raphbus a écrit :La desserte assurée par navette TER ( instauré en 2007 suite à la fermeture de la gare de Ternay ) reliant Communay et Ternay à la gare de Sérézin sera probablement supprimée dès 2013.
Motif : économie de la SNCF.
La réouverture de la gare de Ternay serait bien nécessaire vu le nombres d'usagers.
Vu la fréquentation des navettes, il est aberrant de supprimer un tel service !
Je la prend tout les jours et ça ne me rassure vraiment pas.
Le matin, tellement que les navettes sont pleines, il y en a une deuxième qui suit la première pour ramasser tout ceux qui ne peuvent pas monter dans celle de devant
Je pensais que l'offre serait bientôt améliorer vu augmentation de la fréquentation depuis ces 5 dernieres années.
Mais non ! j'ai appris cette nouvelle ce soir, elle m'a mis hors de moi.
Bref encore une disparition d'un service public parmi tant d'autres.
Source : chauffeur de la navette.
raphbus a écrit :Donc d'après la fiche horaires la desserte prendrait fin à partir du 6 juillet 2013.
Non c'est la fin du service hiver SNCF.
[align=center]Ligne TER Lyon-Culoz-Bellegarde-Genève : du souci à se faire à l'été 2014 ![/align]
Le comité de la ligne ferroviaire TER Lyon-Culoz-Bellegarde-Genève/Divonne s'est réuni lundi soir 19 novembre salle Viala à Bellegarde, sous la présidence de la conseillère régionale du Pays Bellegardien Yvette Brachet, en présence d'une trentaine d'usagers et de représentants d'associations d'usagers, qui profitent de cette occasion pour faire part de leurs remarques et doléances tant sur la qualité du service existant que sur les dessertes futures.
Pour exposer la situation et répondre à leurs questions, Yvette Brachet avait convié le spécialiste Région des affaires TER, Sylvain Jaussaud, la responsable de la SNCF Alpes Nord Caroline Cazalet et celle des Axes Haute-Savoie, Christine Jalicot. RFF était une fois de plus le grand absent de la réunion, son représentant étant paraît-il coincé dans les bouchons à Lyon. Sans doute aurait-il prendre dû le train ?
[...]
2014 : Bellegarde-Genève fermée 35 jours
A l'été 2014, la situation des usagers du TER Bellegarde-La Plaine-Genève va singulièrement se compliquer : la ligne va être, en effet, complètement coupée de mi-juillet à fin août, soit 35 jours, pour les travaux d'électrification en 25000 volts 50 hertz, dont cinq jours de fermeture totale de la gare de Bellegarde !
Un beau bazar en perspective, d'autant plus que les solutions routières sont limitées, les axes étant déjà saturés aux heures de pointe !
Du côté des usagers, on s'inquiète encore sur les conséquences de cette électrification (dont une partie du coût devrait être prise en charge par la contribution spécifique genevoise de 240ME selon le conseiller général Guy Larmanjat) : disposera-t-on des matériels ferroviaires adaptés pour continuer à assumer cette ligne indispensable entre Bellegarde et Genève ?
Oui, selon Sylvain Jaussaud, « dans le pire des cas, on trouvera du matériel français pour compléter le dispositif sur La Plaine » Dans la salle, M. Pélissier, interlocuteur très renseigné, rassura l'assistance en indiquant l'existence de matériel suisse spécifique, dénommé Stadler Flirt, dont une rame serait d'ores et déjà en cours d'homologation pour la France... Il n'empêche, le comité de ligne devra rester vigilant pendant cette période cruciale.
[align=center]SNCF Rhône : les TER très perturbés après l'agression d'un contrôleur[/align]
Les TER ne circulent plus entre Lyon et Saint-Étienne ce mercredi.
Un contrôleur a été agressé dans un train à Régny (Loire) mercredi, son agresseur l'a aspergé de gaz lacrymogène pendant un contrôle, il a pris la fuite et sa victime a été hospitalisée à Roanne. Les contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait. Ce mouvement social spontané entraîne de nombreuses annulations de trains, notamment des TGV pour Paris et des TER des lignes Lyon-Ambérieu et Lyon-Roanne. Les trains ne circulent plus sur la ligne Lyon - Saint-Étienne, des cars de substitution sont mis en place. Il est conseillé de se reporter au site de la SNCF pour connaître l'état du trafic.
