire les coûts. La SNCF a été sollicitée. Deux aspects seront abordés : la mise en adéquation des motrices avec les différents réseaux à parcourir et la mise en adéquation des voitures avec leur transformation en wagons. "L’étude des coûts de handling est conduite par Lyon", observe Marie-Christine Bernier, responsable du développement de l’intermodalité Aéroports de Lyon et chef de projet Lyon Carex. "L’étude du railport est menée par Liège qui a obtenu des financements européens et Amsterdam pilote l’analyse stratégique et proposera divers scénarios pour Eurocarex dans une optique low-cost", complète-t-elle. Bien évidemment, la réunion concernera la recherche des financements.

Source http://www.lantenne.com/Les-financement ... 10870.html
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Message non lupar Didier 74 » 04 juin 2013, 18:42

ledauphine.com, 4 juin
[align=center]Laurence Eymieu nouvelle directrice régionale SNCF Rhône-Alpes[/align]
Laurence Eymieu vient d’être nommée directrice régionale SNCF Rhône-Alpes en remplacement de Josiane Beaud. Diplômée de L’IEP Paris et titulaire d’une maîtrise du droit des affaires, Laurence Eymieu était jusqu’à présent directrice de la région Centre. Originaire de Marseille elle a été notamment chef de cabinet du ministre de l’Aménagement du territoire et de la ville et de l’intégration de 1995 à 1997.

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2013/0 ... hone-alpes
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Message non lupar Didier 74 » 05 juin 2013, 23:24

tdg.ch, 5 juin
[align=center]La pollution de l'air toujours au-dessus des limites[/align]
Les résultats liés à la qualité de l'air à Genève ne sont pas satisfaisants et nécessitent la poursuite de mesures d’assainissement de l'air.

L’État de Genève a publié son rapport «qualité de l'air 2012». Il indique que les trois principaux polluants atmosphériques (le dioxyde d'azote, l'ozone et les particules fines) mesurés à Genève stationnent au-dessus des seuils prescrits par la loi, notamment en zone urbaine.

Malgré une légère tendance à la baisse du dioxyde d'azote depuis 2006, polluant principalement émis par les transports routiers et aériens, ainsi que les installations industrielles, artisanales et de chauffage, les chiffres stagnent au-dessus des limites fixées par la loi. Pour pallier à cette problématique, l’État de Genève a notamment mis en place le plan de mesures OPair 2013-2016, adopté par le conseil d’État le 27 février dernier. Ce plan instaure treize mesures visant à réduire durablement et sur le long terme la pollution atmosphérique dans le canton en intervenant directement à la source de ces nuisances.

Ces taux de pollution supérieurs aux seuils fixés par la loi ont, selon Benoît Lazzarotto, responsable du réseau d'observation de la pollution atmosphérique à Genève, un impact sur plusieurs secteurs de notre société. Les polluants atmosphériques ont non seulement des conséquences sur la santé des habitants du canton et sur l'environnement, mais ils participent aussi à la dégradation des bâtiments et peuvent influencer les rendements des cultures. Et cette liste n'est bien sûr pas exhaustive.

Parallèlement aux actions qu'il mène dans le cadre du plan de mesures OPair 2013-2016, le gouvernement genevois rappelle dans son communiqué de presse que l'amélioration de la qualité de l'air de Genève est un objectif auquel chaque citoyen peut participer. Ainsi, en privilégiant la mobilité douce et les transports publics, en tenant compte des effets indirects de notre consommation, chaque individu peut contribuer à un air plus sain.

Source http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise ... y/16296353
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 05 juin 2013, 23:36

Un car a brûlé mercredi 5 juin à Fleurie (69)
Image
leprogres.fr, 5 juin
[align=center]Fleurie : un bus s'enflamme, les élèves évacués à temps[/align]
Il était aux alentours de 13 heures, ce mercredi, lorsqu'un bus qui transportait des lycéens a pris feu. Le chauffeur, qui a eu les bons réflexes, les avait fait évacuer 5 minutes avant.

Source http://www.leprogres.fr/beaujolais/2013 ... eview=true
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 07 juin 2013, 20:29

francebleu.fr, 6 juin
[align=center]La Voulte, la commune ardéchoise qui fait ralentir les trains[/align]
Les habitants de la Voulte sont excédés : trop de trains de marchandise, trop bruyants, trop souvent. La municipalité vient de prendre un arrêté utopique pour obliger les trains à ralentir.

La Voulte a trouvé son souffre douleur : le train ! Comme beaucoup de communes en Ardèche, La Voulte est traversée par de nombreux trains de marchandise : on en compte entre 40 et 70 chaque jour. Des trains qui font beaucoup trop de bruit au gout des habitants. D'où cette idée un peu surprenante du conseil municipal : limiter leur vitesse à 50 km/h contre 90 aujourd'hui lorsqu'ils passent sur la Voulte.

Cette décision n'est pour l'instant pas suivi d'effet et ne pourra pas l'être. Mais la mairie pense qu'elle peut contraindre la SNCF et RFF à faire des travaux.

Source http://www.francebleu.fr/infos/train/la ... ins-624636
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 23 juin 2013, 14:49

busetcar.com, 14 juin
[align=center]Lyon : le Sytral anticipe la prochaine rentrée scolaire[/align]
Pour promouvoir l’abonnement annuel Pass Scolaire destiné aux scolaires, collégiens et lycéens, et aussi éviter les phénomènes d’encombrement d’avant-rentrée, le Sytral vient d’adopter toute une série de mesures.

La campagne d’abonnement 2013/2014 est lancée ! Le Sytral propose aux parents d’abonner leurs enfants dès aujourd’hui et à ne payer qu’à la rentrée, avec deux mois offerts. La procédure d’abonnement est proposée par correspondance aux 60000 détenteurs de l’année qui s’achève. Elle est également disponible sur e-Técély, l’agence en ligne du réseau TCL ou auprès des agences TCL.

Les abonnements des mois de juillet et d’août sont offerts et le règlement de l’abonnement annuel Pass Scolaire ne sera effectué qu’au début du mois de novembre. Autre bonne raison d’anticiper : dix Pass Scolaires annuels sont à gagner. Ils seront tirés au sort parmi tous les dossiers reçus (internet ou correspondance) avant le 31 juillet.

Enfin, le Sytral a consenti un effort particulier sur le tarif du Pass Scolaire annuel à tarif réduit, pour les élèves boursiers ou élèves du primaire. Son prix diminue de 9 à 8,40 euros par mois (84 euros par an). Quant au tarif normal, il est de 200 euros par an pour douze mois, du 1er septembre 2013 jusqu’au 31 août 2014.

Un nouveau service scolaire à la rentrée
Le réseau TCL propose un service scolaire composé de 131 lignes "Junior direct", qui dessert 2308 km à travers l’agglomération lyonnaise. A partir du 3 septembre prochain, les enfants des communes de Grézieu-la-Varenne, Chaponost, Brindas, Messimy et Thurins bénéficieront d’un nouveau service scolaire, du lundi au vendredi, matins et soirs, ainsi que le mercredi midi pour certains établissements. En revanche, les communes de Pollionay, Vaugneray et Genas, qui ont fait le choix de ne plus adhérer au Sytral, ne seront plus desservies par le réseau TCL, à partir du 8 juillet.

Pour en savoir plus :
http://www.tcl.fr/

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... e+scolaire
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 26 juin 2013, 19:08

leprogres.fr, 26 mai
[align=center]La circulation des trains perturbée suite à un incident matériel à la Part-Dieu[/align]
Suite à un incident matériel survenu en gare de la Part-Dieu, la circulation des TER vers Saint-Étienne, Grenoble, Chambéry et Valence est actuellement perturbée.

Les perturbations concernent les trains express régionaux au départ de Lyon Part-Dieu.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/06/2 ... -part-dieu
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 27 juin 2013, 22:18

busetcar.com, 24 juin
[align=center]Le Sytral dévoile son bilan financier 2012[/align]
L'an passé, le niveau de recettes du réseau lyonnais a confirmé sa progression, tout en restant en deçà des engagements contractuels du délégataire. De son côté, le déficit d’exploitation s’est élevé à 178,1 millions d’euros.

Le Comité Syndical des Transports pour le Rhône et l’Agglomération Lyonnaise (Sytral) vient d’approuver, jeudi dernier, son bilan financier pour l’exercice 2012. Ainsi, le résultat global affiche un excédent de 59,266 millions d’euros. Il permet de financer les reports de crédits sur l’exercice 2013 à hauteur de 46,215 millions d’euros en investissement, de 5,705 millions d’euros en exploitation, tout en dégageant un résultat net disponible de 7,345 millions d’euros. Du côté des recettes, la progression des produits du versement transport (VT) a été moindre du fait de l’environnement économique actuel. Entre 2003, première année comparable avec le taux de 1,75%, et 2008, la hausse moyenne de l’assiette a été de 4,3% par an.

Le VT reste à 1,75%
Cette hausse a diminué de 1% en 2009, pour revenir à 3,3% en 2010 puis 3,7%, en 2011. L'année dernière, c'est un retour à une hausse limitée à 1%, à l’instar de celle de 2009. Avec un niveau de recette du réseau en progression, mais inférieure aux engagements contractuels qui lient le Sytral à Keolis, le déficit d’exploitation des réseaux s’est ainsi élevé l'an passé à 178,1 millions d’euros. Le Comité Syndical a par ailleurs approuvé la décision modificative et le budget 2013, qui est porté globalement en dépenses et recettes à 666,834 millions d’euros pour l’exploitation, et à 487,891 millions d’euros pour l’investissement, soit une autorisation budgétaire globale de 1, 154 725 milliard d’euros.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... ncier+2012
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 27 juin 2013, 23:11

lyonmag.com, 26 juin
[align=center]Lyon : le procès de huit syndicats de la SNCF s’ouvre ce mercredi[/align]
Leur procès s'ouvre devant le tribunal correctionnel de Lyon, après neuf ans de procédure.

C'est en tant que personnes morales que ces huit syndicats de cheminots seront jugés, pour "recel d'abus de confiance, faux et usage de faux". Les représentants légaux de la CGT, de l’Unsa, de Sud Rail, de la CFTC, de FO, de la Fédération générale autonome des agents de conduite et de la CFE/CGC.
La justice leur reproche de s'être servis du comité régional d'entreprise de la SNCF pour se financer, notamment via de fausses factures ou de fausses formations de salariés (alcool, tracts, repas, banderoles…). Ils auraient ponctionné les deux tiers du budget de fonctionnement du CER local et se les répartissaient ensuite entre syndicats. Des faits qui se seraient déroulés entre 2002 et 2006.
Ce qui a entraîné la fin de cette combine financière, c’est le dépôt de plainte de deux salariés du CER. Le procès doit durer jusqu’à vendredi.

Source http://www.lyonmag.com/article/55037/ly ... e-mercredi

lyoncapitale.fr, 27 juin
[align=center]Procès des syndicats-CER SNCF: moments forts du 1er jour[/align]
Le procès des huit syndicats accusés d’abus de confiance et de faux et usage de faux a débuté ce mercredi au tribunal correctionnel de Lyon. Ils auraient capté une partie du budget de fonctionnement du comité d’établissement régional (CER) de la SNCF à leur profit. Et ce, depuis plusieurs années.

Mercredi 26 juin, au tribunal correctionnel de Lyon, rue Servient. Un texto nous prévient : “Manif CGT devant le TGI.” Le temps d’arriver, les syndicalistes font calmement la file devant le détecteur de métaux. Deux rangées compactes, avec quelques allers et retours lorsqu’ils sont contraints de laisser de côté leurs “signes distinctifs”, casquettes rouges notamment. Classique : ils sont venus en nombre pour remplir la salle d’audience C.

10h11, le président ouvre l’audience. Des trois journées prévues pour le procès très attendu des huit syndicats du CER SNCF, il pense n’avoir besoin que de deux. Puis il se retirera, avec ses deux collègues assesseurs, pour délibérer. La décision ne sera rendue qu’en septembre.

Des absents et un homme seul
Défilent à la barre les représentants légaux des syndicats poursuivis pour abus de confiance, faux et usage de faux : l’UPR des cheminots CFDT, l’Unsa-Fédération cheminots, la Fédération générale autonome des agents de conduite (FGAAC), la fédération syndicaliste Force Ouvrière des cheminots, les syndicats de travailleurs Solidaires-Sud Rail, le secteur CFTC Cheminots de Lyon, le syndicat national CFE-CGC de la SNCF et, bien sûr, le plus important d’entre eux, le secteur fédéral CGT Cheminots de la région de Lyon.

Première surprise, personne n’a de nouvelles de la CFTC. L’avocat du syndicat indique néanmoins que “l’antenne de Lyon a été dissoute”. L’information lui serait venue… “de quelqu’un de la CGT”. Brouhaha dans la salle. Seconde surprise, l’avocate de la FGAAC est elle aussi absente. Dans une lettre lue par le président, elle explique que, suite au rapprochement de ce syndicat avec la CFDT nationale, elle n’est plus mandatée dans le cadre du procès. Quant à la CFE-CGC, seule son avocate est présente.

Au premier rang, Willy Pasche est bien seul. L’homme par qui le scandale a éclaté est entouré de “camarades” mais ne reçoit aucun signe d’amitié. Quelques soutiens sont dans la salle, cependant. Mais leur nombre n’est rien en comparaison des hommes venus soutenir “leurs” syndicats.

CGT : question de politesse, sifflement et menace d’évacuation de la salle
Après un résumé du dossier par le président du tribunal, les auditions commencent. À tout seigneur, tout honneur, Laurent Brun, secrétaire du secteur CGT de Lyon, parlera tout le reste de la matinée. Soit quasiment deux heures à la barre, face aux juges. L’homme en impose, par sa taille et par son aisance verbale.

Le président attaque fort et juste : pourquoi le fameux accord, par lequel les syndicats du CER de la SNCF à Lyon se partageaient l’argent du budget de fonctionnement, est-il estampillé “confidentiel” ? “C’est juste un mot, assure Laurent Brun. On aurait pu écrire : “Projet à ne pas diffuser”. Ce document est connu, il a fait l’objet de débats en séance plénière, et la direction de la SNCF est intervenue dessus.” Des explications qui ne convainquent guère le président.

