Tom Lyon a écrit :Alors on va arrêté de dire des conneries, d'une, lorsque l'ib se ferme, on ne passe pas un point c'est tout !
nanar a écrit :Mme MAGNIER employée au CG 69 comme chef de projet Rhonexpress avouait qu'à son
avis, le ralentissement à 20 (25) ou même 10 km/h du REX en station n'était pas un bon choix
car - en ralentissant autant - il donnait une information fausse aux piétons :
Ralentir, c'est souvent interprété comme "je vais m'arrêter".
Elle disait qu'un train qui arrive "à la vitesse d'un train" ce serait mieux perçu comme un
engin devant lequel ON NE PASSE PAS.
mathieu.38 a écrit :+1 Nanar.
Plutôt que d'utiliser leur coche à tord et à travers (sympa pour les riverains, les Citadis n'ont jamais eu besoin de gong....), l'installation d'un klaxon ne serait pas du luxe. Certes, elle est en tord car elle n'a pas respectée la signalisation mais ce n'est pas interdit de se balader avec des écouteurs sur les oreilles.Toi, tu ne vis pas le long de T3. Il faut regarder la réalité en face : les IB ne sont pas crédibles pour les piétons et les vélos, leur fermeture se fait beaucoup trop tôt.
Tom Lyon a écrit :Le Tango n'a pas de klaxon, malheureusement ...
nanar a écrit :Salut
Coincidence, ce jeudi 9 mai à la conférence Rhone Express organisée par Lyon Métro TP,
Mme MAGNIER employée au CG 69 comme chef de projet Rhonexpress avouait qu'à son
avis, le ralentissement à 20 ou même 10 km/h du REX en station n'était pas un bon choix
car - en ralentissant autant - il donnait une information fausse aux piétons :
Ralentir, c'est souvent interprété comme "je vais m'arrêter".
Elle disait qu'un train qui arrive "à la vitesse d'un train" ce serait mieux perçu comme un
engin devant lequel ON NE PASSE PAS.
D'ailleurs les trams sont assez souvent exploités ainsi dans des pays voisins qui ne les ont
jamais abandonné comme on l'a fait en France : ils vont VITE, et les gens font gaffe.
Tom Lyon a écrit :Les deux accidents récent avec un rhônexpress sont du au croisement de deux rames, les victimes se fixes sur une seule des deux, se mettent à traverser en pensant qu'elles ont le temps, et ne vois que trop tard le tramway venant dans l'autre sens.
Kethu a écrit :Pour le klaxon des Tango, j'avais entendu un agent de bord REX (je ne sais pas comment on appelle ça) qui disait que le constructeur ne voulait pas qu'ils rajoutent un klaxon pour des raisons de... jesaispastropquoi, une sorte de "garantie" je suppose (les mêmes raisons qui les ont empêchés de réaménager l'intérieur des rames pendant un certain temps). Cet agent disait qu'il trouvait cela absurde d'empêcher l'ajout d'un élément de sécurité de ce genre... Qui aurait peut-être pu avoir son utilité ici (un klaxon de tram, c'est peut-être plus audible qu'une voiture, je n'ai jamais "comparé")
CitaroG a écrit :Pour le klaxon, je trouve ça absurde sur un tram. Il y a un gong, c'est fait pour s'en servir. Personnellement, je me suis déjà fait klaxonner par un tram alors que j'étais trop près du bord des voies, mais j'ai mis un moment à comprendre que ça venait du tram. Parce que pour moi klaxon = véhicule routier, donc ça ne m'était même pas venu à l'idée que ce puisse être un tram...
Donc bon, augmenter la sécurité avec un klaxon sur les Tango, je dis bof... Et je suis totalement d'accord avec nanar, en roulant plus vite, il y aura peut-être un peu plus d'accidents au début, mais beaucoup moins sur le long terme.
nanar a écrit :Il y a peut être un moyen de limiter ce risque de ne pas faire attention au tram dans l'autre sens
(j'ai vu ça sur une photo de la stadtbahn de Cologne) :
Une barrière entre les deux voies, plus longue d'au moins 10 mètres de chaque côté qu'une rame de tram.
http://www.abracus.de/img/17/4e/10620.978x1304xin.jpeg
[align=center]Rhônexpress : perquisitions à la chambre de commerce et à l’aéroport[/align]
Nouvelle étape dans l’information judiciaire portant sur une facture de 300 000 euros qui correspondrait, selon son expéditeur, à une mission en lien avec le projet du tramway
Le dossier semblait prendre la poussière dans les bureaux du palais de justice. Et bien apparemment non… Hier matin, les perquisitions menées simultanément à l’aéroport Saint-Exupéry et à la chambre de commerce et d’industrie de Lyon vont peut-être apporter un nouveau souffle aux investigations portant sur le projet de tramway Rhônexpress, jadis baptisé Lesly.