[align=center]Le réseau TER Rhône-Alpes très perturbé après l’agression d’un contrôleur[/align]
L’agression d’un contrôleur, ce mercredi en début d’après-midi sur la ligne Roanne/Lyon peu avant la gare de Régny, occasionne de grosses perturbations du trafic TER rhônalpin. Les contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait et le trafic est notamment paralysé entre Lyon et Saint-Étienne. Certains TGV Lyon/Paris ont aussi été annulés.
La SNCF qui a envoyé 90000 sms pour alerter ses clients a mis en place un service de cars au départ des gares de Part-Dieu et Perrache à Lyon ainsi que de Saint-Étienne. Une rencontre a lieu entre la direction et les organisations syndicales.
L’agresseur a aspergé de gaz lacrymogène près du visage l’agent SNCF lors d’un contrôle. Il s’est enfui à l’arrivée du train en gare. La victime a été transportée à l’hôpital de Roanne.
[align=center]SNCF : La liaison Firminy-Saint-Etienne-Lyon sera perturbée lundi[/align]
Le train de 5h08, lundi 11 février, en partance de Firminy et en direction de Lyon ne fera pas la liaison Firminy-Saint-Etienne. En effet, dans la cadre du plan grand froid, ce train stationnera la nuit à Saint-Étienne, faute d’emplacement adéquat à Firminy.
Il fera donc simplement le trajet Saint-Etienne-Lyon au lieu de Firminy-Saint-Etienne-Lyon habituellement. Pour les mêmes raisons, le train Lyon-Firminy de 21h30 s'arrêtera à Saint-Étienne Chateaucreux et n'ira pas jusqu'à Firminy.
C’est le seul changement opéré par les services de la SNCF en prévision d’éventuelles chutes de neiges et températures particulièrement basses.
Tous les autres trains devraient circuler normalement.
Rhône-Alpes : de nouvelles rames de TER à partir de 2014
La Région Rhône-Alpes et la Banque européenne d’investissement ont signé ce vendredi à Lyon un prêt de 200 millions
d’euros destiné à financer l’achat de nouvelles rames électriques de TER.
Ces nouveaux TER à deux niveaux, d’une capacité de 350 places assises par rame, seront livrés à partir de 2014 jusqu’à
2016. Ils circuleront en priorité sur les lignes Lyon-Saint-Etienne-Firminy, Lyon-Ambérieu et Villefranche-Lyon-Vienne.
Les nouvelles rames sont actuellement construites près de Valenciennes (Nord) par la société canadienne Bombardier.
Les nouvelles rames circuleront en priorité sur les lignes Lyon-Saint-Etienne-Firminy, Lyon-Ambérieu
et Villefranche-Lyon-Vienne / Photo Bombardier
Gare Saint Paul a écrit :C'est à dire que le Safari Park se fait principalement en voiture...
Gare Saint Paul a écrit :Donc je suppose que le nombre de personnes à s'y rendre en transports en commun doit demeurer très très marginal...
Gare Saint Paul a écrit :Je ne me souviens plus de comment c'est fait, mais je crois que l'intérêt de la voiture, c'était de pouvoir traverser le parc avec un véhicule relativement discret et bas, et donc de voir les animaux s'approcher. Pas sûr que dans un gros cas, cela soit pareil. D'autant plus que la voie ne serait pas la même.
Je suis loin d'être à fond dans la voiture, mais dans ce cas précis, s'il n'y a pas de desserte en transports en commun, c'est qu'il n'y avait pas de demande !
Il y a sans doute plus urgent à faire en matière de TC : à propos des TER, c'est bien de développer l'offre, mais il faut aussi prendre en compte les besoins des gens qui n'habitent pas à une distance raisonnable des gares. Pendant longtemps, j'ai dû faire le trajet Vienne-Lyon. Dans l'idéal, je le fais en TER. Mais étant donné que je dois prendre ma voiture pour aller jusqu'à la gare de Vienne, soit je trouve une solution de stationnement raisonnable, soit je monte à Lyon en voiture. Et à ce niveau, à Vienne, la tendance est tout à empêcher de plus en plus le stationnement. Et donc, si je dois me taper 30 minutes de marche à pied pour rejoindre la gare, il est évident que je prendrais ma voiture pour aller jusqu'à Lyon.
chris a écrit :Pour se rendre au safari, il existe une navette "Péage de Roussillon- Safari de Peaugres- Annonay.