Le juge rappelle les propos d’un ex-secrétaire (CGT) du comité d’établissement, Claude Miachon, interrogé par la police dans le cadre de l’enquête sur l’“accord secret” : certaines “formations” étaient en fait “des réunions, sans formateur attitré, qu’ils [les délégations syndicales du CER, NdlR] considéraient comme des formations” (et facturaient comme telles). Laurent Brun conteste ce propos. Le président du tribunal s’emporte : “Personne n’est d’accord avec personne à la CGT !” Laurent Brun réplique avec des exemples de “vraies” formations – ce qu’il fera tout au long de son intervention… sans jamais répondre directement aux accusations de formations bidons.

Tout au plus admettra-t-il que “nous ne sommes pas bons sur la formulation des factures, d’accord, mais les formations sont réelles ! Écoutez…” Et lorsque le président, de nouveau, s’énerve : “Excusez-moi…” Le président : “On dit “Je vous prie de m’excuser”, sinon vous me donnez un ordre !” Rumeur de mécontentement dans la salle. Quelqu’un siffle. Le président menace sur un ton assassin de faire évacuer la salle si cela se reproduit. Le silence est immédiat.

Des chiffres qui méritent d’être précisés
Un peu plus tard. Les deux hommes débattent toujours des formations. “Pourquoi certaines d’entre elles ont-elles été dispensées à des non-élus du CER, des personnes qui n’ont rien à voir avec le CER ?” interroge le président. “Je n’ai pas vu cela, avoue Laurent Brun. Sans doute s’agit-il de membres de commissions locales mixtes.” On n’en saura pas plus. Les représentants des autres syndicats préciseront cependant que les formations, pour ce qui les concerne, touchaient strictement les élus du CER.

Le juge se fait alors l’avocat du diable et livre une vision un peu différente de l’accord de répartition des fonds : “On pourrait le comprendre ainsi : il y a du fric à prendre, notamment dans la formation où on peut écrire n’importe quoi ; mais attention, il faut rester raisonnable donc limiter le budget formation à 50 % du budget de chaque délégation syndicale au CER.” Une vision réaliste pour Laurent Brun ? “Ce n’est pas ça. La limite de 50 % a été instaurée afin de garder de l’argent pour les autres activités du CER. Le budget du CER n’a connu que deux années de déficit depuis 2002, dues à l’accumulation de dossiers de restructuration.”

Ce qui est vrai, mais en partie seulement. Depuis 2009, le budget de fonctionnement du CER SNCF de Lyon est certes en excédent, mais un excédent qui a drastiquement chuté en 2011 et 2012, passant de 71 000 euros dans le vert en 2009 à moins de 17 000 euros en 2012. Et il ne faut pas oublier l’autre budget du CER : celui des activités sociales. De plus de 665 000 euros en 2009, il plonge dans le négatif en 2012 à -314 765 euros.

Quant au bilan du CER lui-même, Laurent Brun prétend qu’il est transparent et accessible à tous. Certains élus nous ont confié, à l’inverse, qu’il leur était impossible de l’obtenir, tout comme les PV des réunions. Autre “imprécision” : quand le secrétaire CGT estime à 120 le nombre de personnes occupées par le CER, il semble oublier les récentes suppressions de postes, qui ne laissent que 86 personnes en place.

Dérives “individuelles”
La séance est suspendue à 12h45 et ne reprend que vers 15 heures. C’est alors le tour des représentants légaux des autres organisations syndicales de se présenter devant les juges. Benjamin Rassart (Unsa) insiste sur la confusion probable entre élus CER et représentants syndicaux, notamment dans les dépositions recueillies lors de l’enquête de police.

Un prédécesseur, Joël Bournas, a indiqué aux enquêteurs qu’il avait “continué le système mis en place avant lui parce qu’il était bon pour les syndicats” ? Benjamin Rassart ne commente ni ne répond à ces propos, qui engagent un autre que lui. Le président s’étonne que cet accord de répartition, s’il était aussi transparent et légal que ses signataires le prétendent, n’ait jamais été distribué aux salariés… Benjamin Rassart “ne sait pas”.

Chez Sud-Rail, Éric Meyer ne voit pas, dans cet accord, la définition de “montants à atteindre ou à piocher” – un “droit de tirage”, dira le président du tribunal. “Il s’agit d’un accord destiné à limiter les dépenses proportionnellement au nombre d’adhérents. C’est un principe d’équité”, répond M. Meyer. Réplique du président : “Pourquoi fixer une limite, alors que vous auriez pu organiser un vrai contrôle par le secrétaire et le trésorier du CER ? Cela semble dire : Chez Sud, vous pouvez y aller jusqu’à tant, mais pas au-delà de 50% de votre budget de fonctionnement.” Quant à la confidentialité du document, Éric Meyer répond sans convaincre : “Une organisation n’a pas forcément envie qu’une autre organisation communique sur ses frais, etc.” “Pourquoi, si tout est clair et normal ?” s’esclaffe le juge.

Éric Meyer parlera à plusieurs reprises des risques de “dérives individuelles” qu’un tel accord permet d’éviter. “Des dérives de la CGT ?” s’exclame le président. “Je n’ai pas dit ça”, répond le syndicaliste. “Attention, c’est la CGT qui a initié cet accord. Vous voulez dire que la CGT aurait provoqué un accord pour se protéger d’elle-même ?” Murmures dans la salle.

“Si nous n’avions pas accepté cet accord, les élus CFDT se seraient retrouvés sans financement du CER !”
Plus intéressante est l’intervention de Philippe Colin (CFDT), interrogé durant l’enquête et, surtout, signataire de l’accord. “Confirmez-vous qu’une partie du budget de fonctionnement du CER aide – directement ou indirectement – les organisations syndicales ?” interroge d’emblée le président. Silence du syndicaliste, qui demande que la question soit répétée, puis répond par la négative. “Pourtant, à cette même question, vous aviez répondu durant l’enquête : “Je ne peux pas nier qu’une partie de ce budget de fonctionnement aide au financement des organisations syndicales” !” triomphe le juge. Philippe Colin aurait même ajouté que le montant de cet accord avait été “décidé et imposé par la CGT”, et que les autres organisations syndicales “n’avaient pas la possibilité de faire changer ce montant à la baisse”.

Traduction : la CGT, largement dominante, a imposé cette grille de répartition à ses “partenaires” de CER. Le juge lance une perche au syndicaliste : “J’ai le sentiment que vous vous êtes rangé à un système imposé par la CGT mais que vous réprouviez, je me trompe ?” “Si nous n’avions pas accepté cet accord, les élus CFDT se seraient retrouvés sans financement du CER !” confirme Philippe Colin. “Vous vous êtes écrasés”, traduit le président. “Nous avons choisi d’exercer les fonctions pour lesquelles nous avions été élus”, répond le syndicaliste. “On comprend pourquoi c’était confidentiel…”, conclut le juge.

Dernier de la liste, Jean-Louis Basset (Force ouvrière) paraît, à plusieurs reprises, considérer que l’absence d’un tel accord de répartition aurait signifié l’absence de budget de fonctionnement… “Même sans accord, le CER aurait un budget ! l’interrompt le président. Il avait des responsables, un secrétaire, un trésorier pour contrôler !” “Cela aurait été moins transparent sans accord proportionnel”, estime Jean-Louis Basset.

Quant à savoir pourquoi l’accord n’a pas été paraphé par Jean-Louis Ré, alors directeur technique du CER, “cela n’aurait rien apporté de plus, résume le syndicaliste. La responsabilité du budget de fonctionnement était celle du secrétaire, non celle du directeur”. “Relisez la première ligne de l’accord, s’énerve une nouvelle fois le juge. On y voit que les organisations syndicales s’engagent à limiter les frais de formation de “leurs” délégations. C’est un accord politique ! Voilà pourquoi cela ne pouvait rentrer dans le cadre administratif d’un CE. Cela fait un peu mafioso… Si tout est si clair, on en parle, on le fait signer par une autorité, on le diffuse… D’autant qu’il s’agit de l’argent des salariés, pas des syndicats !”

Passes d’armes autour des parties civiles
L’instruction est close à 17h45. Mais la journée ne se terminera pas sans un bon quart d’heure de passes d’armes entre les avocats des syndicats, furieux de découvrir en fin de matinée la constitution de partie civile demandée par Willy Pasche et Nathalie Guichon, tous deux à l’origine de la procédure, et les 94 pièces communiquées à cette occasion.

Chacun des avocats de la défense ou presque prendra la parole à cette occasion, pour dire essentiellement la même chose : la demande est tardive et anticonfraternelle, et la jurisprudence interdit d’y accéder. Mention spéciale à l’avocat de la CGT, qui produit une quasi-plaidoirie contre Willy Pasche, accusé de multiplier les procès “qu’il perd tous, notamment aux prud’hommes” (ce qui est faux : cette procédure, la seule en cours à l’exception du procès du CER et qui concerne des faits de harcèlement moral, n’en est qu’à la départition) et de “polluer tout le temps les débats” dans la presse. Autant pour les “lanceurs d’alerte”, leur utilité… et leur protection.

L’audience sera définitivement levée peu après 18 heures. Rendez-vous ce jeudi pour les plaidoiries de l’avocate de Willy Pasche et Nathalie Guichon, celle du procureur et celles des avocats de la défense.

Source http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon ... u-1er-jour
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 28 juin 2013, 22:05

lyoncapitale.fr, 28 juin
[align=center]“La direction de la SNCF est la grande absente de ce procès”[/align]
Les plaidoiries des avocats ont occupé la seconde journée du procès des syndicats du CER SNCF de Lyon. Le procureur a exigé entre 15000 et 80000 euros d’amende, “symbolique au vu des sommes détournées, mais assez importante pour marquer les esprits”. Un “dossier vide”, a dénoncé la défense.

Seconde journée d’audience dans le procès des huit syndicats du comité d’établissement régional de la SNCF à Lyon. Ils sont accusés de recel d’abus de confiance, de faux et usage de faux : ils auraient capté, durant des années, une part non négligeable du budget de fonctionnement du CER pour financer leurs activités.

L’audience est ouverte à 10 heures, dans une salle à moitié vide – un vrai contraste avec la veille, lorsque des dizaines de syndicalistes avaient rempli les travées. Willy Pasche, à l’origine de la procédure, est moins seul : Philippe Chabin, entre autres, l’a rejoint. Cet ancien secrétaire (CGT) du comité d’établissement Clientèle de la SNCF à Paris est prêt à témoigner à la barre ; cela ne se fera pas. Trop tard, apparemment.

Partie civile : l’intérêt à agir… et les dommages et intérêts
Un témoin appelé par l’avocat de Sud-Rail est tout d’abord convoqué pour illustrer la façon dont le CER organisait les formations. Un point central des débats de la veille... qui n’avance guère aujourd’hui. Car, si l’avocat a fait venir ce témoin “pour prouver que chaque formation facturée a été effectivement donnée”, on voit mal comment un exemple de “vraie formation” peut étendre sa véracité à l’ensemble du dossier.

Me Cayuela, avocate de Willy Pasche et de Nathalie Guichon, plaide ensuite pour la constitution de partie civile. Une question qui avait donné lieu, la veille, à la clôture de l’audience, à des passes d’armes avec les avocats de la défense. Ceux-ci s’étaient irrités de n’avoir été prévenus que dans la matinée de cette demande, et de ne pas avoir eu connaissance des pièces qui y sont liées.

À la question de l’“intérêt à agir” qui manquerait aux deux clients de Me Cayuela, celle-ci rétorque qu’il s’agit de salariés très particuliers : “Ils sont membres d’un CER, qui est différent d’une société puisque son budget est basé sur la masse salariale. En tant que salariés, ils sont donc directement concernés par cette affaire, comme tout le reste du personnel.”

Après avoir résumé l’enchaînement des faits ayant conduit à ce procès, l’avocate justifie les dizaines de milliers d’euros réclamés par Willy Pasche et Nathalie Guichon à titre de dommages et intérêts – des montants qui, lors de la première journée d’audience, avaient provoqué un certain émoi dans la salle – par l’anxiété ressentie depuis 2002, les humiliations subies, la placardisation, la vie professionnelle détruite. Dans la salle, certains ricanent. Un observateur indique à son voisin : “ On se foutait de sa gueule quand il [Willy Pasche, NdlR] était dans sa cage.”

Il faudra attendre la communication de la décision du tribunal, fin septembre, pour savoir si cette demande de constitution de partie civile est acceptée. L’avocate se rassied ; c’est au tour du procureur de prendre la parole.

L’accord de répartition : “un véritable droit de tirage”, selon le procureur
“La bonne ambiance de ce procès contraste avec le climat délétère du dossier”, annonce d’emblée le procureur, qui cite un fait précis, parmi les plus troublants de cette affaire : “Quand l’enquête évolue, toute la comptabilité des années 2002, 2003 et 2004 est bizarrement volée au CER.” Or, si le budget du comité d’établissement régional est excédentaire jusqu’en 1995, il plonge dans le rouge en 2002 (de plus de 8000 euros) et 2003 (80000 euros). Signe, selon le magistrat, que les syndicats se sont (trop) servis dans la caisse.

L’affaire se résume à ceci, selon lui : “Le budget de fonctionnement du CER représente environ 300 000 euros à se répartir chaque année ; cela dure depuis 1995, et pour la seule période de prévention [de janvier 2002 au 12 décembre 2006, NdlR], le montant dépasse le million d’euros. La seule question juridique est celle-ci : ces dépenses concernent-elles vraiment les membres du CER ?”

Claude Miachon, secrétaire (CGT) du CER au début des années 2000, “ne vérifiait pas les factures des formations : il remboursait, tant qu’on ne dépassait pas [le plafond fixé dans l’accord]”. En outre, les frais remboursés ”n’étaient pas des frais réels”, et nombre de ces formations “étaient en fait des réunions syndicales”. Sur les 16 factures “à problème” estampillées CGT, “une seule concerne clairement des élus du CER”. Les autres sont très vagues, ou semblent concerner des activités syndicales non liées au comité d’établissement, ajoute le procureur, qui pointe que ces factures “atteignent parfois 250 euros par jour et par personne, alors que la salle est mise à disposition gratuitement, que les formateurs CGT sont bénévoles et que les trajets en train sont naturellement gratuits”.

Pour le magistrat, c’est clair : il s’agit d’un moyen aisé de transférer des fonds du CER vers les organisation syndicales. Les faits reprochés à celles-ci font l’objet d’une énumération à la Prévert : pour la CGT, 30 sièges de bureau, 8 ordinateurs, 120 repas pour des retraités ; pour Sud-Rail, 8 chaises de bureau, 3 ordinateurs. La liste est longue ; le chiffre, sans appel : les organisations syndicales se seraient adjugé 67% du budget de fonctionnement du CER.

