nicaero a écrit :http://www.lyoncapitale.fr/Journal/univers/Politique/Sytral/Rivalta-coupe-les-lignes-de-bus-de-Genas-Chasselay-Vaugneray-et-Pollionnay
Ces communes n'ont pas voulu adhérer au Sytral, la "punition" est tombée. Dommage sur les usagers de ces communes qui n'ont que faire des querelles politiques et financières (ou l'inverse) entre leur Maire et le Président du Sytral aux opinions différentes.
[align=center]Droit de réponse : Bernard Rivalta réagit à un article de Mobilicités[/align]
Suite à un article consacré à la fin de dessertes par autobus de quatre communes situées hors de l'agglomération lyonnaise, le président du Syndicat des transports (Sytral) nous a envoyé un courrier que nous publions en ligne.
Voici la réponse que nous a adressé Bernard Rivalta, président du Sytral, suite à l'encadré "Tu paies, tu as un bus" (en bas de page) paru avec l'article "Le Grand Lyon et le Rhône redistribuent les cartes du territoire".
"J'ai été très surpris par la lecture de votre encadré concernant le Sytral dans votre article du 1er mars. Par la phrase "Bernard Rivalta n'y va pas par quatre chemins", votre rédacteur laisse supposer que l'arrêt des services sur les communes hors périmètre des transports urbains relève du simple "Fait du prince".
Avec un minimum d'investigations, il aurait appris que cette décision découle des remarques de la Chambre régionale des comptes (CRC) qui, dans ses rapports de 2004-2007 et surtout 2011, avait critiqué le Sytral de desservir des communes hors PTU.
Les remarques étaient de deux ordres :
•participation financière des communes sans rapport avec le coût d'exploitation très supérieur
•les entreprises situées dans ces communes ne payent pas de versement transport alors que celles implantées dans le Grand Lyon sont assujetties à un VT ) 1,75%.
Ces deux situations revenaient à faire bénéficier les habitants de ces communes de la totalité du réseau urbain du Sytral et de ses tarifs, en créant une inégalité devant l'impôt inacceptable. La CRC rappelait que la compétence du Sytral devait se limiter à PTU reconnu par le préfet.
Depuis plusieurs années déjà, des négociations étaient engagées avec ces communes pour répondre aux remarques de la CRC. Certaines, lasses d'attendre les projets de dessertes du département, ont adhéré au Sytral, étendant ainsi son PTU.
D'autres ont choisi d'attendre (et attendent toujours), mais ont été informés dès le mois de mai 2012, que leurs dessertes s'arrêteraient à la fin de l'année scolaire 2012-2013. Ce sont les quatre figurant dans votre article.
Vous pouvez constater que je puisse être surpris de l'article en question. Je vous prie de bien vouloir informer vos lecteurs de la réalité."
La réponse de Mobilicites
Dans son encadré, le journaliste a relaté avec exactitude le motif pour lequel le Sytral a décidé d'arrêter de desservir par autobus certaines communes situées en-dehors de l'agglomération lyonnaise. Il explique en effet que les quatre communes concernées ont jusqu'à présent décidé de ne pas adhérer au Sytral, contrairement à d'autres collectivités locales extérieures à l'agglomération lyonnaise desservies par le réseau de transport TCL, ce qui posait un problème d'inégalité de traitement entre des communes bénéficiant du même service.
Néanmoins, le format court de l'encadré ne permettait pas au rédacteur de préciser l'ensemble des détails liés à cette décision, comme l'a fait M. Rivalta dans son courrier, en citant notamment les remarques de la Chambre régionale des comptes.
Quant à la tournure de l'article qui laisse penser à M. Rivalta que cette décision relève "du fait du prince", elle relève de la libre interprétation du journaliste et est donc laissée au jugement de chacun.
"Aménagement de voirie pour le futur terminus de la ligne 68"
Mars 2013 > Juin 2013
Circulation perturbé.
[align=center]Bus à Vaugneray : "les usagers paieront forcément plus"[/align]
"C'est non". Lors d'une réunion publique organisée à Vaugneray ce lundi, Bernard Rivalta a été clair : hors de question de prolonger la convention liant la commune au Sytral, convention qui arrive à échéance le 8 juillet prochain. Passée cette date, les bus actuels ne circuleront plus.
Le maire de la commune, présent dans la salle, a expliqué qu'il espérait faire affaire avec le conseil général (même si les conditions financières de cet accord n'ont pas été arrêtées) : les habitants de Vaugneray emprunteraient la ligne 189 qui part de Chazelles et qui mène à Gorge-de-Loup. Problème : elle ne traverse pas la commune, mais Craponne. Un système de navette serait mis en place pour rejoindre la Tourette dans la ville voisine, sans passer par Grézieu. La fréquence des bus baisserait cependant, de 33 trajets par jour dans chaque sens entre Vaugneray et Lyon à 21 demain.
