nanar a écrit :Non les pays où ça ne se fait pas sont une minorité, ce sont en gros ceux qui ont donné une primauté de fait et de droit à la voiture devenue très commune, et qui sont de "culture anglo /saxonne ou proche".
Quand un de ces 2 éléments n'y est pas, les piétons ne sont pas trop conditionnés à attendre qu'un petit bonhomme ou feu vert s'allume pour se permettre de traverser une chaussée, y compris très connement quand celle ci est vide d'engins à roues et moteur.
amaury a écrit :C'est là-dessus qu'on ne peut pas être d'accord. Refuser des règles parce que certains vont plus loin que ce qu'elles permettent, c'est comme dire à son enfant qu'on lui interdit de sortir parce que si on lui donne la permission de minuit, on est convaincu qu'il va rentrer à 2h du mat' ! Et du coup, il fait le mur...Est-ce qu'il ne vaut mieux pas le sanctionner uniquement s'il ne respecte pas la permission de minuit ?!
xouxo a écrit :Je me permettrait de rappeler qu'a l'inverse la priorité des piétons aux passage piétons sans feux est très peu respecté par les automobilistes.
phili_b a écrit :Je ne vois pas le rapport. Aucun problème d'autoriser des usages s'ils sont valables,mais s'ils ne le sont pas, non merci.
Didier Raoult dans Le Point du 27 janvier 2015 cité par Olivier Razemon - http://transports.blog.lemonde.fr/2015/ ... e-du-velo/ a écrit :En un mois, le vélo aura tué en France (continentale), plus que la crise de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola, le bioterrorisme, le Chikungunya, le Sras et le coronavirus du Moyen-Orient en 20 ans. La mortalité en bicyclette représente plus du quart de celle par homicide! Le vélo est de loin le moyen de transport au kilomètre le plus dangereux.
Soirée Discussion avec Olivier Razemon autour de son livre
"Le pouvoir de la pédale, Comment le vélo transforme nos sociétés cabossées"
éditions Rue de l’Échiquier, 2014
le mardi 24 février 2015 à 20h30
à la Maison des Associations de Grenoble, 6 rue Berthe de Boissieux
Transports. Vélos et piétons : la guerre des trottoirs à Lyon ?
Sécurité. L’association « Les droits du piéton » veille au grain des trottoirs, craignant la création de « zones mixtes piétons/vélos » imaginée par le Conseil national de sécurité routière. L’occasion de regarder au ras du bitume ce qui s’y roule…
Zone mixte
Faire marcher les piétons au milieu des vélos, sans délimitation au sol des flux ? L’association « Les droits du piéton », craint des expérimentations à la suite d’une recommandation du Conseil national de sécurité routière, dont le but est de faire diminuer la mortalité cycliste. Pas de risque pour la présidente de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB).
« Il s’agit de trouver des solutions pour les piétons et les cyclistes sur des espaces particuliers tels que tunnels, ponts, zones artisanales, entrées/sorties d’agglo ou le long des charmantes bretelles d’autoroutes. Bref, là où il y a peu de piétons, peu de cyclistes mais beaucoup de voitures et surtout de camions sur la chaussée », poursuit Geneviève Laferrère.
Toujours plus de vélos
Depuis 2001, le trafic vélos a augmenté à Lyon de 400 % , et de 21 %, rien qu’entre 2013 et 2014. La communauté urbaine de Lyon n’est pas restée les bras ballants, construisant pistes et bandes cyclables pour accueillir les petites reines ( 175 km aujourd’hui à Lyon). En l’absence d’aménagements, le vélocipède préfère de loin voyager à côté des piétons que… des voitures. Il quitte alors la chaussée de tous les dangers pour les trottoirs. Quand en a-t-il le droit ?