“L’accord secret est un véritable droit de tirage, sous couvert d’une facturation de façade pour prétexter d’un lien avec les activités du CER, conclut le procureur. Tout simplement parce que les activités syndicales ne peuvent être couvertes par les seules cotisations.” Le magistrat limite cependant les amendes qu’il demande, au vu de l’ancienneté des faits, des circonstances (problèmes d’argent des syndicats), de l’absence d’enrichissement personnel prouvé. Il exige ainsi 80000 euros pour la CGT, 30000 euros pour l’Unsa, Sud-Rail et la CFTC, 15000 euros pour la CFDT et FO, et demande de constater l’extinction de l’action publique envers la FGAAC et la CFE-CGC, structures défuntes.

“Je veux me faire l’avocat du syndicalisme”
Place aux avocats de la défense. Maître Tourné, avocat du secteur CGT, se taille – tout comme son client la veille – la part du lion du temps de parole, puisqu’il plaidera durant pas moins de 1h40. Il commence par un argument qui sera largement utilisé par ses confrères : ce procès est celui du syndicalisme – un jugement dur pour les syndicats menacerait le fonctionnement des délégations du CER… et le fonctionnement du CER lui-même, “qui ne sait pas fonctionner sans les délégations syndicales”.

L’avocat remonte à 1983 et au changement de statut de la SNCF pour démontrer que la CGT n’était pas favorable à une structure en comités d’établissement régionaux. Un système “qui a éradiqué toute la représentation locale qu’il aurait été légitime d’avoir”, puisqu’il a été préféré à une structure visant un comité par établissement, nettement plus “locale” (mais avec 327 CE au lieu de la trentaine de CER).

Or, 13 élus pour un CER de la taille de celui de Lyon, avec plus de 9000 cheminots auxquels il faut rendre compte, “ce n’est pas assez”. Pour faire fonctionner le CER, on crée donc des structures ad hoc : commissions facultatives, commissions mixtes locales, etc. “Si le budget du CER ne sert pas aussi à rembourser leurs frais, on tue le CER !” tranche Me Tourné.

L’argument peut se résumer ainsi : lorsque les cheminots votent pour leur CE, le premier tour de l’élection ne rassemble que des candidats proposés par les syndicats. Des candidats hors syndicats ne peuvent se présenter qu’en cas de second tour, permis uniquement si le quorum n’a pas été rempli au premier tour. Ce qui n’arrive jamais. Les cheminots choisiraient ainsi objectivement d’être représentés par des syndicalistes. Ce qui expliquerait, selon l’avocat, une certaine identification – voire une confusion certaine – entre les fonctions de représentant syndical et celles d’élu du CER… et de l’argent y afférent. Un système qui, en outre, ne serait que l’héritage du passé.

L’avocat du secteur CGT mise beaucoup sur ce brouillage des limites. Il indique ainsi que “ce sont les organisations syndicales qui décident du règlement intérieur” du CER. Faux, rétorque Philippe Chabin : c’est le CER lui-même… Me Tourné assure que l’expert-comptable “certifie le bilan” du CER. Faux, selon Philippe Chabin : il “atteste” mais ne “certifie” pas – effectivement, la présentation annuelle des états financiers du CER comporte une “attestation de présentation” mais ne mentionne aucune certification.

Quant à la “transparence totale” du bilan, certes, celui-ci est très détaillé, mais il reste impossible d’avoir une idée précise de la nature des “formations des élus” qui ont coûté plus de 76000 euros en 2012, en nette augmentation par rapport à l’année précédente (66263 euros). Sans parler de ces “honoraires” passés de 53000 à plus de 91000 euros en un an.

L’avocat se tourne ensuite, comme la veille, vers Willy Pasche pour l’accuser de multiplier les procès contre le CER et contre la SCNF (ce qui est faux, seule une procédure aux prud’hommes pour harcèlement moral étant en cours), d’avoir participé à un article du magazine Capital condamné pour injure et diffamation (ce qui est largement faux, seuls deux points sur quatorze ayant été retenus par la première chambre correctionnelle qui n’a, au passage, pas reconnu le caractère injurieux ou diffamatoire du titre même de l’article, “Quand la CGT de la SNCF se transforme en patron voyou”).

En conclusion et revenant à son sujet, Me Tourné estime que “le seul système mis en place est celui de la débrouille, pour pouvoir faire face à la direction en cas de besoin, dans une région aussi étendue que celle couverte par le CER de Lyon”. “Je veux me faire l’avocat du syndicalisme”, a-t-il asséné. Ce n’est certes pas l’objet du présent procès, mais cela n’empêche pas l’avocat de brandir le chiffon rouge de la survie des syndicats : “Combien d’instituts de formation privés attendent au coin du bois” la fin du monopole des syndicats sur la formation des élus du CER ? Me Tourné parle même d’une “manne économique” qui reste, pour le moment, “injectée dans l’économie sociale”. Comprendre : les caisses des syndicats ?

Des questions sans réponse
L’avocat de Force ouvrière tente, lui aussi, d’imposer une vision large des membres du CER concernés par le budget de fonctionnement. À ses yeux, il s’agirait des élus et de leurs suppléants, mais aussi des représentants syndicaux et des membres de toutes les commissions. Une vision partagée par ses confrères, sans guère de justification juridique exprimée à l’audience. Sinon, de nouveau, la nécessité de facto de consacrer cet argent à un large cercle de collaborateurs afin d’assurer la survie, ni plus ni moins, du CER.

Maître Plet, en revanche, prouve qu’un syndicat comme la CFDT, lorsqu’il n’a aucun élu au CER et ne touche donc pas un sou du budget de fonctionnement, peut survivre. Ce qui contredit en partie les affirmations de ses confrères… L’avocate propose sa propre solution pour clarifier les choses : “Arriver à un clivage rigoureux entre les dépenses du CER, qui ne passeraient plus par les organisations syndicales mais seraient remboursées directement par le CER lui-même, et les dépenses des syndicats.” Encore une spécificité de la CFDT, quand l’ensemble de ses coreligionnaires prône le maintien de l’accord de partage, parfaitement logique, justifié et légal à leurs yeux !

Me Plet lâchera également une petite phrase lourde de sous-entendus : “La direction de la SNCF est la grande absente du jour.” Assentiment de certains dans la salle… Mais l’avocate ne s’appesantira pas sur ce point. En effet, pourquoi la direction de la SNCF, qui préside le CER et assure le fonctionnement de celui-ci par l’argent qu’elle lui verse, n’est-elle pas représentée à l’audience ? Pourquoi ne s’est-elle pas portée partie civile ? C’est pourtant bien l’argent prélevé sur sa masse salariale qui a potentiellement été détourné.

Un point relevé par maître Luciani, avocat de Sud-Rail : “Pourquoi la direction de la SNCF n’a-t-elle pas attaqué cet accord en justice ?” Selon les syndicats, elle était forcément au courant de cette répartition du budget. Et, même si elle le jugeait parfaitement acceptable et légal, pourquoi n’être pas venue le dire à la barre ? Des questions pour le moment sans réponse.

Contactée vendredi matin, la direction régionale de la SNCF ne souhaite pas commenter une procédure en cours. Elle ne nie pas le fait que la directrice régionale préside le CER, mais répète que le comité d’établissement est une structure complètement séparée et qu’à ce titre elle n’a pas à s’impliquer dans ce procès. Or, l’argent possiblement détourné par le CER provient de la SNCF et est directement prélevé sur la masse salariale de l’entreprise : la direction n’aurait-elle pu se porter partie civile ? Elle n’avait pas à le faire, au vu de la séparation nette des deux structures, réaffirme-t-elle.

Rendez-vous le 26 septembre pour la décision du tribunal.

Source http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon ... -ce-proces

lyonmag.com, 28 juin
[align=center]Lyon : entre 15000 et 80000 euros requis contre les syndicats de la SNCF[/align]
Le procès pour recel d'abus de confiance de huit syndicats de la SNCF s'est terminé jeudi soir.

Selon le Progrès, le parquet a réclamé la condamnation de six des huit mis en cause, deux d'entre eux étant dissout ou en voie de liquidation judiciaire. Contre la CGT, considérée comme l'instigatrice de l'accord intersyndical, 80000 euros ont été requis.
Les réquisitions sont de 30000 euros contre Sud Rail, Unsa et CFTC et de 15000 euros contre la CFDT et FO. La justice leur reproche de s'être financés avec l'argent du comité régional d'entreprise de la SNCF. Des faits qui se seraient déroulés entre 2002 et 2006 et que les huis syndicats ont toujours contestés, assurant que l'argent était bel et bien destiné à la formation des salariés.
Le jugement sera rendu le 26 septembre prochain.

Source http://www.lyonmag.com/article/55145/ly ... de-la-sncf
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 juil. 2013, 19:25

busetcar.com, 1[sub]er[/sub] juillet
[align=center]Lyon-Parc Auto attend l’arrivée des Bluely[/align]
La Société d’économie mixte, Lyon Parc Auto (LPA), qui détient environ 70% de la gestion des parcs de stationnement lyonnais, et qui gère Autolib’, enregistre un exercice 2012 bénéficiaire, avant l’arrivée des Bluely.

Avec 29 parcs de stationnement représentant plus de 20000 emplacements sur l’agglomération, Lyon Parc Auto (LPA) s’impose comme un acteur dominant de ce secteur, très loin devant les géants du métier que sont Vinci, Effia, Q-Park… Dans le cadre de la présentation de ses résultats annuels, le gestionnaire assure avoir été pénalisé par les crues de la Saône, particulièrement depuis le mois d’août où aucune recette n’a été enregistrée sur certains sites. Malgré tout, l’année dernière, la fréquentation est passée de 6723600 passages horaires, (elle était de 6463900 passages horaires en 2011), mais avec une progression du niveau du ticket moyen. De ce fait, la société annonce un chiffre d’affaires de 51,7 millions d’euros, en hausse de 3% par rapport à 2011… Notons que LPA gère près de 40000 emplacements de stationnement payant de voirie au sein de l’agglomération. L’exercice 2012 s’est finalement soldé par un bénéfice net après impôt de 1,3 million d’euros, ce qui va lui permettre d’une part de rémunérer les actionnaires, des collectivités locales pour la plupart, et d’autre part, de conforter les réserves.

Un avenir assez imprévisible
Le nombre de places de stationnement sur voirie ne devrait pas évoluer sensiblement durant ces prochains mois : "il est vraisemblable qu’en dépit d’une forte pression de la part des riverains, il ne sera pas procédé à des extensions de zone, tout au moins pas avant les prochaines échéances électorales de 2014", assure Jean-Louis Touraine, président de LPA. Pour cette année, la situation de l’exploitation paraît donc assez incertaine, et devra se mesurer à l’arrivée des Bluely de Bolloré, à partir du troisième trimestre. "Nous ne savons pas quelle sera l’attitude de la clientèle face à cette nouvelle offre", s’interroge Jean-Louis Touraine. De son côté, le chiffre d’affaires d’Autolib’, a augmenté de 9% en 2012 pour 1143 abonnés. "Je pense que l’on peut parler de complémentarité entre les deux offres", considère-t-il cependant.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... des+Bluely
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 juil. 2013, 21:40

leprogres.fr, 1[sup]er[/sup] juillet
[align=center]Des trains à haut niveau de service[/align]
Le Régiolis d’Alstom, par exemple, pourrait servir de base à un Train à haut niveau de service (THNS).

Les bus à haut niveau de service ont fait leur apparition dans certaines agglomérations s’intercalant entre bus classique et tramway. Dans la même logique, le projet des élus écologistes fait appel à une nouvelle génération de trains qu’ils baptisent « le THNS, Train à haut niveau de service ». Alors que le parc des trains Corail est très vieillissant, aucun train moderne n’existe aujourd’hui entre les TER et les TGV.

C’est à partir de ce constat qu’apparaît le THNS susceptible de rouler sur des lignes classiques bénéficiant de certains aménagements à 220 km/h.

Jean-Charles Kohlhaas estime que cette nouvelle génération de trains pourrait être déclinée à partir de matériel récent.

Leur vitesse n’atteindrait certes pas les 320 ou 350 km/h des derniers TGV, mais ils pourraient être plus performants pour multiplier les arrêts en gare : meilleure décélération et accélération, portes plus larges facilitant la montée et la descente des voyageurs. Le cahier des charges dressé par les élus écologistes pour ce THNS insiste aussi sur le confort des rames qui devrait être comparable à celui des TGV avec des places assises spacieuses, une voiture-bar, de la restauration à bord, des prises de courant et des accès internet.

Alors qu’il est envisagé de remplacer les trains Corail par de vieux TGV relookés, EELV souligne que les commandes de ce nouveau matériel auraient une importante incidence sur la filière industrielle. Un coût aussi supérieur, mais les écologistes mettent en avant que les prix de péage de ces trains sur un réseau classique modernisé seraient sensiblement inférieurs à ceux des lignes à grande vitesse. Le prix des billets aussi a priori.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/0 ... de-service
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 juil. 2013, 22:30

lyoncapitale.fr, 1[sup]er[/sup] juillet
[align=center]Nouveau cours Zola à Villeurbanne : le projet définitif[/align]
C'est au 2e semestre 2014 que le plus grand chantier de la décennie commence pour Villeurbanne. L'artère principale passera de 2X2 à 2X1 voies. Premier tronçon traité : rue Baratin/avenue Lherminier.

Ce mardi à 18h30, l'Hôtel de Ville de Villeurbanne va accueillir une réunion où sera présenté le projet définitif d'aménagement du cours Emile-Zola. Après trois ans de concertation, les dernières esquisses seront montrées à tous ceux qui ont participé aux ateliers participatifs.

C'est après les municipales, au 2e semestre 2014, que le plus grand chantier qu'ait connu Villeurbanne depuis des décennies sera lancé. En six ans, l'artère principale de la ville qui voit défiler 24000 véhicules/jour passera de 2X2 à 2X1 voies, offrant une large place aux déplacements piétons et au végétal. D'après les estimations, le trafic routier diminuera de 30 à 35%. Et le cours ne conservera que 40 à 50% des stationnements actuels. Place nette est faite aux trottoirs, larges de 3 mètres de chaque côté. Et à un nouvel espace : le ruban, composé de la piste cyclable (1,70 mètre) et d'une bande technique (2 mètres). C'est sur elle que sera disposé le mobilier urbain qui entrave aujourd'hui la bonne marche des piétons : bancs, lampadaires, panneaux, arbres, bacs à fleurs, terrasses et surtout stationnements. "Sur le premier tronçon, nous allons passer de 80 à 250 arbres", compte Didier Vullierme, adjoint au maire en charge de la voirie.