Celle-ci est assurée uniquement l'été par le réseau "le sept", réseau départemental de l'ardèche.
http://www.lesept.fr/
[align=center]Le TER Chambéry - Lyon percute une voiture à un passage à niveau[/align]
Grosse frayeur, lundi à la mi-journée pour une automobiliste à Aix les Bains.
A cause de la neige, sa voiture s'est retrouvée immobilisée sur un passage à niveau... C'est alors que le train qui reliait Chambéry à Lyon est arrivé ; la jeune femme est sortie in extremis de la voiture, emmenant avec elle son enfant, qui était dans le siège auto. Le train a littéralement détruit la voiture, mais il n'y a pas eu de blessé parmi les passagers. L'accident n'a pas entraîné de perturbations sur la ligne.
[align=center]Rhône-Alpes : la BEI finance 50% du matériel ferroviaire[/align]
Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes, et Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la Banque Européenne d’Investissement (BEI), viennent de signer un contrat de prêt pour un montant de 200 millions d’euros destiné à financer les nouvelles rames TER.
Lors de la présentation du budget, le président de Rhône-Alpes n’avait pas caché ses inquiétudes pour le financement des nouvelles rames TER, qui faisaient jusqu’à présent l’objet d’un crédit-bail. La Banque Européenne d’Investissement (BEI) a décidé de lui prêter main forte en lui apportant son concours pour un montant de 200 millions d’euros, représentant la moitié de la somme nécessaire.
40 rames Regio 2 N
Destiné à financer l’achat de 40 rames électriques Bombardier du type "Regio 2 N" d’une capacité de 400 personnes, ce prêt a été accordé pour une durée de trente ans, et offre la possibilité à la Région de pouvoir mobiliser les fonds au fur et à mesure de ses besoins, apportant ainsi plus de souplesse à l’ensemble du dispositif dans la mesure où les livraisons s’échelonneront du début de l’année prochaine jusqu’à la fin 2015. En coulisses, cette acquisition fait écho à l’appel d’offres lancé par la SNCF en 2010 auquel avaient souscrit six régions françaises. Dès leurs réceptions, les rames seront affectées sur les axes les plus lourds du réseau : Lyon-Saint-Etienne-Firminy, Lyon-Ambérier, Macon-Villefranche-sur-Saône-Vienne…
Deux milliards d'euros en vingt ans
Depuis 1997, date à laquelle la Région a décidé de relancer les réseaux TER et d’y inclure le futur réseau transfrontalier Cornavin-Eaux Vives-Annemasse, Rhône-Alpes aura engagé deux milliards d’euros pour le matériel roulant. Si sur cette intervalle, la moyenne d’âge de la "flotte" est passée de 30 ans à 15 ans, elle devrait continuer à rajeunir puisque "92% du matériel est neuf ou rénové", précise Jean-Jack Queyranne. De son côté, la fréquentation, aujourd’hui de 140000 passagers quotidiens, devrait continuer à progresser de 5% par an. Si la BEI contribue à fournir la moitié des besoins de financement du conseil régional, la question reste entière pour la seconde moitié.
[align=center]Rhône-Alpes : la BEI accorde un prêt de 200 millions pour l'achat de TER à deux étages[/align]
La région Rhône-Alpes a contracté un emprunt de 200 millions d'euros auprès de la Banque européenne d'investissement (BEI) qui sert à financer pour moitié l'acquisition de 40 nouvelles rames TER à deux étages, les Regio2N de Bombardier.
Ce prêt de 200 millions viennent couvrir pour moitié l'acquisition par la région de 40 TER Regio2N, rames électriques à deux étages construites par Bombardier qui doivent être progressivement livrées au réseau ferré rhône-alpin entre 2014 et 2016. Elles devraient être affectées sur deux lignes à fort trafic : Saint-Etienne-Lyon-Ambérieu, et Villefranche-Lyon-Vienne.
Il a été signé le 8 février 2013 Jean-Jacques Queyranne, président de la région Rhône-Alpes, et Philippe de Fontaine-Vive, vice président de la Banque européenne d'investissement (BEI qui finance à taux réduit des projets de développement au sein de l'Union européenne).