Enfants à vélos, rollers, trottinettes…
Seuls les enfants de moins de huit ans peuvent rouler sur les trottoirs à condition de « conserver l’allure au pas » et « ne pas gêner les piétons ». Le « pas » ? Environ 6km/h. Aucune réglementation, en revanche pour les rollers, trottinettes et autres patins et planches à roulettes. Assimilés par l’administration à des piétons, ils doivent donc emprunter le trottoir (sauf arrêté municipal contraire) mais respecter une règle de prudence au risque d’encourir des poursuites (mise en danger de la vie d’autrui).
Rues piétonnes
Les vélos peuvent y rouler, sauf arrêté contraire du maire, à la condition de conserver l ’allure du pas et de ne pas occasionner de gêne aux piétons.
Pistes cyclables sur trottoirs
Le code de la Route ne prévoit l’existence de ces aménagements que sur la chaussée, « partie de la route normalement utilisée pour la circulation des véhicules ». Et sur les trottoirs ? La ville de Lyon, via des arrêtés municipaux (métropolitains depuis le 1er janvier) affecte le ruban de trottoir en « chaussée cyclable ».
Quoi que vos yeux vous disent, le trottoir n’est donc plus un trottoir ! Gilles Vesco, élu (apparenté PS) en charge des « nouvelles mobilités » à la Métropole, explique limiter au maximum la chose, l’idée étant de « créer les aménagements cyclistes au détriment de la voiture et pas du piéton ».
Selon Caroline Chamard-Heim, professeur spécialiste en domanialité publique (Lyon 3), le « trottoir ne doit pas être entendu comme étant exclusivement utilisé par les piétons. Comme il y a des bateaux ou encore des places de stationnement installées sur le trottoir, les pistes et bandes cyclables peuvent parfaitement être mises sur le trottoir à charge de laisser un espace suffisant aux piétons, permettant de garantir leur sécurité. »
Une dimension minimale de 1,40 m pour le cheminement piétonnier est par ailleurs requise par les textes. Reste que la loi n’impose pas de séparateurs en relief entre les flux piétons et vélos, ce qui peut être dangereux pour les malvoyants. De multiples associations réclament une réglementation en la matière.
Peu de verbalisations
Les vélos, on en voit aussi sur les (vrais) trottoirs… Combien ? Ils sont légion dans certaines portions de la ville peu équipées en pistes sécurisées. Et la verbalisation (90 €) ? En 2014, la ville a épinglé 191 cyclistes dans la catégorie « circulation en sens interdit et sur trottoirs ». Une paille au regard de la pratique quotidienne.
Voudrait-on ne point trop décourager la gente cycliste ? Jean-Yves Sécheresse, adjoint (PS) à la Sécurité reconnaît que « verbaliser les vélos sur les trottoirs n’est pas une action prioritaire de la police municipale » sauf « dans le cas de secteurs à risque , notamment les trottoirs étroits, type la montée Saint-Sébastien (Lyon 1er) ».
Fédération de cyclotourisme : « Il faut des règles précises »
Les pistes et bandes cyclables sur les trottoirs ? « Aucun décret, ni circulaire ne régit ce type d’aménagement qui est né de la réflexion de quelques aménageurs, coincés entre les consignes ou obligation de réaliser des aménagements cyclables et la réalité du terrain (manque d’emprise ou aspect financier) », analyse Jacques Fourna, délégué à la sécurité routière pour la Fédération française de cyclotourisme.
« Nous ne sommes pas contre, a priori, pour certaines applications dans certaines zones “difficiles” mais encore faut-il que ce type d’aménagement soit reconnu légalement et surtout suivant des règles précises. »
Sophie Majou
amaury a écrit :Ce lien présente l'intérêt de dire le nombre de piétons tués par des vélos : un en 2013 et 2 en 2012. C'est trop.
VELOS Cette nouvelle signalisation a été déployée sur 47 carrefours...
