La chaleur : en bord de Saone, il fait plus frais

Les feuilles mortes : vu l'environnement minéral à quasiment 98% du terrain de jeu, on va dire que les feuilles ne sont pas un problème...
Le mystère reste entier !
Les TPG se dotent d’un minibus sans conducteur
Transports publics
La régie attend un feu vert officiel pour lancer un véhicule autonome sur une nouvelle ligne.
Après Sion, la périphérie fribourgeoise, Cossonay ou Zoug, un véhicule autonome devrait bientôt être testé pour la première fois dans une grande agglomération suisse. Les Transports publics genevois (TPG) ont passé commande lundi d’un minibus Navya Arma DL4. Ils ont lancé en avril une procédure pour obtenir les dérogations fédérales dans l’espoir d’exploiter cet engin sur le réseau dès le mois de décembre.
«Les véhicules autonomes sont l’un des grands défis qui influenceront à l’avenir notre modèle d’affaires, explique Denis Berdoz, directeur général. Si nous voulons rester l’acteur de référence dans la mobilité genevoise, nous devons «sauter dans ce train», avec nos collaborateurs.»
Dans le cadre législatif actuel, ces véhicules révolutionnaires ne peuvent déployer qu’une autonomie relative: un conducteur doit être à bord. En cas de souci, il dispose d’un arrêt d’urgence et peut reprendre le pilotage. Une douzaine de volontaires seront recrutés parmi les conducteurs pour s’essayer à ce nouveau rôle.
Un circuit à Meyrin
«Nous ne lancerons la navette que si la sécurité est totalement assurée», promet Marc Châtelain, directeur d’exploitation. Et de relever que les TPG tireront profit des correctifs apportés au fil des premiers essais, comme à Sion où l’engin a été incapable d’éviter une collision en septembre 2016. Les TPG acquièrent une version ultérieure du véhicule qui s’est illustré dans le chef-lieu valaisan.
Si tout va bien et si le feu vert fédéral est obtenu, le prototype d’une capacité de 15 passagers (dont 11 assis) devrait, dans un premier temps, effectuer une boucle d’environ 2 kilomètres entre le village de Meyrin et sa gare, excentrée en zone industrielle. Le bus ne dépassera pas les 25 km/h même s’il peut aller près de deux fois plus vite. La ligne XA (c’est son nom projeté) raccordera le tram 18 au train régional Cornavin-La Plaine, avec une cadence à la demi-heure calée sur l’horaire du train. Ce quartier, qui n’est aujourd’hui pas desservi, a été retenu comme adéquat pour ce test. Les TPG ont écarté des options plus centrales ou plus visibles, comme des tracés qui auraient emprunté le pont des Bergues ou sillonné la Vieille-Ville.
Un coût «raisonnable»
«L’étroitesse des rues du centre, l’abondance de livraisons et les connexions GPS peu optimales nous en ont dissuadés, explique Marc Châtelain. On aurait aussi pu imaginer un test sur un site privé, comme celui d’un complexe hospitalier ou aéroportuaire, ce qui nous aurait dispensés de procédure d’autorisation. Mais nous voulions une expérience sur le terrain, dans des conditions réelles de trafic.»
Le véhicule, fabriqué à Lyon, coûte 300 000 francs. N’est-ce pas trop dans le contexte financier ardu que traversent les TPG, notamment après le rejet populaire de tarifs rehaussés? La direction de la régie relativise, mettant la somme en perspective avec son budget global (environ 400 millions de francs) et d’une autre expérimentation technologique qu’elle mène, celle du bus électrique TOSA où les TPG ont investi 15 millions. «La dépense est raisonnable au vu de l’importance de ce tournant technologique pour notre avenir, argue Denis Berdoz. Même en temps de restriction budgétaire, on se doit d’innover.»
Des conducteurs menacés?
