

un APIC m'a répondu que c'était un contrôle de "prévention" : 
frise le ridicule, quel manque de crédibilité. Déjà contrôler une rame de tramway composé de 6 portes avec 6 agents, dont 2 par portes, donc 3 accès de libre, et contrôler uniquement les gens en règle, je trouve ça très poussé. Maintenant, je pense pas que les APIC soient les premiers responsables, car ce n'est pas entièrement eux qui décident des méthodes de contrôle ni des effectifs. Faut voir la DPIC
.
a trois le matin (ne vous inquiètez pas c'est uniquement et systématiquement en fin de mois à partir du 26) alors que c'est blindé là oui ils se gênent pas car ils savent très bien que personne ne dira rien. 


tom a écrit :@sylvain et aux autres grenoblois
).


Chris a écrit :Si l'équipe d'APIC n'a pas les moyens de contrôler, alors qu'elle ne contrôle pas !
chris a écrit :Je trouve particulièrement indécent d'aller demander un titre de transport à qui que ce soit après avoir laissé descendre tous les fraudeurs. Si l'équipe d'APIC n'a pas les moyens de contrôler, alors qu'elle ne contrôle pas ! C'est justement le temps passé à ne contrôler que des personnes en règle qui est du temps perdu inutilement car totalement improductif.
Chris a écrit :- Vérification des titres à la monté par le conducteur sur les lignes de 3ème couronne, ça évitera aux APIC de perdre leur temps 2 fois par an à Cailloux ou à la Fouillouse.
par exemple ? Il récupèrerait l'équivalent d'une journée d'un conducteur avec coéfficient de conducteur/vérificateur ? Chris a écrit :- Vidéo-surveillance des portillons du métro qui permet d'intercepter immédiatement les fraudeurs sur le quai
Désolé mais tu crois sincèrement à ce que tu dis ? Tu vas payer combien de personnes derrière des écrans pour faire ça ? Vu la densité du réseau et le nombre d'accès sur le réseau métro, c'est complètement irréalisable et irréaliste, et coûterait bien trop cher à mettre en oeuvre. Puis bon c'est bien beau, mais tu n'auras jamais quelqu'un pour intervenir tout de suite sur place. A ce que je sache, on n'a pas du personnel dans toutes les stations et les APICs n'ont pas des dons de téléportation jusqu'à nouvel ordre. Donc irréalisable.Chris a écrit :- Contrôles en civil ou montée entre deux arrêts pour permettre l'effet de surprise.
- Contrôles traditionnels, en ne laissant aucun échappatoire et en faisant appel aux forces de l'ordre le cas échéant.
Mathieu38 a écrit :Ah oui j'oubliais : les APIC pourraient aussi avoir un peu d'imagination et changer de Part-Dieu Renaudel pour les 25 / 28 / 36 / 53 (dir Jet d'Eau et Lacassagne) même si l'exmeple n'est pas très bon car les bus sont souvent bien remplis mais un contrôle à PDVM lors de l'embarquement avec un APIC qui surveille les validations on gagnerait encore un peu plus de temps.
ou la
et
. A chaque ligne ses avantages et ses inconvénients. Il ne me semble pas que la vérification de titres dans des secteurs comme Cailloux sur Fontaines soit un effort considérable.
?chris a écrit :Les conducteurs sont "conducteurs-receveurs" à ce que je sache. Et la vérification des titres de transports à la montée s'inscrit parfaitement dans la fonction de receveur.
Chris a écrit :Après, je ne suis pas contre une prime de fonction pour récompenser le travail supplémentaire fourni mais dans ce cas, il faut relativiser aussi en fonction des lignes : une journée à subir les embouteillages et la clientèle sur la 28, quand bien même elle repasserait en self, ce n'est pas comparable avec une journée sur laou la
et
. A chaque ligne ses avantages et ses inconvénients. Il ne me semble pas que la vérification de titres dans des secteurs comme Cailloux sur Fontaines soit un effort considérable.
Chris a écrit :Pour ce qui est de la vidéo-surveillance des portillons au métro, on a déjà théoriquement tout ce qu'il faut : un PCC et des agents de lignes.
Bien sûr que dans un premier temps, il faudra cibler quelques stations et renforcer celles-ci d'APIC affectés. Mais je ne doute pas que le bouche à oreille va aller très vite dès lors que ça se saura que l'on ne peut plus faire de petit train au portillon sans être systématiquement intercepté.
La technique des agents de contrôle "cachés" derrière les portillons, je l'ai vue à Paris, elle est très efficace : les agents concentrent leurs efforts à verbaliser les personnes qu'ils voient frauder, pas à contrôler les gens en règle.
Chris a écrit :Il faut des moyens humains, je suis parfaitement d'accord. Mais il faut que ces moyens humains soient consacrés à des actions efficaces. Aujourd'hui, il est vrai qu'on peut voir souvent les équipes d'APIC sauf que la plupart du temps, on les voit brasser du vent... et des fraudeurs qui descendent du bus pour prendre celui d'après.
. A mon avis, d'ailleurs, ce problème dépasse même le stade de DPIC mais est plus général sur le manque d'effectif. La seule solution est l'embauche de personnel supplémentaire pour gonfler les équipes et rendre par conséquent les contrôles "plus efficaces", mais ça ça a un coût
.chris a écrit :
- Vérification des titres à la monté par le conducteur sur les lignes de 3ème couronne, ça évitera aux APIC de perdre leur temps 2 fois par an à Cailloux ou à la Fouillouse.
chris a écrit :- Vidéo-surveillance des portillons du métro qui permet d'intercepter immédiatement les fraudeurs sur le quai
chris a écrit :- Contrôles en civil ou montée entre deux arrêts pour permettre l'effet de surprise.
chris a écrit :- Contrôles traditionnels, en ne laissant aucun échappatoire et en faisant appel aux forces de l'ordre le cas échéant.
chris a écrit :Les conducteurs sont "conducteurs-receveurs" à ce que je sache. Et la vérification des titres de transports à la montée s'inscrit parfaitement dans la fonction de receveur.


