petitours a écrit :le critère 4 roues motrices ne semble pas le plus pertinent (même si à poids et puissance égale, aucun véhicule à 4 roues motrices ne consomme moins que son homologue traction ou propulsion.
[align=center]Pollution de l’air dans le Grand Lyon : la Zapa enterrée, un nouveau plan d’urgence proposé[/align]
"Un projet socialement injuste et écologiquement inefficace" : ce pourrait être l’épitaphe apposé sur la tombe où repose désormais le projet de Zapa.
Ces fameuses Zones d’actions prioritaires pour l’air, initiées sous le mandat de Nicolas Sarkozy, devaient contribuer à la lutte contre la pollution de l’atmosphère (notamment la pollution aux particules fines en hiver), en interdisant tout bonnement l’accès des centres-villes aux véhicules jugés trop polluants. Elles ont été enterrées officiellement le mercredi 6 février par la ministre de l’Ecologie Delphine Batho.
"Le bal des faux-culs"
Celle-ci s’exprimait en préambule d’une nouvelle réunion du Comité interministériel de la qualité de l’air (CIQA). Parmi les participants à ce grand raout, le vice-président du Grand Lyon en charge du Développement durable Michel Reppelin, et le président de l’agence Air Rhône-Alpes, Jean-Marc Uhry. Une semaine plus tard, tous deux portent encore le deuil des Zapa : "On s’était portés volontaires pour mettre en place cette Zapa sur le territoire du Grand Lyon, explique Michel Reppelin. On s’est beaucoup impliqués pendant deux ans. On attendait simplement que l’Etat nous dise par quels moyens on allait, par exemple, surveiller l’entrée des véhicules dans le centre-ville, qui allait contrôler… On avait même exprimé l’idée de relancer la prime à la casse, pour inciter au remplacement des vieux véhicules. Mais on n’a eu aucun élément de réponse du ministère". Injustes socialement, les Zapa ? Jean-Marc Uhry réfute l’argument : "Les parkings en ville sont de plus en plus chers, et à ce que je sais, on ne se préoccupe pas tellement dans ce cas du pouvoir d’achat des plus modestes. C’est le bal des faux-culs. De plus, ce sont les plus pauvres qui sont les plus exposés aux dangers de cette pollution atmosphérique, ceux qui habitent le long de la rocade ou près des grands axes de circulation. Lutter contre cela, c’est tout sauf anti-social".
Quatre Grands Lyonnais sur dix sont exposés
Les Zapa sont donc définitivement mises au placard. A la place, le CIQA a enfanté un "plan d’urgence pour la qualité de l’air". En effet, la situation est urgente : en 2011, ce sont 227000 habitants du Grand Lyon (soit 40% de la population) qui ont été soumis à des niveaux de pollution aux particules fines supérieurs aux normes voulues par l’Union européenne. Pour Bruxelles, le seuil réglementaire ne peut être dépassé que 35 jours par an. A la station de mesure de La Mulatière, en 2011, ce seuil limite a été franchi à… 93 reprises. Un record en Rhône-Alpes. En France, les particules fines engendrent 42000 décès prématurés chaque année.
Plus encore que le non-respect des normes européennes, Bruxelles reproche à Paris un certain laxisme. Un premier plan d’action, présenté en 2010, n’a pas été jugé assez efficace. Conséquence : la France pourrait devoir payer une amende d’au moins 11 millions d’euros, ainsi que des astreintes journalières (au moins 240000 euros par jour), jusqu’à ce que des mesures "efficaces" soient prises dans les 15 bassins de population concernés. En sortant la calculette, on aboutit à une somme rondelette de 100 millions d’euros à régler dès 2014, et qui pourrait être suivie d’autres pénalités financières de 85 millions d’euros les années suivantes. Une chose est sûre : la facture acquittée par l’Etat ne sera pas répercutée sur les collectivités locales - la ministre l’a promis.