Certes, aucun impact n’est prévu pour l’heure sur les effectifs des TPG. Mais ne sera-t-il pas compliqué à l’avenir de recruter des conducteurs — qui forment deux tiers des effectifs actuels des TPG — alors que cette tâche commence à être confiée à des robots? «Toute révolution technologique amène aussi des créations d’emploi, raison pour laquelle nous voulons nous positionner dès maintenant comme acteurs», répond Denis Berdoz.
La généralisation de véhicules autonomes de grande capacité reste hypothétique et s’inscrit dans un avenir relativement lointain, selon la direction. Qui estime que les gros axes continueront d’avoir besoin de conducteurs. Les trams acquis actuellement sont prévus pour durer quatre décennies.
Qu’en disent les syndicats? «On a le temps de s’adapter, tempère Valérie Solano, du syndicat SEV. Mais l’automatisation déjà effective de la deuxième ligne du métro lausannois montre qu’on y a recours à des conducteurs de la première ligne dans une autre fonction, celle d’opérateur, derrière des écrans, ce qui nécessite un profil plus technique. Que fera-t-on de ceux chez qui le côté pratique prédomine?»
(TDG)
Créé: 23.08.2017, 15h59
BBArchi a écrit :https://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Les-TPG-se-dotent-d-un-minibus-sans-conducteur/story/29923210
Expérimentation à venir en situation réelle, et pas sur un circuit protégé ou dans une enceinte privée ; progressivement, la technique se met au point. Tout est pour le mieux, mais il faudrait aussi se préoccuper de l'aspect humain : bilan sur ce point ? création / suppression d'emploi, le bilan ?
En même temps, c'est curieux ceux qui sont "contre" la suppression des poinçonneurs de métro , occupent généralement un emploi gratifiant et quand on leur demande si ça leur plairait d'être, eux-mêmes, poinçonneurs, ils sont révulsés d'horreur.
Le discours " il faut maintenir des emplois simples, comme poinçonneurs ou conducteurs de bus" est au final très élitiste et sous entend qu'un conducteur de bus ne pourra jamais être ingénieur ou urbaniste...
BBArchi a écrit :C'est pour ça que je pose réellement la question, au dela des ressentis habituels et des à prioris de tout un chacun :
Le "ressenti" dont on peut trouve ça et là dans les médias (par exemple les interview faites dans des circonstances divers mais en lien avec quelques mouvement sociaux) est qu'on remplace les postes tenus par la main d'oeuvre non qualifiée ou faiblement qualifiée par un ensemble de solutions techniques autonomes ou robotisées, et/ou délocalisées dans des pays à bas coût.
Voici à quoi vont ressembler les bus sans chauffeur en Belgique (vidéo)
Les premiers véhicules autonomes pourraient être testés sur la voie publique belge dès 2018.
Les premiers tests de véhicules totalement autonomes sont programmés début 2018 sur les voies publiques belges et plus précisément des semi-piétonniers permettant de circuler à 20 km/h, a annoncé lundi le ministre fédéral de la Mobilité François Bellot lors de tests réalisés sur un circuit privé de Malmedy avec une navette de bus sans chauffeur.
Airbus a écrit :Et à propos, quel est le bilan de notre navette de Confluence ?
La navette belge "Easy Mile" se situe clairement sur le créneau du "dernier km" ou mile. J'ai noté toutefois son prix 200 K€, qui, pour 10 personnes transportées, 6 assis et 4 debout maxi, ramène le prix par place à des niveaux stratosphériques. Un bus standard de 100 places coûte moins de 300 K€.
!
BBArchi a écrit :Ben voila. On y est. Honnêtement ?![]()
![]()
Implicitement, ce "gugusse" juste bon à chatter et brancher ses neurones sur la boite à sottises vient de perdre son job ; idéologiquement, et pratiquement, il ne sert plus à rien.