Lyon: Des «tourne-à-droite» pour les cyclistes
Une petite révolution pour les adeptes de la bicyclette. On les appelle les «tourne-à droite». Ce sont des panneaux qui permettent aux cyclistes de griller allégrement les feux rouges sans pour autant devenir de véritables dangers publics, susceptibles de mettre les nerfs des automobilistes et des piétons à rude épreuve.
Car ce système les autorise à tourner à droite à une intersection ou à tracer leur route sans s’arrêter, à condition de vérifier au préalable qu’il n’y a aucun danger. En résumé, il s’agit un peu du même principe qu’un cédez le passage.
Faire descendre les vélos des trottoirs
Les premiers panonceaux du genre viennent d’être installés dans les rues de Lyon. 47 carrefours sont déjà équipés. L’objectif de cette nouvelle signalisation est avant tout d’améliorer la sécurité des cyclistes en dissociant le démarrage des voitures et des camions (qui ont d’importants angles morts) du leur. Mais pas seulement.
«Il permet également de faire descendre les vélos des trottoirs», poursuit Gilles Vesco en charge des nouvelles mobilités à la Métropole. Pour Alain Giordano, adjoint au maire, délégué aux nouveaux modes de vies urbains et à la qualité de l’environnement, ce système devrait inciter plus de citoyens à enfourcher leur bicyclette, «un mode de déplacement économique, écologique et bon pour la santé.»
La France en retard
Les tourne-à-droite ont déjà fait leur preuve depuis plusieurs décennies en Europe. L’Allemagne a été le premier pays à les tester, suivie des Pays-Bas qui sont équipés depuis… les années 90 ! En France, les villes de Strasbourg, Rennes et Nantes ont été précurseurs puisqu'elles ont montré la voie en 2008. Trois villes où la mise en place de ce dispositif n'a été accompagnée d'aucun accident.
TRANSPORTS Selon une étude réalisée par OpinionWay pour MMA, les cyclistes de l'agglomération lyonnaise seraient moins prudents que l'ensemble des autres cyclistes français...
Lyon: Les cyclistes sont-ils des dangers publics?
«La rue est à eux». Quand on lui parle du comportement des cyclistes en ville, Bertrand ne mâche pas ses mots. Selon une étude réalisée par OpinionWay pour MMA, Lyon est considérée comme l'une des agglomérations où les vélos seraient les moins prudents. 55% d'entre eux passent au feu rouge. Et 82% roulent sur les trottoirs.
Le jeune homme en a fait l'amère expérience il y a 18 mois. «Je circulais à voiture quand soudain, un vélo qui roulait sur le trottoir, a déboîté pour se rabattre en plein milieu de la chaussée, raconte Bertrand. J'ai freiné brusquement pour l'éviter. Et la voiture de derrière m'est violemment rentrée dedans.»
«Ce sont des vrais dangers publics. Les piétons se font agresser en permanence, enchaîne Danièlle. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai failli me faire renverser sur un passage piéton. En plus, on se fait insulter car ils sont obligés de se déporter pour nous éviter.»
Le même comportement qu'un piéton
Joseph qui circule à vélo quotidiennement le reconnaît: la prudence n'est pas toujours son point fort. Le jeune homme a été récemment verbalisé pour avoir grillé trois feux rouges de suite. «A vélo, je fais preuve d'incivilité mais je sais foncièrement que je ne devrais pas». Pourquoi? Par facilité, avoue-t-il. «A certains endroits, si l'on suit la piste cyclable, on est obligé de faire des détours. Dans ces cas-là, il m'arrive de monter sur un trottoir.»
«Un cycliste n'est pas patient, analyse Lucie qui circule elle aussi, beaucoup à bicyclette. A vélo, on a les mêmes réflexes qu'un piéton. Par exemple, quand un véhicule se gare, on a la place de doubler. Ce qui n'est pas le cas en voiture. Au feu rouge, on peut s'avancer. Et si l'on voit qu'il n'y a personne, on a le temps de passer. Comme le font les piétons».