A terme, la municipalité espère un gros report sur les transports en commun, notamment le métro A. Mais sans doute les axes secondaires vont gagner en circulation : la rue Francis de Pressensé, la route de Genas ou encore le périphérique et le boulevard Stalingrad. "Nous avons pour objectif que la part du vélo passera à 5 voire 7% des déplacements", ajoute Didier Vullierme.

A un an des premiers coups de pioche, la municipalité prépare le chantier. Il sera séquencé en trois tranches. D'abord, le tronçon rue Pierre Baratin/avenue Commandant Lherminier, qui durera entre 18 et 24 mois. Le chantier partira des deux extrémités. "On va essayer de conserver au moins une voie de circulation durant les travaux, sauf les deux ou trois jours durant lesquels sera posé l'enrobé", précise l'adjoint au maire. Deux espaces publics seront mis en valeur : la place de Cusset et le parvis de la maison du livre, de l'image et du son.

Source http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon ... k.facebook
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Re: Revue de presse

Message non lupar Auron » 02 juil. 2013, 23:10

Didier 74 a écrit :leprogres.fr, 1[sup]er[/sup] juillet
[align=center]Des trains à haut niveau de service[/align]
Le Régiolis d’Alstom, par exemple, pourrait servir de base à un Train à haut niveau de service (THNS).

[...]

Jean-Charles Kohlhaas estime que cette nouvelle génération de trains pourrait être déclinée à partir de matériel récent.

Sauf qu'en Rhône-Alpes, ce sont des Bombardier Régio2N qu'on attend...
Conducteur de TER et Intercités à Lyon Perrache
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 juil. 2013, 23:41

lyonmag.com, 1[sup]er[/sup] juillet
[align=center]Agressé, un agent TCL fait un infarctus[/align]
Trois jeunes, âgés de 18 à 20 ans, ont été interpellés dimanche.

Vendredi soir, ils avaient été contrôlés à un arrêt de bus de St Priest. L'un d'eux n'a pas hésité à porter un coup de pied au plexus d'un des agents TCL. Ce dernier a alors été victime d'un infarctus. Un deuxième agent qui tentait de s'interposer a lui été blessé au doigt. Deux jeunes ont été présentés au parquet ce lundi. Le 3e a été mis hors de cause.

Source http://www.lyonmag.com/article/55275/ag ... -infarctus
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 06 juil. 2013, 14:37

leprogres.fr, 5 juillet
[align=center]Le Wi-Fi gratuit à la gare de la Part-Dieu avant la fin de l'année[/align]
Tandis que des tests sont menés dans quelques gares françaises, Fleur Pellerin, ministre de l’Économie numérique, a annoncé qu'une centaine de gares, dont celle de Lyon Part-Dieu, devraient faire bénéficier à leurs usagers du Wi-Fi gratuit avant la fin de l'année 2013.

C'est à la gare de Paris-Montparnasse que Fleur Pellerin, ministre de l’Économie numérique et Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, ont annoncé la (bonne) nouvelle : le gouvernement et la SNCF se donnent jusqu’à la fin de l’année pour équiper les 100 principales gares de France de Wi-Fi gratuit.
Les voyageurs pourraient ainsi restés connectés durant 30 minutes, le « temps moyen passé en salle d’attente ».
A noter que des tests sont en cours à Lyon-Part-Dieu.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/0 ... de-l-annee
Didier 74
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Message non lupar Didier 74 » 09 juil. 2013, 19:22

Le Progrès, 7 juillet
[align=center]Lyon : un colis suspect signalé à la gare de la Part-Dieu[/align]
Un vaste périmètre de sécurité mobilisant, policiers, pompiers et membres du service de sécurité de la SNCF a été mis en place samedi matin en gare de la Part-Dieu au niveau de la porte Villette. En effet, un carton suspect avait été signalé non loin de la salle de d’attente peu avant 9 heures. Le service de déminage a été requis en cette matinée de forte affluence pour procéder à l’explosion du colis suspect. Lequel contenait des documents administratifs et des plans de construction. Le dispositif a été levé à 10h10 et quelques perturbations ont été enregistrées suite à l’incident.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/07/lyon

De nouveaux propos anti-CEVA dans la presse de Haute-Savoie. Ils émanent cette fois-ci du député-maire UMP d'Annecy-le-Vieux, Bernard Accoyer.

Le Dauphiné Libéré, 7 juillet
Comme chaque année, Bernard Accoyer invite les journalistes pour évoquer les grandes lignes de sa politique.

[...]

7 Le désenclavement du Chablais. il conteste le rapport Duron (qui analyse les degrés d’urgence des travaux à réaliser) mettant en cause la création d’une deux fois deux voies. « Je ne peux accepter une telle énormité. » Il rappelle que depuis 2010, le segment Machilly/ Thonon ne peut être financé que par des collectivités locales ou un concessionnaire privé. Bernard Accoyer va donc proposer de déclencher une nouvelle enquête publique pour que ce segment soit à péage et financé en grande partie par un concessionnaire avec une soulte du département. « Je veux dissocier ce dossier de celui du Ceva qui porte sur l’agglo franco genevoise. » Et d’ajouter : « Ce n’est pas sérieux de dire qu’il pourrait contribuer au désenclavement du Chablais. »

8 Les accords bilatéraux entre la Suisse et la France : ils seraient, selon lui, « à revoir ». Il dénonce les distorsions entre les droits du travail et sociaux. La Suisse ne respecterait pas les engagements en matière de logements. « Nous finançons le Ceva et dans le même temps nous acceptons que nos voisins ne respectent pas les règles du jeu. Nous sommes trop gentils. On en crève en Haute-Savoie de ces négligences car le foncier est devenu inaccessible. »

Source http://www.ledauphine.com/haute-savoie/ ... -la-region

Donc Accoyer tente de faire croire que le CEVA ne profitera pas au Chablais. Il est pourtant prévu des trains toutes les heures entre Evian et Genève (et toutes les 30 min en pointe) !

Sur le financement du CEVA, il faut rappeler que l'essentiel des travaux est sur Suisse avec un financement 100% suisse. Pour la partie sur France, certains élus français dont Bernard Accoyer ont manœuvré pour que la France ne paie pas. Au final la Région, le Département et des collectivités locales ont accepté de financer la quasi totalité des travaux sur France (avec aussi l'Etat et RFF).

Par ailleurs, la Haute-Savoie ne crève pas, bien au contraire de la proximité de Genève et de son bassin d'emplois.

Accoyer reste donc fermement opposé au développement de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève, du rail en Haute-Savoie et défend désormais une autoroute dans le Chablais avec un déficit de fonctionnement supporté par le contribuable haut-savoyard ! Et dire qu'il a voté pour le Grenelle de l'Environnement ...
Dernière modification par Didier 74 le 14 juil. 2013, 15:35, modifié 1 fois.
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Message non lupar Didier 74 » 10 juil. 2013, 23:02

Le Dauphiné Libéré, 9 juillet
[align=center]Tramway du Mont-Blanc : un chantier à près de 9 millions[/align]
C’est une auguste vieille dame qui fêtera en fin de semaine les 100 ans de son arrivée au Nid d’Aigle (2380 mètres), la voie ferrée la plus haute de France devait donc bien, pour l’occasion, s’offrir un petit lifting.

D’ici 2015, le Tramway du Mont-Blanc sera ainsi le cœur d’un chantier de l’ordre de 8,8M€, financé à 94% par son propriétaire, le conseil général (soit environ 8,3M€), le reste étant assuré par la Compagnie du Mont-Blanc, gestionnaire du site comme du “cousin”, le train du Montenvers à Chamonix. Les travaux, qui n’auront lieu que durant les dates de fermeture du site (au printemps et à l’automne) s’étalonneront jusqu’en 2015 et viseront en premier lieu la sécurisation des passagers.

Ainsi, ce ne sont pas moins de 2,7 km linéaires de voies qui seront rénovés. Sont concernés, les secteurs entre Saint-Gervais et Motivon, Mont Lachat et Nid d’Aigle et la rampe du Mont Forchet. Le caténaire sera changé sur ces 2,7 km et des travaux de protection aux abords de la voie seront effectués dans la zone des Tuffes.

Un projet d’importance donc pour cette voie qui, si elle n’a jamais atteint son but initial de rallier directement le sommet du mont Blanc, attire des milliers de voyageurs par jour. Elle est notamment le point de départ de la voie normale d’accès au toit des Alpes.

Source http://www.ledauphine.com/haute-savoie/ ... 9-millions

10 juillet
[align=center]Cet été, le Mont-Blanc fête son tramway centenaire[/align]
Au Nid d’Aigle, le train émerge de la roche pour s’arrêter dans une pente à 22%, et déverser son flot de touristes estivants. Les premiers trains sont prisés par les alpinistes candidats au mont Blanc, qui s’épargnent ainsi 1500 mètres de dénivelé.

Un train jusqu’au sommet du mont Blanc ? Aujourd’hui, l’idée en ferait bondir plus d’un ! Il y a déjà bien assez d’alpinistes au sommet… Alors un train, pensez donc ! Il y a 100 ans pourtant, on y croyait dur comme fer.

Quand Henri Du Portal dessine les plans du Tramway du Mont-Blanc en 1902, le projet est bien d’emmener les touristes jusqu’au toit de l’Europe, avec un premier tronçon de 18,5 km qui devait relier Le Fayet, le plus bas hameau de Saint-Gervais (Haute-Savoie), à l’Aiguille du Goûter.

“J’ai des schémas d’époque sur lesquels on voit le train arriver sous l’Aiguille du Goûter, puis un vague ascenseur monter au sommet de l’Aiguille, et un second train poursuivre jusqu’au mont Blanc”, détaille Damien Girardier, le directeur des trains à la Compagnie du Mont-Blanc, l’entreprise qui exploite le TMB.

La Première Guerre mondiale viendra mettre un terme à ces fantasmes des hauteurs. Mais entre-temps, les ingénieurs ont pu mettre en route une partie de leur projet : en 1907, une gare provisoire est installée en amont du village de Saint-Gervais. Suivra l’inauguration de la première section du TMB en 1909 ; inauguration dont on fêta le centenaire en 2009. Cette année 2013, c’est donc les 100 ans de l’arrivée du TMB au Nid d’Aigle, son terminus, que l’on célèbre.

Un tramway à la montagne
Surtout connu pour épargner aux candidats du mont Blanc une grimpette de 1 500 mètres de dénivelé, le TMB est avant tout le train des Saint-Gervolains. Comme l’appellation “tramway” l’indique, il avait certes une vocation touristique, mais devait aussi servir de transport en commun pour les habitants des hameaux traversés par la ligne.

En témoignent les multiples arrêts le long des 12 km de voie, qui permettent entre autres, en hiver, de rejoindre le domaine skiable des Houches. Partir skier à bord d’un train, la chose est peu commune ! Une particularité qui le distingue de son cousin chamoniard, le train du Montenvers, à vocation purement “contemplative”.

Un lifting nécessaire pour la voie centenaire
Une telle longévité mérite bien d’être célébrée, mais elle pose aussi la question de la pérennisation de cette voie historique de 12 kilomètres, accrochée à flanc de montagne sur des pentes qui flirtent avec les 25%. Malgré toute l’ingéniosité des constructeurs du début du XX e siècle, qui ont réalisé le chantier à la force des bras et monté le matériel à dos de mule, le temps a fait son œuvre.

”Le ballast qui maintient la voie a bougé, ce qui lui a fait perdre en élasticité. Les rails sont anciens, certaines traverses sont cassées ou mobiles. La crémaillère, les caténaires, les poteaux ont été endommagés par le temps et les mouvements de terrain. Enfin, il faudra refaire le drainage des bords de voie ; sans ça, le ballast risque d’être emporté par le ruissellement”, détaille le directeur des trains.

Quant à la gare d’arrivée, où les passagers débarquent sur une pente à 22% (!), elle tient plus de la bicoque en bois du Far West que d’une vraie gare ferroviaire. “On est en train de réfléchir à son aspect futur”, promet le directeur des trains.

Le Conseil général de la Haute-Savoie, propriétaire de la voie, devra donc mettre la main à la poche pour financer les 8,3 millions d’euros de travaux nécessaires à la remise en état de la voie centenaire. Ce à quoi il vient juste de s’engager, avec une première phase qui sera réalisée d’ici 2015.

À plus long terme, ce sera au tour des trois “ladies”, les locomotives du TMB répondant aux noms de Jeanne, Anne et Marie, de se refaire une beauté. Ces élégantes mécaniques approchent tout de même des 60 ans !

Source http://www.ledauphine.com/haute-savoie/ ... -preservee

mobilicites.com, 10 juillet
[align=center]Le Certu fusionne en 2014[/align]
Au 1 janvier 2014, le Certu, les huit Centres d'étude techniques et d'équipement (Cete), le Centre d'études techniques maritimes et fluviales et le Service d'études sur les transports, les routes et leurs aménagements fusionnent pour donner naissance au Cerema.

L’État a décidé, fin mai 2013, de créer ce nouvel établissement public, le Cerema pour Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement. Son siège social sera situé à Bron, près de Lyon.
Mais les 3000 agents des quatre entités et des services fusionnés restent dans leurs établissements d'origine.

Source http://www.mobilicites.com/fr_infos-pro ... _2691.html
Dernière modification par Didier 74 le 21 juil. 2013, 17:38, modifié 3 fois.
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Message non lupar Didier 74 » 14 juil. 2013, 18:42

leprogres.fr, 11 juillet
[align=center]Suicide, incendie, alerte au colis piégé: soirée noire pour la SNCF dans la région[/align]
Un suicide, un incendie et une alerte à la bombe se sont cumulés en fin de journée sur les voies SNCF de la région, paralysant le trafic au sud de Lyon et causant d'importantes difficultés, notamment à la gare Part-Dieu. Le trafic est resté perturbé toute la soirée.

Journée noire pour la SNCF dans la région lyonnaise. Alors qu'une personne a été heurtée par un train dans l'après-midi, entraînant une interruption totale du trafic de 13h40 à 16h45, un incendie s'est déclaré aux abords des voies près de Lyon.

Pour ne rien arranger, un bagage abandonné a été découvert à 16h30 dans la gare de Chambéry, provoquant une alerte au colis piégé qui n'a cessé qu'à 18h15.