[i"]On le tue tout de suite, ou on boit café d'abord ?" [/i]( Francis Blanche dans les Barbouzes)
Intelligence artificielle: «Dans le futur, seuls les gens très intelligents et très doués trouveront du travail»
INTERVIEW Pour Laurent Alexandre, spécialiste des nouvelles technologies, les progrès de l’intelligence artificielle risquent de creuser les inégalités sociales si le système éducatif n’évolue pas…
La Guerre des intelligences est paru chez JC Lattès ce mercredi.
Pour son auteur, Laurent Alexandre, l’école ne prépare pas les enfants à lutter contre l’intelligence artificielle.
Seuls les gens très intelligents seront complémentaires de l’IA.
L’intelligence artificielle (IA) va nous manger tout cru. Pour Laurent Alexandre, chirurgien, énarque et spécialiste des nouvelles technologies, les progrès de l’IA risquent de creuser les inégalités sociales si le système éducatif n’évolue pas très vite. La Guerre des intelligences, paru chez JC Lattès mercredi dernier, dessine un futur où les enfants pourraient s’implanter des circuits intégrés dans le cerveau pour rester compétitifs face à la machine. Avec 20 Minutes, l’auteur effleure les grandes questions que pose ce « tsunami technologique ».
Dans « La Guerre des intelligences », vous critiquez le système éducatif. Pour vous, l’école ne donne pas les bonnes armes aux enfants pour affronter l’intelligence artificielle. Quels sont les risques liés à l’IA ?
Il existe un risque à long terme, celui qui a fait l’objet des disputes entre Elon Musk et Mark Zuckerberg cet été : le risque d’une intelligence artificielle hostile qui tuerait l’humanité. A mes yeux, le principal problème, c’est plutôt l’augmentation des écarts sociaux. Comme l’IA va être quasi gratuite et va faire de mieux en mieux des tâches humaines, nous risquons d’être dans une société où seuls les gens très intelligents, très innovants, très doués pourront trouver du travail. L’école aujourd’hui ne prépare pas les enfants, notamment des milieux défavorisés, à résister à l’IA.
phili_b a écrit :Pour la défense du gars je comprends qu'il s'embête sévèrement. Il a un volant de secours ou pas ?
.
Lyon: Navly, la navette sans chauffeur, va continuer de rouler au moins un an
TRANSPORTS Le bilan de la phrase d'expérimentation s'est révélé concluant...
Un premier bilan concluant. Navly, navette électrique et sans chauffeur, qui dessert le quartier de la Confluence et le quai Rambaud, a encore de beaux jours devant elle. La phase d’expérimentation, lancée en septembre 2016, qui s’achèvera à la fin du mois de décembre, devrait être prolongée d’une année. Il ne reste plus qu’à obtenir l’autorisation officielle. Ce qui est en bonne voie.
Un bon moyen de continuer à promouvoir ce nouveau mode de transports et de procéder à quelques améliorations. « Il y a une énorme différence entre faire rouler la navette deux heures pendant une démonstration et la faire circuler cinq jours par semaine pendant douze heures. Cela nous a permis d’adapter le véhicule au fur et à mesure », explique Christophe Sapet, le président de Navya, start-up lyonnaise, qui a développé le véhicule.
22.000 passagers en 14 mois
Depuis son lancement, Navya a attiré 22.000 passagers. « Au départ, la grande majorité des voyageurs venaient par curiosité. Désormais, ce sont de plus en plus, les salariés des entreprises du quartier qui l’utilisent », observe Pascal Jacquesson, directeur de Keolis.
L’entreprise, qui exploite les transports en commun lyonnais et qui s’est engagée aux côtés de Navya, compte bien rentabiliser cette année d’expérimentation supplémentaire pour parfaire le service.
La navette qui circule du lundi au vendredi, a également été mise en service le samedi pour permettre aux visiteurs de la Biennale d’art contemporain d’effectuer la correspondance avec le tramway. Et le test est concluant : 60 passagers en moyenne par jour, la semaine. Et 240 le samedi.