Il s'agit d'un prêt sur 30 ans (autour de 3% de taux d'intérêt), une période relativement longue sachant que généralement, les régions ont du mal à d'emprunter sur les marchés pour des périodes supérieures à 15 ans. Rhône-Alpes a la possibilité de mobiliser l'argent au fur et à mesure des livraisons de rames. Le reste de la facture, s'élevant à 400 millions d'euros, devrait être acquitté grâce à des emprunts classiques.
En 2012, les TER rhône-alpins ont transporté 140000 passagers quotidiens, sur un réseau de près de 2500 kilomètres de voies ferrées. En quinze ans, la région a déjà investi près de deux milliards d'euros dans le renouvellement du matériel ferroviaire.
[align=center]La circulation des trains interrompue depuis 9h entre Rumilly et Annecy[/align]
Ce matin, vers 9h, le personnel de la SNCF signalait qu'un arbre menaçait de s'abattre sur les rails, en gare de Rumilly. Des agents étaient alors envoyés sur place pour juger le danger et constataient effectivement qu'un cèdre de 30m de haut penchait dangereusement sous le poids de la neige.
La circulation des trains a été totalement coupée en direction d'Annecy.
La SNCF est sur les lieux et met tout en place pour dégager l'arbre et rétablir la circulation.
Ce matin, une première branche était tombée sur les caténaires, provoquant l'arrêt d'un train en gare d'Albens. après vérification, le bois de cèdre étant particulièrement cassant, une décision commune a été prise par la SNCF et la mairie, d'abattre ce splendide arbre, qui trônait sur la place de la gare, juste à côté des voies. Le trafic SNCF ne devrait donc pas être rétabli avant le début d'après-midi.
[align=center]MONTÉLIMAR Agressions à la gare : la sécurité va être renforcée[/align]
La gare de Montélimar est devenue le principal point noir de la Drôme, alors qu’à Valence la situation s’est améliorée. La direction renforce la sécurité dès aujourd’hui mais la CGT veut davantage.
à partir d’aujourd’hui, mardi, un vigile sera présent en gare de Montélimar le matin. Une des solutions trouvées pour mettre un frein aux incivilités qui y sont de plus en plus courantes. Quatre agents de la SNCF et un passager ont été victimes d’incivilités et d’agressions depuis le début de l’année.
La dernière en date, l’agression à coups de poing dont a été victime un agent d’escale dimanche dans la gare. L’auteur, un homme d’une vingtaine d’années, était lundi soir encore en garde à vue au commissariat après le double dépôt de plainte de l’agent d’escale et de la SNCF.
Un incident qui a donné lieu à l’exercice du droit de retrait par ses confrères montiliens de la SNCF. Travail qu’ils ont repris à 16 heures (sans perturbation pour le trafic) après avoir discuté du problème avec la direction départementale.
Le CHSCT enquête
« Il y a des difficultés spécifiques depuis le début de l’année à Montélimar et notre souci est d’apporter une réponse à ces problèmes récurrents » explique Christophe Cabourdin, directeur départemental Drôme-Ardèche de la SNCF. Tant et si bien que le comité local de sécurité et de prévention de la délinquance (regroupant la municipalité, la SNCF, les services de police, le médiateur…) s’est réuni le 5 février pour prendre des dispositions, dont fait partie la présence d’un vigile le matin.
Par ailleurs, une mission menée par le CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) est en cours afin d’évaluer les conditions de travail sur le site de Montélimar.
Pour le reste, polices municipale et nationale vont accroître la fréquence de leurs passages en gare, de même que la police ferroviaire dont « la présence sera massive et dissuasive en journée et le soir ».
La dissuasion est aussi le but recherché par les 17 caméras du système de vidéo-protection qui permet « d’identifier les auteurs et donc d’augmenter l’élucidation des faits », précise Christophe Cabourdin. Autant de dispositions qui avaient permis, l’an dernier à la même époque, d’enrayer une recrudescence des incivilités.
La CGT veut une antenne de la police ferroviaire
Mais les syndicats jugent ces actions insuffisantes et disent que la situation « n’est plus tenable ». « Montélimar fait partie des cinq gares les plus problématiques de la région Rhône-Alpes, derrière Lyon-Part-Dieu et Lyon-Perrache », affirme Sébastien Champion, le secrétaire du syndicat CGT cheminot de Valence. « Les agents sont victimes de rackets et de menaces à l’arme blanche. Les droits de retrait et les demandes de mutation se succèdent », ajoute-t-il en ayant également une pensée pour les usagers qui subissent aussi ce contexte.