Le feu s'est déclaré à 18h15 à Saint-Fons au milieu des voies. Afin d’intervenir, les pompiers ont demandé la rupture électrique ce qui a occasionné l’arrêt total du trafic venant du grand Sud (Marseille, Saint-Étienne, Chambéry, Grenoble).

Ce faisceau électrique qui a été interrompu gère l’entrée sud de la gare de la Part-Dieu. L’incendie a été maîtrisé à 19 heures. A l’heure actuelle, les trains vont pouvoir commencer à circuler mais, selon la SNCF, le trafic va s’écouler lentement.

Quant à l’incident également au sud de Lyon, dans l’Isère, si les voies ont été dégagées, il subsiste encore quelques retards résiduels, indique la SNCF

L'interruption du trafic a provoqué une accumulation de voyageurs dans la gare de la Part-Dieu à Lyon, comme en témoignent de nombreux internautes sur les réseaux sociaux

La SNCF indique que le trafic restera très perturbé sur l’ensemble de la Région pour toute la soirée et recommande, dans la mesure du possible, de différer vos voyages.

Source http://www.leprogres.fr/actualite/2013/07/11/incendie

Le Dauphiné Libéré, 12 juillet
[align=center]Le train a mis vingt ans pour aller de Moûtiers à Bourg-Saint-Maurice[/align]
La Tarentaise fête, cette année, un double anniversaire ferroviaire. Les 120 ans de l’arrivée du train à Moûtiers (l’électricité, les usines, le tourisme vert via le thermalisme avec) et les 100 ans de son arrivée à Bourg-Saint-Maurice (même si la gare ne fut inaugurée qu’en 1914 et que les premiers trains au départ furent vraiment ceux de militaires vers le front). Vingt ans pour trente kilomètres supplémentaires.

« Il a fallu vingt ans pour définir ce qu’il fallait faire : soit une voie d’intérêt local (une voie métrique électrique a même été envisagée pour aller plus vite), soit une voie internationale. Ce qui a été l’option retenue après bien des atermoiements, pour en faire une alternative à la voie de Maurienne, très pentue », explique Jean-Paul Bergeri, directeur de l’office de tourisme de Moûtiers et guide du patrimoine.

Nombre d’hypothèses, parfois farfelues, ont été imaginées pour faire face à l’éventualité d’un tunnel Chamonix-Courmayeur : un tunnel sous le Saint-Bernard, un tunnel de Sainte-Foy au Val Grisanche, ou même passer par la vallée de Bozel (l’usine du Planay était la seule de la vallée où le train n’arrivait pas) avec un tunnel de Champagny à Macot. « Un colonel du Génie avait même imaginé une voie d’Annecy à Ugine, puis un tunnel sous le Mirantin jusqu’à Queige, puis un tunnel sous le Cormet de Roselend pour ressortir à Bourg ! »

"De Moûtiers à Centron, ce ne sont que des ouvrages d'art"
Alors qu’un tramway puis un électrobus avec une remorque marchandises étaient en place de Moûtiers au Villard du Planay (d’où la dénomination de la gare “Moûtiers-Salins-Brides”), c’est bien par la voie la plus logique (la vallée) que le PLM est monté jusqu’en Haute Tarentaise, les collectivités s’occupant de l’acquisition des terrains. « Les premiers pas de l’intercommunalité », rigole Jean-Paul Bergeri. Macot proposant alors 4000 francs pour avoir la gare principale à mi-parcours, et Val d’Isère, faute de quorum au conseil municipal, faisant voter des passants.

Il a aussi fallu vingt ans pour imaginer techniquement le parcours, sur une seule voie, et avancer au fil des découvertes de ruisseaux souterrains : une dizaine de tunnels sur 13 kilomètres, plusieurs traversées de l’Isère. « De Moûtiers à Centron, ce ne sont que des ouvrages d’art. L’une des voies les plus techniques de France. » À l’image du départ de Moûtiers, où, pour contrecarrer la pente trop importante, trois tunnels se succèdent en boucle : “Cordeliers 1”, le tunnel de la boucle (qui fait un trois-quart de cercle) et “Cordeliers 2” (parallèle et superposé au premier). « Cela a marqué l’esprit des gens, qu’on puisse faire cela uniquement avec des calculs, avec jonction à chaque fois. 4000 personnes, essentiellement des Italiens, travaillaient entre Moûtiers et Bourg, contre 400 ouvriers pour faire le tunnel du Ciboulet. Aujourd’hui, même si la Haute Tarentaise est un terminus, il n’y a pas plus internationale : cette voie accueille des Eurostars, des Thalys et même un temps le Talgo qui venait de Barcelone. Et il y a des douanes franco-britanniques ! » L’événement était tellement important que c’est le président Poincaré qui aurait dû l’inaugurer. La Grande Guerre en décida autrement…

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2013/0 ... nt-maurice

Le Dauphiné Libéré, 13 juillet
[align=center]Le terminus du Tramway du Mont-Blanc a 100 ans[/align]
Les élus du Mont-Blanc et conseillers généraux avaient fait le déplacement hier, au Nid d’Aigle (2380 m), pour célébrer les 100 ans de l’arrivée du TMB à son terminus, autour de Jean-Marc Peillex, maire de Saint-Gervais. « Ce train va maintenant vivre un second siècle, qui sera consacré à lui offrir une deuxième vie, notamment au service des habitants qui vivent dans les hameaux situés le long du premier tronçon du TMB », a-t-il promis. Christian Monteil, le président du conseil général, a ironisé sur « la dernière folie de Saint-Gervais qui a coûté 25M€ » (le pont de contournement), et celle de la rénovation du TMB, “minime” puisqu’elle ne coûtera “que” 8M€ au Département.

Source http://www.ledauphine.com/haute-savoie/ ... -a-100-ans
Dernière modification par Didier 74 le 21 juil. 2013, 17:37, modifié 1 fois.
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Message non lupar Didier 74 » 19 juil. 2013, 22:00

Les députés prennent moins le train

AFP, 17 juillet
[align=center]Publication inédite des dépenses détaillées de l'Assemblée[/align]
L'Assemblée nationale, qui publie pour la première fois ses comptes de façon détaillée sur son site, a vu ses dépenses augmenter de 2,8% en 2012, pour cause d'élections législatives, et a atteint l'équilibre financier en puisant dans ses réserves disponibles.

Après avoir été gelée de 2008 à 2011, la dotation budgétaire de l’État à l'Assemblée a diminué de 3% en 2012, à 517,9 millions d'euros, en vertu d'un amendement au budget voté par la précédente Assemblée. Comme les dépenses ont atteint 541,7 millions, le palais Bourbon a dû, pour équilibrer ses finances, compter sur quelques recettes annexes, mais surtout puiser à hauteur de 17,6 millions dans ses "disponibilités", principalement les excédents des années précédentes.

Cet accroissement des dépenses est lié aux élections législatives de juin 2012, principalement en raison des indemnités de licenciement de 839 collaborateurs de députés battus. Ces indemnités sont en effet prises en charge par l'Assemblée, en sus de l'enveloppe mensuelle de 9.504 euros dévolue à chaque député pour rémunérer ses assistants.

[...]

Publication des comptes
L'augmentation, de quatre à six, du nombre de groupes parlementaires après les législatives de juin a entraîné une hausse de 5,5% des crédits qui leur sont affectés, à 9,7 millions d'euros. L'éphémère groupe filloniste Rassemblement-UMP, en décembre, a coûté 130.000 euros.

Toutefois, "grâce à des efforts de gestion rigoureuse", les dépenses ont été inférieures de dix millions d'euros aux prévisions initiales, se félicitent, dans leur rapport annuel, les trois questeurs de l'Assemblée, députés en charge des finances du palais Bourbon.

Parmi ces efforts, le rapport cite une réduction de 5,7% des dépenses de voyages, qui représentent 6,7 millions d'euros. Ainsi, le nombre des députés bénéficiant d'une carte SNCF gratuite a baissé de 394 fin 2011 à 321 fin 2012. Mais la baisse a été plus drastique pour les anciens députés : seuls 29 d'entre-eux, "justifiant d'une utilisation suffisante du réseau ferroviaire", en bénéficiaient fin 2012, contre 108 un an auparavant.

[...]

Dans l'avenir, ainsi que l'avait annoncé en septembre dernier le président de l'Assemblée, Claude Bartolone (PS), la Cour des comptes certifiera les comptes de l'Assemblée et du Sénat. Une convention doit être signée à cet effet mardi prochain, a indiqué M. Roman.

Depuis une dizaine de jours, sans que cela ait donné lieu à une annonce particulière, la rubrique "découvrir l'Assemblée" du site internet de cette institution comporte une section "comptes de l'Assemblée", sur laquelle sont notamment publiés les rapports des questeurs, des experts-comptables et de la commission parlementaire spéciale chargée de vérifier les comptes.

Jusqu'à présent, seul le rapport de cette commission, le plus succinct (une dizaine de pages contre une centaine pour celui des questeurs), était publié. Actuellement présidée par l'ancien président de l'Assemblée, Bernard Accoyer (UMP), elle comprend 15 députés de toutes tendances.
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Message non lupar Didier 74 » 21 juil. 2013, 17:16

Un bus des TCL détourné par des malfrats.

leprogres.fr, 20 juillet
[align=center]Ils braquent un supermarché et détournent un bus pour s’enfuir[/align]
Deux individus ont détourné un bus samedi matin, alors qu’ils venaient de commettre un braquage à main armée à Chassieu.

Deux hommes armés d’un fusil à pompe ont braqué un supermarché à Chassieu samedi, peu avant 7 heures du matin.

Après avoir pris le directeur en otage, les deux complices ont dû repartir bredouilles, après avoir constaté l’impossibilité d’ouvrir la caisse.

Alors qu’ils s’enfuyaient, sans butin, ils ont eu un accident de voiture et ont détourné un bus pour poursuivre leur route. Une cavale qui a duré…100 mètres, avant qu’ils ne descendent du véhicule et n’arrêtent une autre voiture qui arrivait. Les deux fuyards ont alors disparu.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/2 ... r-s-enfuir
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Message non lupar Didier 74 » 21 juil. 2013, 17:22

leprogres.fr, 16 juillet
[align=center]En Rhône-Alpes aussi, la SNCF vérifie minutieusement tous les aiguillages[/align]
Train. Depuis la récente catastrophe de Brétigny-sur-Orge, dans l’Essonne, qui a coûté la vie à six personnes, l’ensemble des éclisses du réseau ferré national est contrôlé. Nous avons suivi une des équipes au travail en gare de Perrache, mardi après-midi.

Depuis dimanche matin, la vaste opération de contrôle systématique des aiguillages du réseau ferroviaire est engagée au niveau national. Opération de sécurité, mais qui peut aussi venir étoffer le dossier des enquêteurs de la catastrophe de Brétigny-sur-Orge.

Dans la région lyonnaise, l’unité « voies Lyon-Part-Dieu » de l’Infrastructure SNCF a une vingtaine d’agents mobilisés pour cette mission. Son responsable, Philippe Bettinelli, explique que son périmètre d’intervention est subdivisé en trois secteurs : Sathonay/Saint-Clair, Part-Dieu/Brotteaux et Perrache/Guillotière. Ils comptent respectivement 4, 10 et 37 aiguillages.

C’est à Saint-Clair que les trains roulent le plus vite : c’est donc là que les visites ont commencé, dimanche. Elles sont désormais achevées dans ce secteur, comme dans celui de la Part-Dieu, mais se poursuivent encore au moins jusqu’à la fin de la semaine à Perrache. Aucun boulon ne manquait sur les éclisses observées de près jusqu’à maintenant.

Nous avons suivi, mardi après-midi, une équipe de six cheminots menant des observations minutieuses dans le méandre des voies, au sud de la gare de Perrache. Un terminal ferroviaire dont le trafic est moindre que celui de la Part-Dieu, mais beaucoup plus complexe et riche en aiguillages.

35 minutes de travail sur chaque aiguillage
Seul avantage du lieu : les trains ne roulent qu’à 30 km/h maximum, ce qui sécurise un peu plus les cheminots qui travaillent sous un soleil de plomb, et ce, alors que le trafic se poursuit. Parmi eux, un annonceur qui avertit ses collègues de l’arrivée d’un train à l’aide d’une corne. Tout le monde se range alors en bord de voie. Avant de reprendre les vérifications à l’aide d’une canne à boule, pour s’assurer qu’il n’y a pas de vide créé sous les traverses, des marteaux pour les boulons des éclisses, étudiés aussi attentivement visuellement. Tous sont systématiquement resserrés avec différents types de clés. C’est une intervention de maintenance générale qui est ainsi réalisée.

Chaque aiguillage demande environ 35 minutes de travail à l’équipe composée d’hommes spécialisés. Tous font l’objet d’un compte rendu de vérifications, décrivant avec précision leur état. Le soir même, ces constatations sont transmises à la direction des infrastructures.

Vincent TETON - Directeur du territoire de production Sud-Est d’Infra SNCF. Nous appliquons le principe de précaution
À la tête du vaste territoire Sud-Est de la direction des infrastructures SNCF, qui va du sud de l’Ile-de-France aux régions Paca et Languedoc-Roussillon, Vincent Teton est comme tous les agents SNCF, profondément marqué par la catastrophe de Brétigny : « De mémoire de cheminot, on n’a pas connu un accident mettant en cause une éclisse. Ces dernières années, l’infrastructure n’a jamais été en cause. La douleur des victimes et de leur famille nous touche particulièrement. »

Vincent Teton précise que le territoire Sud-Est compte 620 appareils de voies (aiguillages) à contrôler, dont 190 en Rhône-Alpes. Chacun peut compter de 4 à 12 éclisses. L’ordre de priorité des vérifications entreprises depuis dimanche matin est lié à la fréquentation et à la vitesse de passage des trains sur les aiguillages. Ce sont ces mêmes critères, mais aussi l’âge de l’aiguillage, qui déterminent également la périodicité des visites de contrôles régulièrement effectuées. La fréquence de ces observations rend d’autant plus surprenante la défaillance de l’éclisse de Brétigny. « Comme un constructeur automobile face à un problème rencontré sur une voiture qui rappelle toute une série, nous appliquons le principe de précaution », confie Vincent Teton, qui ajoute : « À ce jour, pas un seul boulon n’a été trouvé manquant. »

Le directeur Sud-Est des infrastructures SNCF rapporte que lundi soir, 43% des contrôles avaient été réalisés. Il espère que tous pourront être achevés à la fin de la semaine.