"Les effets du plan ne se feront ressentir que dans dix ans"
Alors, quelles sont ces mesures "d’urgence" que prépare le gouvernement pour remédier à cette situation ? A priori, les 38 pistes évoquées dans le plan n’ont rien de révolutionnaire. "Il y a toute une série de mesures qui, prises individuellement, sont pertinentes, estime Jean-Marc Uhry. Par exemple, celles concernant le chauffage au bois individuel, qui, lorsqu’il est ancien et fonctionne mal, est la première cause de pollution aux particules fines. Mais dans l’ensemble, ces mesures sont encore trop générales. On ne sait pas trop comment elles vont se concrétiser, ni quels seront les moyens engagés. On n’a pas eu de plan d’action présenté, plutôt des intentions". D’autre part, "comme il s’agit d un plan national, il est composé de beaucoup de choses qui ont déjà été mises en œuvre par le Grand Lyon", explique Michel Reppelin. Limitations de vitesse, covoiturage, transports alternatifs, développement du vélo… : rien de (très) nouveau sous le soleil. Surtout, "les effets positifs liés à ces mesures ne se feront ressentir que dans 10 ou 20 ans, pointe Jean-Marc Uhry. Le plan ne répond pas au problème aigu de la pollution de l’air et aux directives européennes. Je serais étonné que l’Europe s’en satisfasse".
Ironie du sort, une version "light" de la Zapa est proposée par ce plan : il s’agirait d’identifier les véhicules "vertueux", peu polluants, au moyen d’un signe distinctif (une nouvelle pastille verte ?), et, en cas d’épisode de pollution, de limiter la pollution à ces seuls véhicules. "Sauf qu’on ne sait toujours pas qui va contrôler les voitures, les arrêter en cas d’infraction…", peste Michel Reppelin. De nouvelles réunions du CIQA sont prévues en mars et en juin, afin de concrétiser ce plan en textes de lois et de décrets.
La qualité de l’air, préoccupation majeure des Grands Lyonnais
A l’échelle du département, un Plan de protection de l’atmosphère (PPA), dont la première mouture date de 2010, est actuellement en cours de réécriture, sous la houlette du préfet. Il sera soumis à une enquête publique avant l’été, pour être voté au Grand Lyon à l’automne. Pas assez rapide ? "On va le plus vite possible lorsqu’on nous donne les moyens d’agir, se défend Michel Reppelin. L’air, c’est la responsabilité de l’Etat, quelle que soit sa couleur politique". Reste que le sujet risque d’être brûlant, lorsque la campagne des municipales débutera : d’après une enquête de la communauté d’agglomération, la qualité de l’air est la principale préoccupation de 66% des habitants. L’environnement, otage de la politique ? "Le PPA transcende les clivages, proclame Michel Reppelin. Il ne sera pas mis à la poubelle en cas d’alternance politique. Ce serait dommage qu’on en vienne à des querelles politiciennes sur ce sujet-là".
BBArchi a écrit :Par contre, il n'existe pas à ma connaissance, de filtres à particules sur les chaudières au fuel.
[align=center]Delphine Batho enterre définitivement à Lyon les ZAPA[/align]
Le dispositif imaginé par le précédent gouvernement visait à interdire l'accès au centre de l'agglomération aux véhicules les plus polluants. L'actuelle ministre n'en veut pas, explorant des pistes moins radicales.
"J'ai annoncé déjà un certain nombre de mesures contre la pollution de l'air, on y travaille dans le cadre du comité interministériel qualité de l'air", a indiqué Delphine Batho, en déplacement à Lyon ce mardi. Elle inaugurait le salon des énergies renouvelables, en sa qualité de ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
ZAPA : une mesure socialement difficile
A Lyon, 42% des habitants en centre-ville ou à proximité du périphérique, respirent un air vicié. En cause, la concentration en dioxyde d'azote, qui dépasse les valeurs limite. L’État se penche sur le problème au sein d'un comité interministériel qualité de l'air, depuis que la ministre a définitivement enterré le projet de ZAPA (Zones d'actions prioritaires pour l'air). Imaginé par le précédent gouvernement, le dispositif visait à limiter l'accès aux centre-villes aux véhicules les plus polluants, en particulier les diesels de plus de 7 ans. Lyon devait d'ailleurs figurer parmi les villes-test, mais le procédé a finalement été jugé trop inégalitaire socialement, les véhicules polluants appartenant souvent aux plus modestes.