La CGT réclame la création d’une antenne permanente de la police ferroviaire à Montélimar, comme à Valence et Avignon. « Les caméras c’est bien, considère Sébastien Champion, mais cela doit être un complément à l’humain ».
[align=center]Albens : des passagers du train en perdition[/align]
Grosse mésaventure, hier, pour les voyageurs du train Aix-les-Bains-Rumilly. Le convoi SNCF est tombé en panne en pleine voie sur la commune d’Albens, au lieu-dit Braille, pour un problème de caténaire.
Plus de 80 personnes se trouvaient à bord. 75 d’entre elles ont pu s’extraire du train par leurs propres moyens, se retrouvant les pieds dans la neige sur un talus en pente, afin de regagner la terre ferme. Mais sept passagers fragiles - dont une jeune femme enceinte et des personnes âgées - se sont trouvés dans l’incapacité de sortir seuls du train. Les pompiers ont donc été appelés à la rescousse par la SNCF.
Sous la conduite du lieutenant Pascal Calluyère, chef de groupe d’Aix-les-Bains, cinq secouristes ont dû porter les passagers hors du train, puis les acheminer en 4x4 sur le parking de la société Véolia, à proximité du lieu où le convoi s’est arrêté.
Une fois les personnes en sécurité, la SNCF a pu reprendre la commande des opérations, en affectant d’autres moyens de locomotion pour qu’elles puissent achever leur trajet...bien mal commencé.
[align=center]Inauguration du pôle d’échanges de Saint-Vallier-sur-Rhône[/align]
Dans un couloir rhodanien surchargé en matière de trafic automobile (A7 et N7), le nouveau pôle d’échanges de Saint-Vallier-sur-Rhône, inauguré le 15 février dernier, est censé proposer une alternative au transport par véhicules individuels, notamment ceux des trajets du quotidien.
Sur le chantier du pôle d’échanges de Saint-Vallier-sur-Rhône, les travaux ont porté sur l’aménagement d’un parvis intermodal, d’une gare routière, sur le réaménagement des parkings nord et sud, et de la rampe d’accès aux parkings. Menés sous la maîtrise d’ouvrage de Gares & Connexions, ces travaux ont coûté 1,21 million d’euros, financés par la Région Rhône-Alpes (39%), la SNCF (31%), le département de la Drôme (12%), la Communauté de Communes des "Deux Rives" (9%) et la commune de Saint-Vallier (9%) par le biais d’un contrat d’aménagement de gare, signé en septembre 2010.
Place à l’intermodalité
Sur ce nouveau pôle, pouvoir changer de mode de transport facilement et rapidement est désormais possible puisque les véhicules individuels disposent de 90 places de stationnement, les autocars du conseil général de la Drôme bénéficie d’une gare routière, composée de trois quais, et les deux roues d’une consigne de 48 places. Quant aux piétons ou autres modes doux, ils profitent du réaménagement du parvis ainsi que d’une ouverture dans le mur situé le long de la RN7, qui installe encore davantage la gare dans la ville.
Dynamiser le trafic
A terme, ces évolutions doivent contribuer à dynamiser un trafic qui est déjà en plein essor. Située sur l’axe Mâcon-Lyon-Valence, la desserte Ter de Saint-Vallier sur Rhône compte quotidiennement une quarantaine de trains, quatre aux heures de pointe. En 2011, la gare de Saint-Vallier sur Rhône enregistrait un trafic quotidien de 895 passagers, en progression de 15% par rapport à l’année 2010. "L’année dernière, nous avons atteint le cap des 1000 voyageurs quotidiens, et le trafic continue de croître", observe Josiane Beaud, directrice régionale de la SNCF. D’autant que d’autres travaux de voiries, dernière phase du projet, vont être réalisés prochainement.
[align=center]Rhône-Alpes. Appel à la grève dès jeudi soir des contrôleurs SNCF[/align]
Les contrôleurs SNCF de la région Rhône-Alpes sont appelés à la grève à partir de jeudi soir jusqu’à samedi midi, alors que débutent les vacances de printemps dans l’académie de Lyon. Selon la SNCF, les conséquences sur le trafic devraient être limitées
Le mouvement a été appelé par la CGT et Sud-Rail, les deux syndicats majoritaires dans la région, pour protester contre «l’interprétation de la réglementation du travail» par la direction, et les «sanctions injustifiées contre les agents qui entendent faire respecter cette réglementation et leurs droits».