Très peu d'accidents
«Certaines fois, on est imprudent car on n'a pas vraiment le choix, poursuit-elle. On constate qu'il y a régulièrement des voitures stationnées en double file sur les pistes cyclables. Ce qui nous oblige à rouler ailleurs. Même chose pour les taxis qui nous klaxonnent alors qu'on est autorisé à rouler dans la même voie. Sans parler des piétons qui marchent régulièrement sur les pistes cyclables ou qui traversent sans regarder.»
Alors dangereux les cyclistes? A en croire les chiffres du Grand Lyon, pas vraiment. «Sur les 261 accidents piétons recensés l'an dernier, seuls 3,6% impliquent un cycliste (contre 72,7% pour les voitures)», détaille Gilles Vesco, conseiller en charge des questions de mobilité. Inversement, 8,7% des accidents de cyclistes sont dus à l'inattention des piétons.
Une différence entre les faits et le ressenti
«Moins de 10% des cyclistes empruntent les espaces réservés aux piétons. En revanche, il existe une vraie différence entre les faits et le ressenti des piétons. C'est là-dessus qu'il faut encore travailler», poursuit Gilles Vesco. Et d'insister : «L'arrivée des vélos en ville a pacifié le trafic, calmé les automobilistes. Il y a une attention mutuelle renforcée entre les modes de déplacement.»
BBArchi a écrit :TRANSPORTS Selon une étude réalisée par OpinionWay pour MMA, les cyclistes de l'agglomération lyonnaise seraient moins prudents que l'ensemble des autres cyclistes français...
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Une différence entre les faits et le ressenti
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«Moins de 10% des cyclistes empruntent les espaces réservés aux piétons. En revanche, il existe une vraie différence entre les faits et le ressenti des piétons.»,
SUJET: Voirie piétonne mal conçue. Place Guichard -> Servient Duguesclin, piège à Piéton.
Bonjour,
La place Guichard est plutôt dangereuse et très mal conçue. En sortant du métro, on trouve les pièges suivants:
- une rue en sens contraire (donc avec les voitures venant d'un sens inhabituel)
- une autre rue en sens contraire
- une voie de vélo cachée (les vélos ne voient pas les piétons et réciproquement).
Et enfin pour atteindre le croisement Duguesclin/Servient le passage pièton a des feux piétons (permettant le franchissement des voies tramway) très mal positionnés et donc ne servant à rien.
Cordialement,
LOIRE. Le Vélivert fait ses adieux à Rive-de-Gier
En 2010 quand ils sont arrivés dans la cité ripagérienne, les Véliverts, ces vélos en libre-service proposés par St-Etienne métropole, avaient su séduire les habitants. Le taux de fréquentation était plus que satisfaisant. La ville offrait de nombreux points forts car la route qui la traverse est plate et ces stations étaient situées en ligne droite.
Mais au fil du temps, ces résultats se sont dégradés. Au cours de l’année 2014, seulement 8 sorties ont été enregistrées à Rive-de-Gier ! Un chiffre qui n’a pas manqué d’interpeller et conduit St-Etienne métropole à prendre une décision radicale, même si la possibilité d’installer les Véliverts sur d’autres sites reste à l’étude.
phili_b a écrit :J'ai écrit cela au Grand Lyon mi-janvier, par le bouton contact, mais ils m'ont répondu d'écrire à la voirie, ce que je n'ai pas fait.SUJET: Voirie piétonne mal conçue. Place Guichard -> Servient Duguesclin, piège à Piéton.
La place Guichard est plutôt dangereuse et très mal conçue. En sortant du métro, on trouve les pièges suivants:
- une rue en sens contraire (donc avec les voitures venant d'un sens inhabituel)
- une autre rue en sens contraire
- une voie de vélo cachée (les vélos ne voient pas les piétons et réciproquement).