Sources http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/1 ... iguillages et http://www.leprogres.fr/actualite/2013/ ... precaution
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Message non lupar Didier 74 » 21 juil. 2013, 17:30

Le Progrès, 16 juillet
[align=center]Le Wi-Fi gratuit bientôt disponible à la gare de la Part-Dieu[/align]
Tandis que des tests sont menés dans quelques gares françaises, Fleur Pellerin, ministre de l’Économie numérique, a annoncé qu’une centaine de gares, dont celle de Lyon-Part-Dieu, devraient faire bénéficier à leurs usagers du Wi-Fi gratuit avant la fin de l’année 2013.

C’est à la gare de Paris-Montparnasse que Fleur Pellerin, ministre de l’Économie numérique, et Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, avaient annoncé la (bonne) nouvelle : le gouvernement et la SNCF se donnent jusqu’à la fin de l’année pour équiper les 100 principales gares de France du Wi-Fi gratuit.

Les voyageurs pourraient ainsi rester connectés durant trente minutes, le « temps moyen passé en salle d’attente ».

À noter que des tests sont en cours à Lyon-Part-Dieu.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/1 ... -part-dieu
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Message non lupar Didier 74 » 21 juil. 2013, 17:32

leprogres.fr, 15 juillet
[align=center]Des fumigènes volés à la SNCF[/align]
Outre les pétards et autres mortiers, les fumigènes rencontrent un succès certains. Des jeunes gens n’ont pas hésité à s’approvisionner gratuitement, en se servant dans les stocks de la SNCF. Ainsi, deux personnes ont été contrôlées ce week-end, place Jean-Macé et rue Parmentier à Lyon (7e), en possession de fumigènes volés sur un site SNCF. Un jeune homme a été interpellé dans l’enceinte SNCF de Croix-Barret, à Lyon (8e), en train de voler des fumigènes avec des complices.

Source http://www.leprogres.fr/actualite/2013/ ... -a-la-sncf
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Message non lupar timerfuller1 » 21 juil. 2013, 18:17

Rhône. Ils braquent un supermarché et détournent un bus pour s’enfuir - Le Progrès

Deux individus ont détourné un bus samedi matin, alors qu’ils venaient de commettre un braquage à main armée à Chassieu

Deux hommes armés d’un fusil à pompe ont braqué un supermarché à Chassieu samedi, peu avant 7 heures du matin.

Après avoir pris le directeur en otage, les deux complices ont dû repartir bredouilles, après avoir constaté l’impossibilité d’ouvrir la caisse.

Alors qu’ils s’enfuyaient, sans butin, ils ont eu un accident de voiture et ont détourné un bus pour poursuivre leur route. Une cavale qui a duré…100 mètres, avant qu’ils ne descendent du véhicule et n’arrêtent une autre voiture qui arrivait. Les deux fuyards ont alors disparu.


Et ben... De mieux en mieux les braquages... ::)
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 21 juil. 2013, 21:30

Le Dauphiné Libéré, 15 juillet
[align=center]Quel avenir pour la ligne ferroviaire Lyon/Grenoble ?[/align]
Selon l’Adut, les conditions de transport vont se dégrader après l’horizon 2015.

Dans un communiqué, l’Association dauphinoise des usagers du train (Adut) a fait part de ses inquiétudes pour l’avenir de la ligne Lyon/Saint-André-le-Gaz/Grenoble après l’horizon 2015, à la suite des comités de ligne consacrés à cet axe qui se sont réunis dernièrement.

L’association déplore “la fin des investissements par la région Rhône-Alpes en nouveaux matériels roulants”. « Jusqu’à présent, nous avions un allié, c’était la Région. Mais elle n’a plus de budget pour mettre des trains sur les rails », indique Patrice Belvegue, président de l’Adut. « Avec une hausse de fréquentation de 10% par an, nous sommes inquiets pour l’après 2015. Les conditions de transport vont se dégrader. Le fait de voyager debout va entraîner une agressivité des usagers. »

Des gares en voie de disparition
L’Adut dénonce aussi “la volonté de la Région d’interdire les vélos aux heures de pointes”. « Il faudrait deux vélos, un dans la gare de départ et un dans celle d’arrivée. Ce n’est pas possible. Il faudrait déjà des locaux dans toutes les gares, il n’y en a pas à Vénissieux et Saint-Priest, et à Grenoble ils sont vite saturés. »

L’association craint la suppression des dessertes ayant peu d’usagers, notamment les gares de La Bièvre à destination de Lyon. « La gare de Cessieu, qui rassemble une vingtaine de personnes, à terme, sera fermée. De même, les arrêts des trains pour Grenoble à Virieu-sur-Bourbre, Le Grand-Lemps et Châbons seront supprimés. » Cela entraînera aussi “le maintien d’autocars quand le niveau de la fréquentation ne nécessite par un train” : « Depuis deux ou trois ans, on a remplacé les trains par des cars, mais les gens ne font pas confiance aux cars, notamment lorsqu’ils sont proposés tôt ou très tard. Et puis, on ne peut pas mettre de vélos dans un car. »

Pour aller dans le sens des collectivités locales et de la Région, qui souhaitent développer les modes de déplacement doux, l’Adut souhaite la mise en place d’itinéraires « adaptés et sécurisés », de parkings à proximité des gares favorisant le co-voiturage, de consignes à vélos gratuites et une augmentation de l’offre de transports en commun, avec des horaires adaptés. Mais l’association rappelle que les modes doux ne peuvent pas être envisagés par tous les usagers. « Certains font entre 10 et 30 km pour aller à la gare. Et il ne faut pas oublier que nous sommes en Nord-Isère et que les conditions météorologiques sont parfois difficiles. »

L’association demande un renouvellement de la flotte des trains, « car certains TER ont 50 ans », et une augmentation de leur nombre.

Source http://www.ledauphine.com/isere-nord/20 ... n-grenoble

lyonmag.com, 19 juillet
[align=center]De nouvelles rames d’ici 2015 sur le TER Lyon - Grenoble[/align]
Le Conseil régional ne laissera pas en plan les voyageurs du train Grenoble - Lyon : c'est ce qu'a déclaré en substance la vice-présidente de Région, Éliane Giraud.

L'élue est revenue vendredi matin dans le Dauphiné Libéré sur les inquiétudes exprimées par l'Adut, l'association des usagers de la ligne, au sujet d'un éventuel abandon des investissements de la Région vers le rail. D'ici 2015, de nouvelles rames seront mises en circulation sur la ligne, affirme Éliane Giraud ; elles assureront davantage de confort aux voyageurs, et surtout, grâce à une meilleure capacité, elles permettront à tout le monde de faire le trajet assis, même aux heures de pointe.

Source http://www.lyonmag.com/article/55921/de ... n-grenoble
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 22 juil. 2013, 21:00

lyoncapitale.fr, 22 juillet
[align=center]Des places gratuites dans Lyon en août[/align]
Comme chaque année, la ville de Lyon met à disposition des places gratuites dans toutes les zones de Lyon à l'exception des quartiers les plus fréquentés du 1er au 31 août.

Cette année, 32600 places seront gratuites tout l'été, soit la très grande majorité des emplacements, correspondant grosso modo aux zones "chrono" et "tempo"En fait, seules les grands axes de la Presqu'île resteront des zones payantes, pour éviter les stationnements de longue durée. Pour l'essentiel, les horodateurs resteront actifs places Bellecour, Antonin Poncet, Pradel, Carnot, la place des Terreaux, les rues Victor Hugo et Saint-Exupéry, le cours Verdun ou encore les quais de la rive droite du Rhône et les quais du 5ème arrondissement.

Source http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon ... on-en-aout

leprogres.fr, 22 juillet
[align=center]Stationnement : les places qui restent payantes en août[/align]
Mois d'août oblige, la majorité des places de parking de Lyon seront gratuites, à l'exception notable de celles situées sur la Presqu'île.

Du 1er au 31 août, 32600 places de stationnement à Lyon sont gratuites.

Le stationnement payant sera uniquement maintenu dans les rues les plus fréquentées du centre-ville, soit 2 800 places, pour répondre aux besoins de rotation (commerces, bureaux) et freiner l’immobilisation de longue durée.

Ces rues sont principalement situées sur la Presqu’île, de la place des Terreaux à Perrache, ainsi que sur les quais du 5e arrondissement et sur le secteur du Vieux-Lyon.

Délimitation du périmètre restant payant :

Entre Terreaux et Bellecour :
• Au Nord par la rue d’Algérie, la place des Terreaux, la rue Puits Gaillot, la place Pradel
• Au Sud par la rue Saint Exupéry (comprise) et la place Bellecour (chaussée Sud), la place Antonin Poncet.
• A l’Est par les quais du Rhône (compris).
• A l’Ouest par les quais de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins et la rue du Plat.

Entre Bellecour et Perrache :
• Au Nord par la place Bellecour et la place Antonin Poncet.
• Au Sud par la place Carnot et le cours Verdun Récamier
• A l’Est par les quais du Rhône (compris).
• A l’Ouest par la rue Victor Hugo et la place Carnot.

5e arrondissement
• Quais de Bondy, Romain Rolland, Fulchiron, entre la place Benoît Crépu et la rue Octavio Mey.
• Quai Romain Rolland, stationnement nocturne sur la promenade.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/2 ... es-en-aout
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 22 juil. 2013, 21:37

Le Dauphiné Libéré, 22 juillet
[align=center]BELLEGARDE Le jour où la gare est partie en fumée[/align]
L’incendie débuta vers 20 h 40 et fut maîtrisé vers 23 heures la toiture et le bâtiment du premier étage ont été réduits en cendre. Les poutres ont été détruites quelques semaines plus tard.

Il y a des événements qui marquent à jamais. L’incendie de la gare de Bellegarde le 9 avril 2003, est de ceux-là.

Ce soir de printemps, aux alentours de 20h40, de la fumée est aperçue par un agent en service, elle s’échappe de la fenêtre d’un bureau du premier étage. Rapidement, les quais, le hall d’accueil et le buffet sont évacués et les pompiers contactés. Une coupure de courant d’urgence a lieu. La fumée noire et épaisse envahit tout. Quinze minutes plus tard, les sapeurs-pompiers sont sur place mais les flammes ont déjà bien endommagé le bâtiment.

Des renforts arrivent des centres de secours d’Oyonnax, Nantua, Collonges, des CPI de Châtillon, Injoux, Léaz et Montanges. Si le feu est maîtrisé à 23 heures, les soldats du feu arrosent la toiture jusqu’à 8 heures du matin, afin de prévenir tout risque de redémarrage du foyer. Du côté du trafic, quatre trains de voyageurs sont déroutés, un itinéraire de déviation est mis en place via Aix-les-Bains et Annecy. 350 voyageurs sont acheminés en bus. Le trafic est rétabli vers 4 heures. Au petit matin, les dégâts constatés font peine à voir : la toiture et le bâtiment du premier étage ont été réduits en cendre.

Des bureaux provisoires pendant 7 ans
Dès le lendemain les cheminots sont « relogés » dans des locaux de la police à proximité de la gare. « Toutes les branches de la profession ont été réactives. On avait besoin des lignes téléphoniques. Nous avons beaucoup travaillé dans des conditions particulières », mentionne un cheminot présent ce jour-là. Cette transition provisoire dans ces locaux durera… sept ans. Jusqu’à la création de la nouvelle gare de Bellegarde. en 2010 « La gare n’a pas été refaite, car il y avait le projet d’une nouvelle gare », explique l’homme. Les poutres restantes pouvant être dangereuses sont abattues. À l’été 2003, il ne reste plus que quatre murs. Ils finiront par être revendus à la ville qui a aménagé une école de musique et la médiathèque en 2011, Le buffet, un peu excentré n’a pas pâti de l’incendie et a rouvert rapidement. Quant aux circonstances de l’incendie, l’hypothèse du court-circuit est la plus probable. Le TGI de Bourg-en-Bresse n’a pas trouvé d’informations dans ses archives. Quant à la SNCF, elle n’a « pas trouvé intéressant de communiquer sur le sujet ».

Le témoignage d’un cheminot sur le soir du drame
Les bureaux des cheminots ont été déplacés dans un local près de la gare de 2003 à 2010. Cette année-là, ils déménagent définitivement dans la nouvelle gare.

Nous l’appellerons Jean. La SNCF ne l’a pas autorisé à communiquer au Dauphiné Libéré. Jean était cheminot lors de l’incendie de 2003. Cet événement l’a profondément marqué comme d’ailleurs ses collègues.

« Nous en parlons encore souvent, c’est un événement qui restera dans les mémoires. Qu’on le veuille ou non, une gare ça marque les esprits », admet l’homme.

Lorsque l’incendie est déclaré, Jean évacue la gare. Il se heurte alors à l’inconscience de certains passagers. Finir son repas pendant l’incendie…

« Au buffet, certains voulaient finir de manger leur dessert avant de partir », raconte le cheminot.

« Une femme m’a demandé à quelle heure elle arriverait à Evian, en se plaignant : “Je suis handicapée, je dois être informée avant tout le monde ! “Certains voyaient les flammes mais ne pensaient qu’à eux ».

Cette nuit-là Jean ne dormira pas. Le lendemain, un profond sentiment de tristesse envahit ce passionné des trains.

« Après un incendie, tout est triste, noirci. Ce sentiment de tristesse était très présent, mais on ne peut pas dire que ce soit un traumatisme non plus. Et heureusement il n’y a eu ni blessés, ni morts. » La SNCF a mis en place une cellule psychologique pour ceux qui le souhaitaient dès le lendemain du désastre.

Sources http://www.ledauphine.com/ain/2013/07/2 ... e-en-fumee et http://www.ledauphine.com/ain/2013/07/2 ... r-du-drame
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 23 juil. 2013, 21:12

ledauphine.com, 23 juillet
[align=center]Le trafic SNCF perturbé à cause de la foudre[/align]
Soirée galère pour de nombreux voyageurs de la région, hier soir. Mardi (22 juillet 2013) entre 19 heures et 21 heures, une centaine de trains circulant entre Chambéry, Lyon et Grenoble ont subi des retards. Trois TER et deux TGV sont même restés bloqués en pleines voies à hauteur de Saint-André-le-Gaz (Isère). Selon la SNCF, les voyageurs ont été ravitaillés directement à bord des trains. 