Selon le syndicat Sud-Rail, ces sanctions, «pouvant aller jusqu’à la mise à pied», ont été «multipliés par quatre» ces dernières années.
Alors que les syndicats annoncent que le mouvement devrait être «fortement suivi» par les quelque 700 contrôleurs de la région, la direction n’annonce quant à elle que très peu de perturbations.
Elle table sur un trafic des TGV normal et plus de 3 TER sur 4 en circulation.
[align=center]Aubenas / Privas : un bus en feu au col de l'Escrinet[/align]
Le bus a pris feu alors qu'il circulait entre Aubenas et Privas. Il n'y a pas de victime. La circulation est rétablie en alternance.
16 heures : La route du col de l'Escrinet a été rouverte à la circulation il y a plusieurs minutes.
15h17 : La circulation a été rétablie en alternance. Le chauffeur et les sept passagers sont indemnes. Le bus est un TER de la SNCF appartenant à la société Kéolis. Il faisait le trajet Aubenas/Gare Valence TGV.
Alors qu'il circulait entre Aubenas et Privas, un bus a pris feu pour une raison inconnue, dans le col de l'Escrinet. Des passagers se trouvaient à bord, mais tout le monde a pu descendre à temps. Il n'y a pas de victime. Les secours sont sur place et pour l'heure, la route du col de l'Escrinet est fermée dans les deux sens.
[align=center]Le mouvement de grève des contrôleurs SNCF suivi en Haute-Savoie[/align]
Les contrôleurs de Rhône-Alpes sont en grève depuis le jeudi 18 avril au soir et jusqu'à samedi midi. Les conséquences sont globalement limitées mais, à Annemasse, le mouvement est assez suivi. Agressions, insultes ou incivilités, les contrôleurs dénoncent un climat d'insécurité.
Officiellement, le mouvement appelé par la CGT et Sud-Rail, entend s'opposer à "l'interprétation de la réglementation du travail" par la direction, et aux "sanctions injustifiées contre les agents qui entendent faire respecter cette réglementation et leurs droits".
Officieusement, c'est une fois encore le climat d'insécurité dans les trains qui est mis en avant comme nous avons pu le constater à Annemasse.
Alors que les syndicats annoncent un mouvement "fortement suivi" par les quelque 700 contrôleurs de la région, la direction n'annonce quant à elle très peu de perturbations. Elle table sur un trafic des TGV normal et plus de 3 TER sur 4 en circulation.
[align=center]SNCF : circulation des trains normale ce samedi matin[/align]
Non, la grève des contrôleurs des établissements de Chambéry et de Lyon ne devrait pas affecter la circulation des TER sur l’étoile stéphanoise ce samedi.
Voilà les supporters de l’ASSE, qui pour beaucoup prennent les lignes régulières pour Paris ce samedi matin, rassurés ! Par contre aujourd’hui vendredi, le mouvement a eu un impact dans la Loire, avec, quatre trains supprimés la seule ligne Saint-Etienne-Part Dieu entre 8h30 et 12h15 et cinq entre 17h30 et 20h45.
Sur la destination Perrache, un service de cars a été mis en place depuis Givors. Les TGV n’ont pas été impactés.
[align=center]Grève SNCF : un TER sur trois aujourd'hui, ça s'arrange samedi[/align]
D’après la SNCF, le trafic devrait retrouver un aspect habituel ce samedi après les perturbations survenues ce vendredi pour cause de préavis de grève.
Si les TGV n’ont pas été touchés, la direction Rhône-Alpes de la SNCF annonçait un trafic de trois TER sur quatre. La ligne Lyon/Saint-Etienne aurait en fait été plus touchée.
Par contre, pour ce samedi, les seules perturbations annoncées par la SNCF sont la suppression en matinée de trois Lyon/Mâcon, de deux Lyon/Villefranche et d’un Bourgoin/Grenoble.
Le préavis de grève, déposé par la CGT et Sud rail, courent jusqu’à samedi midi.
Didier 74 a écrit :...Le choix de supprimer les trains sur tout le parcours est pour le moins étrange, puisque que les travaux se situent à Clermont.
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