Delphine Batho a avancé d'autres pistes, mais qui restent encore floues. Parmi elles, "des mesures d'ordre public environnemental qui s'appliqueront pour réduire la vitesse ou en cas de pics de pollution. Et puis il y a un travail, effectivement, sur la mobilité durable qui doit aussi engager les collectivités territoriales".
La politique anti-pollution semble demander l'implication, au niveau local, des collectivités territoriales. Comme pour le système ZAPA, c'est un combat décentralisé qui s'annonce contre la pollution. "Il y a une responsabilité de l’État, il y a aussi une responsabilité des collectivités territoriales. Donc on travaille ensemble, dans le cadre du comité interministériel qualité de l'air. Elles souhaitent prendre des compétences nouvelles dans ce domaine, et je pense qu'il faut le leur permettre", conclut-elle.
ENVIRONNEMENT - Le président de la région Ile-de-France et le ministre de l'Ecologie ont décrété cette mesure ce jeudi après-midi pour lutter contre la pollution...
Aux grands maux, les grands moyens. Le président de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon et le ministre de l’Ecologie Philppe Martin ont annoncé ce jeudi que l’ensemble des transports en commun franciliens seront gratuits à partir de vendredi et pour les trois prochains jours en raison de l’épisode de pollution qui touche la région.
Bientôt la circulation alternée?
«Considérant les risques importants pour la santé des Franciliens, j’ai décidé, en lien avec le gouvernement, d’assurer la gratuité des transports publics dans toute la région pendant toute la durée du pic de pollution», explique Jean-Paul Huchon, président PS du Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif). «Si le pic de pollution devait perdurer, le préfet devra au plus tôt mettre en place la circulation alternée en Ile-de-France comme prévue par les textes», ajoute Pierre Serne, vice-président EELV du Stif.
Christophe Najdovski, candidat EELV à la Mairie de Paris, qui a interpellé mercredi le ministre de l’Interieur pour que l’Etat réagisse face à cette situation «dramatique», a regretté «d'avoir attendu le 8e jour de pollution pour que cette mesure soit enfin mise en oeuvre».
Nouvel épisode de pollution attendu
Et il ne faurda pas compter sur une amélioration naturelle de la situation vendredi car Airparif annonce que le seuil d'alerte sera de nouveau dépassé sur la région.
Attention, niveaux de Particules soutenus dans l'air prevus pour demain en Ile-de-France ! http://t.co/ZwIP0nQ3t0
— Airparif (@Airparif) March 13, 2014
Une situation alarmante pour Alain Chabrolle, président l’association Air Rhône Alpes. «En France, 42.000 personnes décèdent prématurément chaque année après avoir été exposées aux particules fines, sans compter celles qui développent des maladies chroniques, comme l’asthme, se désole-t-il. L’impact sanitaire est vraiment important, mais des solutions existent pour améliorer les choses.»
Autolib et Vélib' de nouveaux gratuits à Paris
Face à cette situation, la Mairie de Paris a réagi de son côté en annonçant qu’elle maintenait les mesures mises en place mercredi comme la gratuité des locations Velib’ de courte durée pour toute l’Ile-de-France et de la première heure de transport en Autolib. Une mesure qui a rencontré au passage un important succès puisqu’une augmentation de 46% des parcours réalisés en Autolib et de 72% du nombre de locations de Velib a été constatée par rapport à jeudi dernier.
La Ville prolonge aussi la gratuité du stationnement résidentiel dans la capitale et le maintien de l’arrêt de l’utilisation de tous les véhicules municipaux qui ne sont pas strictement indispensables. Par ailleurs, les activités sportives des enfants organisées dans le cadre des ateliers bleus ou des activités péris-scolaires du vendredi se dérouleront toutes dans des lieux fermés (gymnases ou préau),
Dans le même temps, les mesures appliquées ce jeudi par la Préfecture de police de Paris, diminution des vitesses maximales à 110 km/h sur l’autoroute et à 60km/h sur le périphérique, réduction de la circulation de transit des poids lourds...) sont reconduites.