Selon un vacancier arrivé non sans mal et tardivement à Bourg-Saint-Maurice, en Savoie, "les incidents ont laissé des tas d’usagers sans solution pour se déplacer".

Incident dans le Rhône
C’est la foudre qui est à l’origine de ces incidents : une installation au niveau de Vénissieux (Rhône), dans la banlieue de Lyon, a été endommagée. 

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2013/0 ... -la-foudre

A la clé des retards considérables. Un exemple : 3h de retard pour le 9746/7 (Montpellier 17h28 - Genève 21h16).
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 24 juil. 2013, 22:40

leprogres.fr, 24 juillet
[align=center]Ampuis : un piéton décède après avoir été percuté par un train[/align]
Mercredi 24 juillet, à 13h50, le TER Lyon-Marseille est entré en collision avec un homme âgé de 60 ans qui se trouvait sur la voie, aux abords du passage à niveau de la rue des Maraîchers. L'individu est décédé. Huit enfants ont assisté à la scène.

Mercredi 24 juillet, à 13h50, le TER Lyon-Marseille est entré en collision avec un homme âgé de 60 ans qui se trouvait sur la voie, aux abords du passage à niveau de la rue des Maraîchers. L'individu est décédé. Selon les premières informations, il s'agit probablement d'un suicide.

Huit enfants ont assisté à la scène. En état de choc, ils ont été pris en charge par le SMUR et sont actuellement regroupés dans la salle des fêtes d'Ampuis.

Le train est actuellement bloqué sur une voie de fret qu'il avait empruntée pour cause de travaux. Le trafic n'est pas perturbé. La cinquantaine de passagers ont été invités à quitter le train et sont, pour l'heure, bloqués à Ampuis.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/2 ... -un-pieton
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 26 juil. 2013, 22:36

leprogres.fr, 25 juillet
[align=center]Commande de 40 rames TGV : Alstom Villeurbanne sauve 150 emplois sur 7 ans[/align]
Transports. Le site villeurbannais conçoit et fabrique « l’intelligence » de ces rames Euroduplex à deux niveaux.

C’est la confirmation d’un beau contrat pour Alstom, qui a été officialisé jeudi par les ministres du Redressement productif et des Transports. La SNCF a passé commande à Alstom de quarante rames supplémentaires de TGV Euroduplex à deux niveaux.

Cette commande, d’un montant d’un milliard d’euros, s’inscrit dans le cadre du contrat conclu en 2007, qui porte sur 55 rames en tranche ferme et jusqu’à 40 rames supplémentaires en option. Les rames supplémentaires seront livrées à partir de 2015.

Cette levée d’option aura des retombées directes sur le site Alstom de Villeurbanne. Elle apporte à celui-ci une charge de 228000 heures de travail, réparties entre 2014 et 2021, ce qui représente l’emploi de 150 personnes sur sept ans.

Le site d’Alstom Villeurbanne conçoit et fabrique les systèmes et produits électroniques de contrôle-commande, de traction, de signalisation et d’information voyageurs. « Ce sont les systèmes nerveux et cerveaux des trains », résume-t-on chez Alstom Transport.

Les nouvelles rames Euroduplex disposent d’une capacité augmentée de 10%, soit 560 places maximum sur deux étages. Elles sont destinées à remplacer progressivement les vieilles rames TGV des années 80, et sont conformes aux normes techniques européennes en vigueur.

Actuellement, 21 rames Euroduplex circulent à grande vitesse Paris-Est, Paris Sud-Est, LGV Rhin-Rhône mais aussi Paris-Marseille-Francfort, Munich, Stuttgart, Paris-Zürich ainsi que Paris-Figueras.

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/2 ... -sur-7-ans

rhone-alpes.france3.fr, 26 juillet
[align=center]TGV : la SNCF commande 40 rames Duplex à Alstom[/align]
La SNCF a conclu, jeudi 25 juillet, avec Alstom une commande portant sur 40 rames de TGV de type Duplex. Ce contrat permettra de faire travailler un millier de personnes en France.

«La commande totale des 40 rames représente environ 1,2 milliard d'euros», a indiqué une source proche du dossier. Ce contrat a été signé par Guillaume Pepy, président de la SNCF et Patrick Kron, le patron d'Alstom au ministère des Transports en présence du ministre des Transports Frédéric Cuvillier et du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg.
Voilà une excellente nouvelle pour le site de Villeurbanne qui est chargé de la fabrication des systèmes et produits électroniques de contrôle. Cette commande représentera 228000 heures de travail, sur la période 2014- 2021, 150 personnes pourraient être embauchées !

Vidéo http://rhone-alpes.france3.fr/2013/07/2 ... 93669.html
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 28 juil. 2013, 23:34

AFP, 27 juillet
[align=center]Drôme : deux incendies attisés par le vent chaud[/align]
Deux incendies ont éclaté samedi après-midi dans le nord de la Drôme, attisés par le vent chaud soufflant du Sud, entraînant un important déploiement de moyens et la coupure temporaire d’une départementale et des perturbations sur la ligne SNCF Lyon-Marseille

Le premier feu est parti vers 13H00 à l’usine de papier Emin Leydier de Laveyron, faisant brûler 2500 tonnes de papier entreposées au nord de l’usine, ont indiqué les pompiers, confirmant une information de France Bleu-Drôme-Ardèche.

Il n’y a aucune victime et «il n’y aura pas de chômage technique», l’usine n’ayant pas été menacée par les flammes, a expliqué le lieutenant-colonel Marc-Henri Allys, du Centre opérationnel départemental d’incendie et de secours.

«Plus de 115 pompiers» ont été déployés pour lutter contre l’incendie, qui était «circonscrit» vers 16H30, et la route départementale RD257 ainsi que la ligne SNCF voisine, reliant Lyon à Marseille, ont été provisoirement coupées.

Seul un train, parti à 11H06 de Marseille en direction de Lyon-Part-Dieu avec 200 personnes à son bord a dû s’arrêter. Les passagers ont été «pris en charge par trois autocars, ravitaillés en eau et acheminés à Lyon», selon la direction régionale de la SNCF.

Les autres trains ont seulement été «détournés par la rive droite du Rhône» et accusaient des retards «de 40 minutes environ». La ligne devait rouvrir en fin d’après-midi.
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 11 août 2013, 17:49

Le trafic ferroviaire a été interrompu jeudi 8 août entre Lyon et Roanne

AFP, 8 août
[align=center]Loire : évacuations et voie SNCF coupée à cause de fortes pluies[/align]
Les fortes pluies, doublées d'un coup de vent jeudi dans la Loire, ont entraîné l'évacuation d'un lotissement et celle d'un camping, et la coupure partielle de la voie SNCF Lyon-Roanne, a-t-on appris auprès de la préfecture, des pompiers et de la SNCF.

[...]

En raison des fortes pluies durant la journée, la voie SNCF Lyon-Roanne a également dû être coupée, mais des tests étaient réalisés sur les voies et une activité partielle devait reprendre dans la soirée, ont ajouté la préfecture et la SNCF.

La SNCF précisait toutefois que les TER Lyon-Clermont passant par Roanne étaient détournés par Saint-Étienne, impliquant une trentaine de minutes de retard.

Pour les trains dont le terminus est Roanne, des autocars de substitution étaient mis en place.

Collision entre un TGV Paris - Milan et une voiture à Lépin (73) samedi 10 août

AFP, 10 août
[align=center]Savoie : une automobiliste se tue dans une collision avec un TGV[/align]
Une automobiliste est morte dans la collision de sa voiture avec un TGV samedi à un passage à niveau en Savoie, a-t-on appris auprès des pompiers.

Aucun des quelque 300 passagers du TGV qui reliait Paris à Milan n'a été blessé, selon les pompiers et la SNCF.

La conductrice du véhicule, âgée d'une trentaine d'années, a été éjectée de sa voiture, ont précisé les pompiers.

Le TGV, bloqué depuis 18H00 en gare de Lépin-le-Lac, à environ 25 km de Chambéry, non loin du lieu de l'accident, est reparti vers 20H30, a indiqué la SNCF.

Le train achemine les voyageurs jusqu'à Chambéry où des cars les conduiront ensuite à leur destination finale, a précisé un responsable de la SNCF.

Les six trains situés sur la ligne ont été détournés par Ambérieu (Ain), accusant des retards d'une trentaine de minutes à 1H30 pour l'un d'entre eux, a-t-il indiqué.

"La circulation sur la ligne revient progressivement à la normale", a poursuivi la même source.

Une enquête a été ouverte pour connaitre les circonstances de l'accident.

Il s'agit du TGV 9249 (Paris 14h41 - Milan 21h45). Ce TGV était parti de Paris avec 20 min de retard. Il devait arriver à Chambéry à 17h35. Il y est arrivé avec 3h30 de retard.

En conséquence le TGV 9244 (Milan 8h50 - Paris 16h11) a été supprimé entre Milan et Modane dimanche 11 août. Des cars ont été mis en place entre Milan et Modane. Le TGV est parti avec 1h30 de retard de Modane.

ledauphine.com, 11 août
[align=center]SAVOIE / LEPIN-LE-LAC La conductrice se serait engagée sur les voies malgré le feu rouge[/align]
L’enquête se poursuit sur l’accident entre un TGV et une voiture à un passage à niveau à Lépin-le-Lac dans l’Avant-pays savoyard qui a coûté la vie à une automobiliste de 49 ans.

D’après plusieurs témoignages et le parquet de Chambéry, Julianna Lavergé se serait engagée sur les voies ferrées alors que le feu rouge du passage à niveau était enclenché, sans que les demi-barrières ne soient complètement descendues, et aurait ensuite calé sur les rails. Sous la panique, elle aurait tenté de redémarrer son véhicule avant d’être percutée et éjectée du véhicule par le TGV reliant Paris-Milan. Le train circulait à 85 km/h (sur une portion limitée à 90 km/h). Après deux heures de massage cardiaque, elle a finalement succombé à ses blessures.

De nouvelles auditions sont attendues (notamment celle du chauffeur du train) afin de déterminer toutes les circonstances exactes de ce drame.

Julianna Lavergé, mère de famille, était domiciliée à Annecy-le-Vieux où elle exerçait le métier d’assistante maternelle. Elle venait régulièrement en Savoie et dans l’Avant-pays savoyard car elle était la compagne du premier adjoint de la commune d’Attignat-Oncin.

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2013/0 ... feux-rouge

Le Journal du Centre, 11 août
[align=center]Il coupe un arbre et c'est toute la ligne SNCF qui est bloquée[/align]
Le train Tours-Lyon Perrache a été immobilisé en gare d’Avord pendant deux heures et quarante minutes.

L’arbre coupé par le riverain tombe sur la voie ferrée et engendre des retards
Hier après-midi, un riverain de Nérondes a eu la main verte malheureuse. L’arbre qu’il coupait est tombé sur la voie ferrée.

Le temps que l’arbre soit dégagé de la voie, le train 16841 Tours-Lyon Perrache a été immobilisé en gare d’Avord pendant deux heures et quarante minutes.

Les passagers du train 860841, en provenance de Tours et à destination de Nevers, ont, eux, enregistré un retard d’environ une heure.

Source http://www.lejdc.fr/nievre/actualite/20 ... 54286.html
Dernière modification par Didier 74 le 14 août 2013, 14:34, modifié 1 fois.
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 13 août 2013, 11:16

Le Progrès, 13 août
[align=center]Mini «Orange mécanique» dans le TGV Paris-Sud-Est[/align]
Quatre copains de la banlieue parisienne voyageant sans billet ont semé samedi la zizanie dans un TGV qui a dû être détourné à Lyon pour y subir un retard de 45 minutes. Ils voulaient voir la mer, ils ont fini à la barre du tribunal lyonnais.

Après 48 heures de garde à vue, les « potes » de Levallois-Perret affichaient, lundi, dans le box des comparutions immédiates des gueules d’ange alors que samedi ils ont mis en émoi toute une rame TGV et pour deux d’entre eux se sont rebellés contre les policiers de la PAF (Police aux frontières).

Partis tôt de la gare Lyon à Paris, la bande comptait aller piquer une tête dans la grande bleue. Direction Montpellier sans billet en poche mais joints au bec. Malheur à ceux qui dans le wagon ont émis quelques protestations. Sous l’effet du cannabis, de la toute-puissance mais aussi de l’alcool, les garçons de vingt ans déjà connus pour des incivilités ont vite réglé le problème à leur façon.

Baladeur arraché des oreilles d’un passager, termes orduriers adressés à une femme et même une gifle envoyée à une jeune fille. Quand les contrôleurs ont montré le bout de leurs casquettes ils ont été accueillis avec une bordée d’injures et de menaces.

Face à une situation ne pouvant qu’empirer la décision initiale d’effectuer une exfiltration en gare de Nîmes a été abandonnée et c’est tout le TGV qui a été détourné sur Lyon.

L’interpellation par les agents de la PAF ne s’est faite sans heurts et la garde à vue n’a pas été non plus un long fleuve tranquille. Avec au final des condamnations allant de 1 à 3 mois de prison sans maintien en détention donc aménageables.

Source http://www.leprogres.fr/faits-divers/20 ... is-sud-est

Le trafic TER dans la vallée du Rhône a été très perturbé mardi 13 août au matin. Un conducteur d'un train de fret a suspecté la présence d'un cadavre sur les voies à hauteur de Montélimar. La trafic a été interrompu près de 2 heures en rive gauche le temps de procéder aux vérifications nécessaires. Aucun cadavre n'a été découvert. Certains TER ont été supprimés. D'autres ont été détournés par la rive droite et certains ont subi des retards allant jusqu'à 2h.
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 23 août 2013, 21:51

Le Dauphiné Libéré, 20 août
[align=center]loisirs Le chemin de fer du Haut-Rhône va bientôt reprendre du service Sur de bons rails[/align]
Gare touristique de la Vallée Bleue, 10h30. Le soleil est déjà haut dans le ciel. Les premiers touristes pénètrent dans le hall d’accueil. « Les brochures d’informations pour le vélorail sont ici, madame », lance Dominique Cécile, bénévole de l’association du chemin de fer touristique du Haut-Rhône, à une vacancière. « Et pour le train à vapeur ? », rétorque celle-ci, nettement moins intéressée par les cyclo-draisines. « Malheureusement, il ne fonctionne pas encore… », répond Dominique. La mise en service devrait intervenir aux premières lueurs de septembre.