Et enfin pour atteindre le croisement Duguesclin/Servient le passage pièton a des feux piétons (permettant le franchissement des voies tramway) très mal positionnés et donc ne servant à rien.
http://www.busetcar.com/actualites/detail/83408/lyon-les-tourne-a-droite-vont-faire-tache-d-huile.html a écrit :Une cinquantaine de panonceaux "tourne à droite" vient d’être déployée sur l’ensemble des neuf arrondissements lyonnais. Ils autorisent aux cyclistes de s’engager à droite à l’intersection en question, ou d’aller tout droit, sans s’arrêter au feu tricolore, s’il n’y a pas de danger. Les piétons restent bien sûr prioritaires.
[...]le Code de la Route s’applique de la même façon que pour un céder le passage", précise Alain Giordano, adjoint au maire de Lyon, en charge des nouveaux modes de vie urbains.
Dernière mesure annoncée par le ministère, les amendes pour stationnement gênant sur les passages piétons, les trottoirs ou les pistes cyclables passeront dès le 30 juin de 35 à 135 euros
L’agence C.vélo a déménagé et a rejoint le parvis de la gare.
Une mesure qui vient renforcer la diversité de modes de transport présents à la gare (train, taxi, bus, autocar, vélos en libre service, etc.) puisque l’agence C.vélo propose des locations de vélos, classiques ou électriques, en longue durée (un jour à un an).
L’agence C.vélo vous permet : d’établir votre abonnement au service de vélos en libre service (22 stations dont 2 sur le parvis de la gare) ; de louer un vélo classique ou électrique pour une longue durée (1 jour à 1 an). L’agence C.vélo dispose d’une flotte de 70 vélos.
Plus d’infos (modalités d’abonnement, tarifs, carte des stations…) :
http://www.c-velo.fr/
L’agence est ouverte du lundi au vendredi, de 7 h 30 à 12 heures et 14 heures à 18 heures ; le samedi de 10 heures à 13 heures et 14 heures à 18 heures. Tél. 04.73.92.65.08.
amaury a écrit :On va pas se plaindre d'une augmentation des contraventions mais le jour où les différents services de Police l'appliqueront, on aura franchi un grand pas... même à 35€ !
4070 kilomètres parcourus en 42 jours... en Métrovélo ! C'est le challenge un peu fou que vient de relever Olivier Belpalme.
Ce chauffeur de bus meylanais a réalisé son propre tour de France pour promouvoir les déplacements en vélo.
Heureux et très ému, il est arrivé aujourd'hui à 14 h à Grenoble, sous les applaudissements de ses proches et de Yann Mongaburu, vice-président aux déplacements à la Métropole
Tour de France – Les coureurs autorisés à prendre le bus sur les étapes qu’ils jugent trop difficiles
L’édition 2015 du tour de France est-elle trop relevée ? La question est posée après cette décision de la direction de course autorisant ceux qui en feront la demande à pouvoir exceptionnellement rallier l’arrivée en autocar.
Le choix d’assouplir les conditions de course fait suite à la grogne de plusieurs directeurs sportifs qui n’avaient pas manqué de critiquer la difficulté des premières étapes du tour ces derniers jours. « C’est hyper dangereux. Certains coureurs ont été obligés de forcer sur leurs jambes pour suivre le peloton » s’est plaint Marc Madiot, le manager de l’équipe FDJ.
Même son de cloche du coté de l’équipe Cofidis avec le coureur Florent Sénéchal. « Le rythme imposé par la course est tel que je suis obligé de tenir le guidon du vélo avec mes deux mains, sinon je tombe » a-t-il déclaré après l’arrivée de la deuxième étape.
Pourtant, le directeur du Tour de France Christian Prudhomme l’a bien précisé : la possibilité de courir une étape en autocar ne s’appliquera qu’en cas de grosse difficulté. « Les cars seront disponibles en cas de dénivelé positif, ou encore si une échappée se retrouve avec plus de deux minutes d’avance sur le peloton » a expliqué le directeur de la course.
dedale a écrit :Meprise importante sur cet axe qu'est berthelot.