Contre la pollution, Lyon met le petit braquet
Catherine COROLLER De notre correspondante à Lyon 13 mars 2014 à 20:36
Pour diminuer la pollution de l'air, le maire propose pour seule mesure une heure gratuite de vélo en libre-service.
Les Lyonnais moins courageux que les Parisiens en matière de lutte contre la pollution ? Tandis que le président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, à la tête de l’autorité organisatrice des transports dans la région - le Stif -, a décrété que les transports en commun d’Ile-de-France seraient gratuits«pendant toute la durée de l’épisode de pollution», son homologue lyonnais, le Sytral n’envisage rien de tel.
Autre différence en faveur de Paris, alors que Bertrand Delanoë, le maire de Paris, a décidé que les vélos en libre service Vélib' pourraient être utilisés gratuitement pendant la même période, que les abonnés au système Autolib' bénéficieraient d’une heure de gratuité et que le stationnement résidentiel serait gratuit, Gérard Collomb, le président du Grand Lyon propose généreusement une heure de Vélo’v gratuite au lieu d’une demi-heure en temps normal.
«Cette décision "gadget" va à l’encontre des politiques de santé publique, alors que la communauté médicale conseille aux habitants, et notamment les plus faibles, de limiter tout effort physique», a aussitôt commenté, Christophe Geourjon, candidat UDI sur les listes de l’UMP Michel Havard à l’élection municipale. «La seule solution viable est la gratuité totale des transports en communs, pour les nouveaux usagers, les jours d’alerte à la pollution aux particules fines afin de les inciter à prendre les TCL (transports en commun lyonnais, ndlr) plutôt que leur voiture», poursuit le centriste.
Dans son programme, Gérard Collomb propose la gratuité des transports en cas d’épisode de pollution. S’il est réélu, et qu’il tient sa promesse, cette mesure entrera peut-être en vigueur lors du prochain pic. Cet épisode est le cinquième que connaît la région depuis le début de l’année, le deuxième pour le Grand Lyon. Ce jeudi, la préfecture du Rhône a déclenché une alerte de niveau 1 mais prévoit qu'elle pourrait passer au niveau 2 vendredi.
POLLUTION - Les transports en commun sont gratuits à Paris, Caen, Rouen, Grenoble et Reims…
Plus de trente départements étaient touchés jeudi par des alertes maximales à la pollution aux particules, conduisant les autorités à prendre des mesures d'urgence, comme la gratuité des transports en commun en Ile-de-France mais aussi à Caen, Rouen, à Grenoble et à Reims.
La qualité de l'air est «une urgence et une priorité pour le gouvernement», a assuré le ministre de l'Ecologie Philippe Martin, alors que la France connaît un épisode particulièrement aigu de pollution de l'air. «Les transports franciliens seront gratuits de vendredi matin à dimanche soir», a-t-il déclaré à la presse, au troisième jour de dépassement du seuil d'alerte en région parisienne. Le président PS de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, à la tête de l'autorité organisatrice des transports dans la région, le STIF, a précisé que cette gratuité, valable à partir de 05h30 vendredi, serait assurée «pendant toute la durée du pic de pollution». Il n'y aura toutefois pas de réduction sur les cartes d'abonnement hebdomadaires ou mensuelles.
Niveau d’alerte dépassé jeudi dans plus de 30 départements
Les transports seront également gratuits pendant trois jours dans l'agglomération de Caen et de Rouen, et ce vendredi à Reims pour inciter les habitants à laisser leur voiture au garage, ont décidé les autorités locales. Le niveau d'alerte était dépassé jeudi dans plus de 30 départements: en Bretagne, Haute-Normandie, Calvados et Manche, dans une partie de Poitou-Charentes (Deux-Sèvres, Charente-Maritime), dans la majorité de la région Centre (Eure-et-Loir, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher et le Loiret) mais aussi dans le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie, la Marne, l'Ile-de-France, la région Rhône-Alpes et le Vaucluse.