80000€ de réparations
Mai 2012. Jean-Claude Thoos, le président de l’association, ne parvient pas à obtenir l’autorisation de mise en circulation de sa locomotive Decauville. « Une fuite dans le foyer nous obligeait à changer la chaudière. Il y en a pour 80 000€. » L’association, aux fonds modestes, ne peut pas se permettre un tel investissement. Et sans cette autorisation, l’interdiction de circuler est formelle. Les balades de 4 km entre la base de loisirs de la Vallée Bleue et le barrage de Sault-Brenaz, sur l’ancienne plateforme PLM, sont donc stoppées net.

Mais au fond de l’immense hangar de l’association, véritable salle des machines où les bénévoles bricolent et réparent à tout va, se cache une autre locomotive. Une Krauss 040 DFB de 1914. Plus grosse, plus puissante et donc moins maniable. Mais Jean-Claude n’en a cure. Avec ses acolytes fans du rail, il passe son hiver à retaper la machine, à la mécanique bien rouillée.

« Plus que de l’argent, c’est du temps que nous avons passé dessus. Environ 200 à 300 heures. » Contrôles, vérifications, nettoyages… Rien n’a été laissé au hasard. « On a même été retardé à cause du mauvais temps », se souvient Dominique Cécile. Mais le 28 juin et le 11 juillet, deux essais sont effectués. Ils sont concluants.

Sous le hangar, les deux “bêtes” se côtoient. L’une n’attend plus que l’autorisation des organismes de contrôle pour prendre le rail. Ce sera probablement début septembre. L’autre a simplement besoin d’un nouveau cœur. Jean-Claude Thoos ne désespère pas. « Avec l’aide financière du Conseil général et de la Région, je pense pouvoir réparer la chaudière de la Decauville. Les clients s’impatientent du retour du train à vapeur, et nous aussi. Nous pourrons bientôt leur en offrir deux ! »

À la Vallée Bleue, un train en cache toujours un autre.

Chemin de fer touristique du Haut-Rhône. Base de loisirs la Vallée Bleue. Reprise du train en septembre. De 5 à 9€. Gratuit pour les moins de 4 ans. Tél. 04 78 81 84 30 ou 06 76 60 92 55.

Source http://www.ledauphine.com/isere-nord/20 ... bons-rails
Didier 74
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 25 août 2013, 11:25

AFP, 24 août
[align=center]Un TGV Lyon-Poitiers arrêté plus de cinq heures en région parisienne[/align]
Un TGV Lyon-Poitiers avec 200 voyageurs à bord a été arrêté plus de cinq heures samedi à hauteur de Massy (Essonne), en raison d’un problème d’alimentation électrique.

Immobilisé depuis 08H30 du matin aux environs de Massy à cause d’un «problème d’alimentation électrique dans un petit secteur», le TGV 5356 est reparti vers 14H00, a déclaré un porte-parole de la SNCF. Six autres TGV, des liaisons entre villes de province, ont essuyé des retards allant «jusqu’à une heure et demie», a-t-il ajouté.

Les passagers du train arrêté pendant plus de quatre heures se sont vu offrir «à boire et à manger» et rembourser leur billet deux fois, a souligné la SNCF.

«Juste avant Massy, le train s’est arrêté. On nous a expliqué que l’arrachage d’un caténaire» était en cause, a témoigné l’un des passagers du Lyon-Poitiers bloqué, Mehdi S., 21 ans.

«Au bout d’une heure et demie, on a pu ouvrir une porte du train. Une bonne partie du train est sortie sur un terrain vague» car il n’y avait «plus d’électricité» et «pas de climatisation» dans ce TGV, a dit ce passager parti à 06H30 de la gare de Lyon Part-Dieu. Il devait initialement arriver à Poitiers à 10H20.

Le TGV 5356/7 (Part-Dieu 6h30 - Poitiers 10h20) est arrivé à destination avec 5h45 de retard.
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 28 août 2013, 17:54

lyonmag.com, 28 août
[align=center]Les Lyonnais vont redécouvrir la Saône grâce à ses Rives[/align]
Lancé en octobre 2009, le projet Rives de Saône touche à sa fin.

Du moins en partie puisque certains tronçons sont encore en travaux du fait de la crue exceptionnelle qu’a connu la Saône cet hiver. Mais les Lyonnais pourront en profiter dès ce dimanche, avec une ouverture en grande pompe.
Gérard Collomb les a d’ores-et-déjà présentées à la presse mardi lors d’une journée visite des chantiers de la ville. Et il n’a pas caché sa satisfaction à la vue du résultat. Il est vrai que les Rives sont séduisantes et permettent de redécouvrir la rivière, comme cela l’a été avec l’aménagement des Berges du Rhône.

Mais contrairement à ces derniers, le projet Rives de Saône n’est pas uniforme mais est divisé en neuf séquences distinctes installées sur la rive gauche. L’aménagement des Rives débutent à l’écluse de Rochetaillée-sur-Saône jusqu’à Fontaines-sur-Saône, avec un parcours de quatre kilomètres. De grands espaces ont été aménagés, la berge consolidée et des plages de galets créées. Un parking a même été construit pour accueillir les promeneurs venus de plus loin. "Je crois que je vais devenir populaire à Rochetaillée", plaisante Gérard Collomb, sûr de son coup.

Des œuvres ponctuent le parcours des badauds, par ci une météorite tombée du ciel qui sert d’aire de jeu pour les enfants, par là un escalier qui ne mène à rien, mais offre un point vue sympathique sur l’écluse et le château de Rochetaillée. La fin du parcours à Fontaines-sur-Saône sera livrée en décembre 2013, les quais étant restés plusieurs mois sous l’eau.
Le parcours reprend à l’écluse de Caluire.
En effet, les rives ne sont pas aménagées entre ces deux parties. Une décision du Grand Lyon, jugeant les travaux moins urgents car ils auraient touché moins de personnes. Mais le raccordement n’est pas inimaginable et pourrait être fait à plus long terme.

A partir de Caluire, l’aménagement doit rejoindre à terme la Confluence et le théâtre de verdure, soit onze kilomètres sans interruption. Toutefois une partie du quai Gillet ne serait terminée que fin août 2014 en raison des travaux de construction du port Rambaud qui sont en cours. Idem concernant la partie allant du Grenier de l’Abondance sur le quai Saint-Vincent jusqu’à Perrache. Sa livraison complète est prévue pour la fin du mois d’octobre. Quant à la partie allant du pont Kitchener au Port Rambaud, les travaux débuteront cet automne.

Certaines parties du chantier ont été retardées en raison des inondations de cet hiver. Ce phénomène annuel est resté tabou lors de la visite. Il est clair que certaines rives seront à nouveau immergées l’hiver prochain, une période non propice aux balades bucoliques. Les Lyonnais devraient pouvoir les retrouver au printemps sans qu’elles n’aient subi de dégâts irréversibles.

La balade sera encore semée d’embuches pour celui qui comptait se balader le long des quais ce weekend. Mais les pêcheurs peuvent déjà y trouver leur compte, de nombreux pontons ont été mis en place pour les passionnés.

Le Grand Lyon avait prévenu, il ne s’agit que d’une ouverture au public pas inauguration. Pour l’occasion des festivités sont organisées de 8h à 19h ce dimanche. L’événement intitulé « Un dimanche au bord de l’eau », permettra aux Lyonnais de découvrir les lieux, mais aussi de rencontrer les artistes à l’origine des différentes œuvres ou tout simplement se balader.
A quelques mois des élections, Gérard Collomb qui s’est fait notamment élire en 2008 grâce aux Berges du Rhône, mise gros cette année sur son projet des Rives de Saône.

Source http://www.lyonmag.com/article/56717/le ... -ses-rives
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 01 sept. 2013, 20:07

lyonmag.com, 31 août
[align=center]Les rives de Saône se dévoilent aux Lyonnais à partir de dimanche[/align]
C'était l'un des projets phares du mandat de Gérard Collomb.

Après quatre ans de travaux, les Lyonnais vont avoir l'occasion de découvrir une partie du nouvel aménagement des rives de Saône. Elles seront accessibles aux piétons dès dimanche, soit 15 kilomètres entre la Confluence et l'Ile Barbe et entre Fontaines-sur-Saône et Rochetaillée-sur-Saône. Le maire de Lyon veut impressionner et a ainsi organisé l'évènement "un dimanche au bord de l'eau", de 8h à 19h. Plusieurs animations sont prévues pour permettre aux Lyonnais et riverains de prendre possession des lieux avec par exemple des activités nautiques, des randonnées, des balades urbaines, de la pêche à la ligne...

Ce projet n'est toutefois pas entièrement terminé puisque à Lyon une partie du quai Gillet ne serait terminée que fin août 2014 en raison des travaux de construction du pont Schuman qui sont en cours. Idem concernant la partie allant du Grenier de l'Abondance sur le quai Saint-Vincent jusqu'à Perrache. Sa livraison complète est prévue pour la fin du mois d'octobre. Quant à la partie allant du pont Kitchener au Port Rambaud, les travaux débuteront cet automne pour une livraison finale prévue au mois de mars 2014 qui seront aussi synonymes d'élections municipales pour Gérard Collomb.

Source http://www.lyonmag.com/article/56789/le ... e-dimanche
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 sept. 2013, 21:18

leprogres.fr, 2 septembre
[align=center]Lyon : un colis suspect à Perrache[/align]
Le trafic du métro A et des tramways T1 et T2 a partiellement été interrompu ce lundi entre 16h10 et 16h40 en raison de la présence d’un colis suspect à Perrache. 

Par précaution, un périmètre de sécurité a été mis en place et les services de police ont été dépêchés sur place. Après vérification, il s’est avéré que le colis n’était heureusement pas piégé. Selon la police, il s’agissait seulement d’un sac contenant un ballon, sans doute oublié par un voyageur. Les démineurs ne sont pas intervenus.

Durant cette interruption, les tramways ont continué à circuler partiellement sur le réseau, sans toutefois franchir le pont Gallieni. Le métro A fonctionnait normalement entre «Charpennes» et «Vaulx-en-Velin La Soie».

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/09/0 ... a-perrache
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Re: Revue de presse

Message non lupar Didier 74 » 02 sept. 2013, 21:19

Le Progrès, 2 septembre
[align=center]Le TGV Francfort-Marseille arrivé à Lyon avec trois heures de retard hier soir[/align]
Un train à grande vitesse circulant entre Francfort et Marseille s’est retrouvé longuement bloqué hier à Besançon en raison d’un incendie sur une locomotive, près de Genlis, en Côte-d’Or, qui avait nécessité une suspension partielle de l’alimentation électrique.

Cet incendie a conduit à l’interruption totale des liaisons ferroviaires entre Dijon et Besançon, le temps de l’intervention des pompiers pour maîtriser le feu qui avait pris, également, sur les talus. Le TGV Francfort-Marseille est arrivé hier soir en gare de Lyon Part-Dieu avec près de trois heures de retard sur l’horaire prévu. Un repas gratuit a été servi aux passagers, qui ont été, selon le témoignage de l’un d’entre eux, précisément informés des raisons de ce retard. Un autre TGV, le Strasbourg-Lyon, qui devait arriver en gare de Lyon Part-Dieu à 23 heures, a également été impacté par l’incendie en Côte-d’Or : il a subi une heure de retard. Aucun TGV Paris-Lyon n’a, en revanche, été touché. Un TGV Lille-Lyon est également arrivé hier soir en gare de Lyon Part-Dieu avec vingt minutes de retard, mais une porte-parole de la SNCF, jointe par notre rédaction, précise que cela « n’a rien à voir » avec ce qui s’est passé en Côte-d’Or. »

Source http://www.leprogres.fr/rhone/2013/09/0 ... -hier-soir

Le TGV 9580/1 (Francfort 14h01 - Marseille 21h46) est arrivé avec 3h15 de retard à Chalon, Lyon, Avignon TGV, Aix TGV et Marseille.

[align=center]Tout le trafic ferroviaire paralysé à cause d’un incendie de locomotive en gare de Genlis[/align]
Côte-d’Or. Tous les trains au départ de Dijon desservant l’est de la France et la Suisse, via le Jura, ont été stoppés hier durant deux heures en raison d’un feu de locomotive à Genlis.

L’alerte a été donnée ce dimanche, en fin d’après-midi. De la fumée se dégageait d’une locomotive en gare de Collonges-les-Premières, près de Genlis, en Côte-d’OR. Cet incendie a provoqué l’interruption totale des liaisons ferroviaires entre Dijon et Besançon car l’électricité a du être coupée pour permettre aux secours d’accéder au site en toute sécurité. Le TER à destination de Vallorbe, en Suisse, via le Jura et la gare de Dole, s’est ainsi retrouvé bloqué.

Cet arrêt total de la circulation a duré deux heures. À 20 heures, le trafic a pu reprendre, en partie, sur une seule voie au début. La SNCF a affrété des cars pour évacuer les passagers. Pendant ce temps, les pompiers de Genlis, Dijon et Auxonne intervenaient sur les voies, où la circulation des convois vers l’Est de la France avait été stoppée. L’intervention a duré près de deux heures car les pompiers ont eu aussi à maîtriser des départs de feu le long des voies.

Cet incident a par ailleurs directement impacté les trains qui circulaient vers l’est, mais aussi de façon indirecte les TGV Paris-Lyon dont certains ont accusé 2h30 de retard.

Source http://www.leprogres.fr/jura/2013/09/02 ... -de-genlis

ledauphine.com, 2 septembre
[align=center]Jarrie : le wagon d’un train déraille sur le site d’Arkema[/align]
Un train qui sortait de l’usine Arkema, à Jarrie, et qui transportait du chlorure de méthyle, a déraillé alors qu’il traversait la rue de l’Herbette, ouverte à la circulation, ce lundi vers 17 heures.

C’est le premier wagon, situé derrière la locomotive, qui est sorti des rails pour une raison encore indéterminée. Par chance, le wagon ne s’est pas couché et aucune substance ne s’est donc déversée sur la chaussée. L’incident -qui n’a fait aucun blessé et qui ne devrait pas avoir de conséquence sur l’environnement- a provoqué l’interruption du trafic du TER, des bus étant mis en place par la SNCF.

Les sapeurs-pompiers de la cellule mobile d’intervention chimique sont actuellement sur place et le trafic ferroviaire ne pourra être rétabli que lorsque le wagon en cause sera remis sur les rails.

Source http://www.ledauphine.com/isere-sud/201 ... e-d-arkema

Le trafic est interrompu jusqu'à mardi 3 septembre 12h.
Dernière modification par Didier 74 le 02 sept. 2013, 22:18, modifié 1 fois.

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