Parmi les nouveautés annoncées : l’augmentation de la vitesse de desserte « pour diminuer le temps d’attente entre chaque passage ». « Plus on accroît la fréquence, plus on aura d’utilisateurs », explique Christophe Sapet. Ces derniers auront également la possibilité de se connecter à la très récente application mobile Navly, qui leur permettra de connaître l’évolution des navettes sur leur parcours en temps réel.
Des campus aux hôpitaux
« Au-delà du côté expérimental, on imagine déjà utiliser ce service de navettes autonomes en complément des lignes de bus, métro ou tramways afin de mailler plus finement l’agglomération », dévoile Pascal Jacquesson. « On se dit que demain, elle pourrait être utilisée sur des campus universitaires ou industriels voire des hôpitaux de grande taille », poursuit David Kimelfeld, président de la Métrople lyonnaise.
L’initiative lyonnaise a déclenché beaucoup d’intérêt à l’échelle nationale et internationale. 70 délégations, étrangères pour 70 % d’entre elles, se sont rendues à Lyon pour découvrir la petite navette sans chauffeur. D’autres expérimentations ont été menées en France ou ailleurs. C’est le cas notamment à Paris où des navettes circulent depuis le mois de juin sur l’Esplanade de la défense.
L'entreprise lyonnaise Navya, spécialisée dans les véhicules autonomes, vient de présenter un taxi sans chauffeur et 100% électrique.
Les Lyonnais de Navya continuent d'innover en matière de véhicules autonomes électriques. Après leur navette Navly, qui circule à Confluence depuis un an, la start-up vient de présenter à Saint-Denis un taxi sans chauffeur, 100 % électrique. Le projet nommé "Autonom Cab" peut transporter jusqu'à 6 personnes. Grâce à des caméras et des radars, ce véhicule estimé entre 230 et 250 000 euros, peut circuler en toute autonomie jusqu'à 90 km/h. Pour occuper ses passagers, Autonom cab peut proposer des visites interactives et culturelles de la ville, commander des places dans un cinéma ou musée, ou composer la playlist musicale de son choix.
Pour Élisabeth Borne, ministre des Transports présente lors du lancement, ce projet est "une promesse de nouveau service de mobilité". Christophe Sapet, président de Navya, s'est félicité d'être à l'origine d'une "révolution [...] Ce nouveau modèle est destiné à être le premier robot taxi commercialisé au monde", a-t-il précisé.
La navette autonome des Français de Navya vient de vivre une première journée difficile lors de son test à Las Vegas. À peine mise en service, le véhicule, qui peut rouler à 25 kilomètres par heure, a été percuté par un camion de livraison. Aucun des huit passagers à bord n'a été blessé et seule la carrosserie de la navette est endommagée.
Par ailleurs, selon un représentant de la ville de Las Vegas, le responsable de l'accident est le conducteur du camion, "la navette a fait ce qu'elle devait faire. Elle s'est arrêtée pour éviter l'accident. Malheureusement, le camion de livraison ne s'est pas arrêté, effleurant l'aile avant de la navette". Même si Navya n'y est donc pour rien, cet incident ne devrait pas calmer les inquiétudes concernant l'arrivée des véhicules autonomes dans nos villes. Le test devrait se poursuivre à Las Vegas. En début de semaine, Navya a présenté un taxi autonome, capable lui, de monter à 90 kilomètres par heure
Sytral a écrit :Deux nouvelles navettes autonomes bientôt sur le réseau TCL
Dans le cadre du projet européen "AVENUE", le SYTRAL franchit une étape dans l'expérimentation du transport autonome avec l'acquisition de 2 nouvelles navettes au printemps 2019.
Le SYTRAL a présenté son expériementation dans le cadre du projet européen "AVENUE" (Autonomous Vehicles to Evolve to New Urban Experience) qui a pour objectif de préparer l’intégration technique, législative et économique des véhicules autonomes dans l’espace urbain et péri-urbain.