Cet épisode de pollution aux PM10 (particules inférieures à 10 micromètres), poussières de compositions diverses (chauffage au bois et au fioul, industrie, moteurs surtout diesel en ville), est favorisé par des conditions anticycloniques et des nuits froides suivies de journées bien plus chaudes, ne permettant pas la dispersion des polluants. Le niveau d'alerte est déclenché à partir d'une concentration moyenne quotidienne de PM10 de 80 microgrammes de particules par m3 d'air. Le seuil d'information, atteint à partir de 50 microgrammes par m3, a été dépassé dans une vingtaine d'autres départements.
Différentes mesures dans différentes régions
Philippe Martin a rappelé que différentes mesures antipollution étaient prises dans différentes régions: réduction de la vitesse sur certains axes, détournement de poids-lourds, restriction d'activité industrielle, gratuité limitée des Vélib' et Autolib' à Paris et interdiction de feux de cheminées. Les réductions de vitesse ont un effet «assez modeste», a toutefois souligné Gilles Aymoz, responsable qualité de l'air à l'Ademe. En Ile-de-France, le seuil d'alerte devrait encore être dépassé vendredi, pour un quatrième jour consécutif, selon l'association Airparif, ce qui rapprocherait l'épisode actuel du fort pic observé en décembre (six jours d'alerte).
L'opération gratuité des transports en Ile-de-France, décrétée pour lutter contre la pollution aux particules, déclenche tout un processus millimétré à la RATP.
Les transports en Ile-de-France seront donc gratuits de vendredi matin à dimanche soir, pour inciter les Franciliens à lâcher leur voiture et ainsi lutter contre la pollution aux particules. Cette décision du Stif, le Syndicat des transports d’Ile-de-France piloté par la région, doit être mise en œuvre par les exploitants, RATP et SNCF en tête. Mais comment font-ils pour désactiver les milliers de portiques, portes-guillotines et autres pièges à fraudeurs ?
A la RATP, la désactivation se fait au niveau de chacune des 302 stations de métro, grâce à un bouton présent dans le poste dit «de recettes» − le bureau principal, où sont vendus les tickets et pass Navigo. «Les agents appuieront sur ce bouton dès l’ouverture des lignes vendredi matin», précise un porte-parole de l’entreprise.
Afflux de passagers
Reste pour la régie à gérer un éventuel afflux de passagers supplémentaires − c’est bien le but avec cette opération. Ça tombe bien : tous les agents habituellement préposés à la vente ou au contrôle des billets n’auront plus rien à faire. Ils seront donc réaffectés à l’information des voyageurs et à la «canalisation des flux».
Côté trafic, l’offre sera renforcée sur les lignes 1 et 14, qui sont automatiques. Pour les autres lignes, quelques trains longs viendront remplacer des trains courts. Et les conducteurs de «réserve», toujours disponibles en cas de maladie ou de retard, seront mobilisés pour ajouter des métros si le besoin se fait sentir.
A la SNCF, où le Transilien et les RER sont évidemment concernés, le dispositif est à peu près similaire. Dans chaque gare, dès cette nuit, les agents vont déverrouiller tourniquets et portes coulissantes. Il n’y aura pas de trains supplémentaires vendredi car «nous sommes déjà au taquet, on ne peut pas en mettre plus», explique Ghislaine Collinet, porte-parole du réseau Transilien et RER. Ce week-end, en revanche, de nombreux trains prévus en «unité simple» seront mis en «unité double», ce qui signifie tout simplement que leur capacité est doublée pour encaisser une éventuelle hausse de trafic.
Florent LATRIVE
Patafix a écrit :Salut,
Vu à l'avant des bus ce jour une petite pancarte du meme format que pour les lignes affrêtés et au même endroit (sur le tableau de bord contre le pare brise) avec la mention "Pic de pollution réseau TCL Gratuit"
Revenir à « Le forum de Lyon en Lignes »
Utilisateurs parcourant ce forum : Ahrefs [Bot] et 47 invités