« Les enquêteurs de la brigade financière de la police judiciaire ont récupéré les documents papiers, les fichiers serveurs en lien avec « l’affaire Gaillard » », relate un responsable de la CCI.
Depuis novembre dernier, une information judiciaire est ouverte pour « tentative d’escroquerie ». Elle vise un certain Yann Gaillard. En 2009, l’homme avait sollicité avec insistance la CCI et l’aéroport de Lyon pour se faire payer une prestation de services d’un montant de plus de 300 000 euros. La prestation, qui datait de 2007, portait sur le tracé de la ligne de tramway reliant la gare de la Part-Dieu à l’aéroport de Lyon. Dans le cadre de l’enquête d’utilité publique « sur les travaux nécessaires à la réalisation du projet Lesly », Yann Gaillard avait « à titre personnel et comme représentant de la Sarl Bedde », (un bureau d’études) plaidé en faveur d’un parcours différent du tramway que celui proposé. Ses suggestions avaient été retenues dans l’avis du commissaire enquêteur.
Affirmant que Guy Mathiolon avait été le donneur d’ordre pour ce « travail » non contractualisé, Yann Gaillard avait réclamé à la CCI de Lyon et à l’aéroport de Lyon de lui verser ses honoraires sur un compte bancaire à Bangkok.
CCI et aéroport, deux structures où Guy Mathiolon exerçait à l’époque respectivement les fonctions de président et président du conseil de surveillance. L’intéressé, de son côté, a toujours rigoureusement nié avoir mandaté « le représentant de Bedde » pour une quelconque mission. Il s’était dit « victime d’un racket » et prêt à être entendu par les enquêteurs de la Brigade financière. Les perquisitions simultanées d’hier ont pour objectif de réunir d’éventuels éléments matériels qui affirmeraient ou infirmeraient les dires de Yann Gaillard.
L’information judiciaire cantonnée jusqu’à cette semaine à la « tentative d’escroquerie » a été élargie aux qualifications « d’abus de biens sociaux, tentative de détournements de fonds publics, favoritisme et recel ». Le dossier pourrait ainsi s’étendre à d’autres cibles que Yann Gaillard.
Tom Lyon a écrit :Et puis personne n'a dit que d'écouter de la musique avec des écouteurs est interdit, par contre sa ne te donne pas "l’immunité" de traverser les voies d'un tram sans regarder ...
nanar a écrit :Salut
je ne parle pas de mettre ce dispositif aux IB des croisements à niveau de voirie automobile, mais de barrières entre les voies aux stations.
Il y en a déjà pas mal sur T3, elles mesurent entre 50 et 55 mètres (je viens de vérifier),
et la plupart du temps on pourrait les allonger de 5 mètres à chaque bout en déplaçant les
passages piétons, sans que cet allongement viennent empiéter dans les croisements automobiles.
Pour la sécurité, on pourrait me semble t'il poser de telles barrières centrales dans pas mal de stations sur T1, T2 et T4.
A+
Rhônexpress : le terminus définitif ouvre officiellement demain
La station provisoire avait été ouverte en août 2010
Depuis sa mise en service, le 9 août dernier, la ligne Rhônexpress avait pour terminus une station provisoire située sur la voie n° 6 de la gare TGV de l’aéroport Lyon Saint-Exupéry, obligeant les voyageurs à traverser toute la gare et à marcher pendant dix minutes pour rejoindre les terminaux. Cette situation était due aux difficultés de trouver une entreprise pour réaliser la station définitive. Après bien des mois de retard, cette halle, dessinée par l’architecte Santiago Calatrava, entrera en service finalement officiellement ce mardi 21 juin. Elle comporte deux ascenseurs et deux escaliers mécaniques implantés de part et d’autre de l’entrée ouest de la gare.
Rhônexpress officiellement terminé
mathieu.38 a écrit :La station est belle certes mais loin des terminaux... On n'a gagné que 200 mètres par rapport à l'ancienne station.