chris a écrit :Des accidents du travail, il y en aura tant qu'il y aura du travail ( Comme disait Coluche, il y a bien plus d'accidents du travail que d'accidents du repos). On peut ( et on doit ) en limiter les risques.
Reste que ce métier, bien qu'ô combien utile, n'est pas bien considéré, et que les menaces de mort doivent y être très fréquentes. Quand je vois qu'un CR peut se faire traiter de "c*****d" pour avoir demandé à un gugusse de faire l'appoint (il voulait payer son TU avec un billet de 20...), j'imagine sans peine ce que peut endurer un contrôleur à longueur de journée.chris a écrit :Je ne vois pas en quoi le fait de demander à un conducteur-receveur de vérifier les titres de transports et de faire appel à du renfort ( APIC ou forces de l'odre) si nécessaire demanderait un statut particulier.
Il ne me semble pas que les conducteurs des lignes départementales qui font déjà ce boulot aient un statut spécial.
Chris a écrit :Pour ce qui est des contrôles au portillon, j'ai bien précisé qu'il fallait y aller par étapes. Dans un premier temps, on peut très bien créer un poste au PC pour ne s'occuper que de ça et cibler 2 ou 3 stations où l'on met les effectifs nécessaires pour ne rien laisser passer ( bien évidemment, sauf urgence ou gros problème prioritaire). La certitude de la sanction est la meilleure des préventions. Au fur et à mesure que la fraude va baisser dans ces stations, on redéploie ces effectifs dans les stations suivantes, l'objectif étant qu'à long terme, la fraude soit tellement marginale qu'elle puisse être traitée directement par les AL.
Bien entendu, tant que ce ne sera pas le cas, il faudra des moyens humains.
Chris a écrit :Le problème est bien plus grand que la seule fraude dans les TC mais je suis persuadé que c'est la peur d'aller au conflit quand bien même on est dans notre bon droit qui est la cause de l'engrenage d'une situation qui dérape et que l'on laisse pourrir chaque jour un peu plus encore.
Le risque zéro n'existe pas, surtout quand on fait un métier en contact avec du public et à fortiori quand il s'agit de verbaliser des contrevenants. Les agents qui postulent pour être APIC sont normalement conscients des risques liés à la fonction.
Des accidents du travail, il y en aura tant qu'il y aura du travail ( Comme disait Coluche, il y a bien plus d'accidents du travail que d'accidents du repos). On peut ( et on doit ) en limiter les risques.
Chris a écrit :--> NON = Je fais appel aux personnes capables d'intervenir et je les assiste quand elles arrivent dans la limite de mes possibilités. S'il n'y a personne pour intervenir, je préfère ne pas intervenir plutôt que de donner une image d'impuissance qui empirerait la situation.

to8d a écrit :J'ai été contrôlé dans le 103 de 17h50 vendredi dernier au niveau du pont de la Mulatière, une dizaine de contrôleurs et plusieurs policiers en armes, véhicules stationnés sur le trottoir derrière l'arrêt; ça a été long mais manifestement pas de fraudeur, hormis deux gars agités fouillés par la police.
Dire que j'ai pris cette ligne de la 6e à la terminale sans voir de contrôle, il y a un début à tout, même si le déploiement de force paraissait disproportionné (bus à moitié plein).



ElBricou a écrit :En parlant de contrôle, mon petit réseau a un forum officiel, et je viens d'y lire un message qui me fait penser qu'il y a encore du boulot... http://www.buspeps.fr/forum/viewtopic.php?t=333


totoche a écrit :Ici, c'est toujours comme ça. [...] et le conducteur ne démarre pas si quelqu'un est monté sans payer.
to8d a écrit :Réponse digne d'une hotline de cablo-opérateur

BBArchi a écrit :"cette vdm a été supprimée" ...




Ce sui est surtout drôle, c'est que je fais le même trajet tous les jours, et que j'ai été contrôlé 4 fois ce mois ci, dont une fois hier et 2 aujourd'hui... C'est un sketch, la fin du mois arrive et le quota n'est pas atteint ?
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