Le projet s’inscrit dans une longue tradition d’innovation. Pour rappel, de nombreux systèmes et technologies se sont développés depuis des années sur notre territoire :
- le premier funiculaire en 1862,
- le premier métro à grand gabarit en 1991,
- la première expérimentation mondiale de navette électrique autonome, Navly en 2016.
Deux nouvelles navettes à Décines au printemps 2019 :
Le SYTRAL lance l'expérimentation de deux nouvelles navettes électriques, gratuites et sans chauffeur, qui assureront la liaison entre l'arrêt du T3 "Décines Grand Large" et le Groupama Stadium dès le printemps 2019.
Ces véhicules devront relever un véritable challenge technologique en circulant sur la voirie aux côtés des voitures et en franchissant un carrefour à feux tricolores ainsi qu'un rond-point sur un trajet d'1,2 kilomètre.
Elle a été la première ville au monde à tester les navettes autonomes. Lyon poursuit l’expérience. Elle vient d’être désignée ville pilotes du projet Avenue, qui a pour but de « préparer l’intégration » de ces véhicules dans les métropoles de demain. Deux nouvelles navettes seront mises en circulation au printemps prochain afin de relier l’arrêt « Décines Grand Large » du tramway T3 au Parc OL. Soit 1,2 kilomètre que les usagers des TCL parcourent souvent à pied, faute d’être déposés au pied du stade.
Utilisées comme « moyen de transport complémentaire aux solutions existantes », ces deux navettes circuleront quotidiennement jusqu’à 20 heures et à 25 kilomètres/heure mais ne seront jamais mises en service les soirs de match. La société Navya qui les déploiera, entend ainsi profiter de l’expérimentation pour améliorer ses véhicules.
Ous03 a écrit :
Le projet s’inscrit dans une longue tradition d’innovation. Pour rappel, de nombreux systèmes et technologies se sont développés depuis des années sur notre territoire :
- le premier funiculaire en 1862,
- le premier métro à grand gabarit en 1991,
- la première expérimentation mondiale de navette électrique autonome, Navly en 2016.
Lyon-St-Clair a écrit : Pour les articulés en France oui, à l'étranger c'est à voir...
Une navette électrique autonome, c’est-à-dire sans chauffeur, est testée du 19 au 22 octobre sur la voie verte entre Néris-les-Bains et Montluçon (Allier). L’objectif : recueillir des données pour permettre à ce véhicule de circuler en milieu rural. Le public pouvait, ce mercredi 20 octobre, seulement, monter à bord de ce prototype.
Les portes vitrées se ferment et une cloche, identique à celle d’un tramway, retentit. Doucement, l’engin, stationné à l’entrée de la voie verte, à Néris-les-Bains (Allier), démarre. Pas de chauffeur dans cette navette, au look de téléphérique rouge roulant. Le véhicule est complètement autonome. Seul un opérateur veille à son bon fonctionnement.
À faible vitesse, EZ’10 (c’est le nom de cette navette développée par les chercheurs de l’Institut Pascal de Clermont-Ferrand et construite par l’entreprise Ligier dans l’Allier) avance, attirant l’attention des promeneurs, qui avaient, ce mercredi 20 octobre uniquement, l’occasion pour la première fois de monter à son bord.
...
D'autres tests à venir
« C’est la deuxième fois que des tests sont réalisés ici », explique Michel Dhome, directeur de recherche au CNRS et directeur du LabEX (laboratoire d’excellence) IMobS3. Avec le même objectif : améliorer les technologies de guidage pour permettre, à terme, à la navette, de circuler de manière autonome en milieu rural.
Revenir à « Le forum de Lyon en Lignes »
Utilisateurs parcourant ce forum : Max25, Momox de Morteau, xouxo et 28 invités