Tom Lyon a écrit :400m :knuppel2: ;)
[br]: Mercredi 22 Juin 2011 à 11:43:41[hr][/hr]Le Progrès, 12 juin[align=center]Saint-Exupéry : les voyageurs du Rhônexpress plus près des avions [/align]
Avant la mise en service complète de la ligne, les usagers devaient marcher 5 mn avant d’atteindre l’aéroport
éroport. Situé sous le parvis de la gare SNCF, le terminus définitif, opérationnel depuis hier, rapproche de 400 mètres les usagers des terminaux. La ligne avait été inaugurée le 9 août 2010
Le tram-train Rhônexpress qui relie la gare de la Part-Dieu à l’aéroport Saint-Exupéry avait été mis en service dans les délais le 9 août 2010. Un problème toutefois : le terminus définitif de l’aéroport ne pouvait, lui, être réalisé dans les délais. Depuis l’inauguration de la ligne, ses voyageurs descendaient donc 400 mètres environ en amont de son terminus prévu, ce qui allongeait d’environ cinq minutes, à pied, leur temps de parcours pour rejoindre les terminaux de l’aéroport. Ce trajet supplémentaire, parallèle aux lignes TGV, n’est plus nécessaire depuis hier.
Rhônexpress a désormais son terminus, abrité, éclairé, au quai doté de mobilier design et relié à l’entrée de la gare par deux ascenseurs, des escalators et des escaliers. L’ensemble a été conçu par Santiago Calatrava, architecte qui a dessiné la gare TGV. Mais pourquoi un tel retard ? Yves Périllat, président de Rhônexpress, groupement concessionnaire de la ligne (Vinci, Veolia, Caisse des dépôts), rappelle qu’à l’origine du projet, le terminus ne devait pas être enterré et être implanté sous la passerelle menant de la gare aux terminaux. L’accès était plus direct mais le commissaire enquêteur n’a pas accepté le tracé de la ligne présenté qu’à certaines conditions. Parmi celles-ci, que Rhônexpress ne coupe par la voie routière de sortie de la zone aéroportuaire. Qu’il se situe donc au niveau des voies SNCF, sous le parvis de la gare.
Conséquence : un surcoût de 7,4 millions d’euros pour le conseil général du Rhône pour acheminer les passagers d’un niveau -1 à 0, des contraintes architecturales et la nécessité de confier à la SNCF, propriétaire du terrain, la construction du terminus pour le compte du Département.
Mêlant béton et verre, esthétiquement, ce terminus, dont aucun pilier ne soutient le toit en forme de casquette, est en parfaite harmonie avec la gare. Un palier intermédiaire permet de rejoindre, par les escalators et les escaliers, le quai au parvis de la gare.
Pour les responsables de Rhônexpress, l’utilisation de ce nouveau terminus, beaucoup plus confortable et plus efficace que le provisoire, doit apporter une nouvelle dynamique à la ligne. Selon ses exploitants, elle a dépassé ses objectifs au cours de la première année. Le millionième passager était, selon les premières estimations, attendu vers le 10 août. Il montera dans Rhônexpress, d’après les prévisions, le 11 juillet. Pour son premier anniversaire, le 9 août, Rhônexpress aura transporté près de 1,1 million voyageurs.
[align=center]Les tarifs de la ligne directe menant à l’aéroport n’augmenteront pas en 2011[/align]
Le montant des tarifs de la ligne de tram-train Rhônexpress avait suscité beaucoup de protestations lors de sa mise en service, le 9 août dernier. Rappelons les principaux prix : 13 euros l’aller simple et 23 euros l’aller-retour en plein tarif, prix abaissé à respectivement 11 et 19 euros pour les 12-25 ans, gratuité pour les moins de 12 ans.
Des prix sensiblement supérieurs que ceux des cars de Satobus, supprimés simultanément. « Le service n’a rien à voir, nous garantissons le trajet en moins de 30 minutes à toute heure », s’étaient défendus les dirigeants de Rhônexpress, insistant aussi sur leur engagement et risques financiers qui épargnaient le contribuable.
Les résultats des dix premiers mois d’exploitation tendent à prouver que nombre d’utilisateurs n’ont pas été dissuadés par ce prix, puisqu’ils sont plus nombreux que ceux de Satobus. Néanmoins, Luc Borgna, directeur de Rhônexpress, a annoncé que les tarifs n’augmenteraient pas au 1 er juillet, comme une clause de révision le permettait. Par ailleurs, un forfait pour un groupe de quatre personnes se déplaçant à l’aller comme au retour un jour de week-end (vendredi au dimanche) est à l’étude.
La surprise de la fréquentation de Rhônexpress vient du fait que la ligne a plus séduit jusqu’à maintenant une clientèle loisirs qu’affaires.
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