Le maire, Daniel Jullien, a insisté sur la fiscalité pesant sur les entreprises qui serait autrement plus douce, avec un versement transport de 0,5% de la masse salariale voire 1% à l'avenir, contre 1,75% en cas d'adhésion au Sytral. Reste le prix pour l'usager, qui passerait de 1,70 euro à 3,10 euros pour un ticket, et de 53,70 euros à 65 euros l'abonnement mensuel. La commune s'est dite prête à mettre au pot. "De toute façon, les usagers paieront forcément plus", a prévenu Bernard Rivalta.
DES NOUVELLES DES TRANSPORTS EN COMMUN
Par délibération du mois de mai 2012, le SYTRAL a décidé d’arrêter la desserte de Vaugneray par la ligne C 24 à compter du 8 juillet. Si la commune souhaitait conserver ce service, il lui fallait adhérer au syndicat, ce qui aurait eu pour conséquence un forfait par habitant fixé dans un premier temps à 20€ par habitant et une taxe supplémentaire pour les entreprises de plus de 9 salariés : le versement transport qui s’élève à 1.75 % des salaires de plus de 700 emplois concernés, soit un total représentant 40% des impôts communaux actuels..
La partie de ligne de la C24 E comprise en Craponne et Vaugneray relève de la compétence du conseil général, autorité organisatrice de transport pour les communes situées en dehors d’un périmètre de transport urbain, comme c’est le cas pour Vaugneray : elle était assurée par le SYTRAL pour le compte du Département du Rhône.
La commune a engagé un recours en annulation de cette délibération, mais la décision de justice ne sera pas connue avant plusieurs mois. Un référé a été déposé pour demander au juge administratif de suspendre cette décision compte-tenu de l’urgence de la situation : la décision devrait être connue le 3 juillet.
Des discussions ont été menées jusque tardivement entre le Conseil Général et le SYTRAL dans le but de signer une convention qui aurait permis le maintien de la ligne dans sa solution actuelle. Mais, dans l’impossibilité d’aboutir, le département du Rhône s’est organisé pour proposer un nouveau service à compter du 8 juillet prochain. Il a confié à la société Planche, appartenant au groupe Keolis, la mise en place d’une liaison directe entre Vaugneray et la ligne express départementale (LED) qui rejoint Gorge de Loup avec une correspondance à Craponne, à proximité du collège Jean Rostand. Durant la période estivale 16 navettes Vaugneray Craponne seront effectuées du lundi au samedi (service réduit le dimanche).
Mais l’offre du département va réellement se déployer à la rentrée prochaine : outre les 8 lignes scolaires appelées « lignes fréquences » qui sont maintenues dans leur forme actuelle et ouvertes à tous les usagers, une nouvelle « ligne fréquence », elle aussi ouverte à tous, partira de la commune en direction des lycées du 5è arrondissement : elle desservira le lycée Branly, les Minimes, La Favorite, l’ICOF, St Just et Jean Moulin matin et soir en 40 min. Par ailleurs, la demande de la commune prévoit 26 départs et retours journaliers en semaine, un bus complémentaire en heure de pointe vers Gorge de loup. Elle prévoit aussi un service de la ligne régulière effectué par des cars à plancher bas qui permettront l’accès aux fauteuils roulants, poussettes etc.
Le nouveau circuit au départ de la place de Verdun s’arrêtera à tous les arrêts de la commune jusqu’à Chanconche, avec arrêt aux quatre chemins. Il passera ensuite par le centre de Craponne (correspondance TCL) avant de poursuivre jusqu’au collège JEAN ROSTAND (correspondance LED). Avec ce nombre d’arrêts réduit, les temps de trajet seront améliorés puisque Gorge de Loup sera à 38 min du centre du village.
La commune qui jusque-là finançait le second ticket nécessaire à la partie du trajet comprise entre Vaugneray et Craponne permettant à tous les usagers de payer le même tarif (montant annuel 29 000€) utilisera ces fonds pour compenser la hausse de certains abonnements, notamment pour les étudiants.
Un nouveau service sur le pas de votre porte : le Transport à la demande : à compter du 8 juillet également, là où les besoins de déplacement ne nécessitent pas l’implantation d’une ligne régulière, le Département met en place un service de transport à la demande (TAD), qui est activé si l’on réserve son voyage à l’avance. Ce service est proposé pour accomplir des déplacements locaux sur le territoire, ou pour rejoindre une correspondance. Toutes les personnes habitant à plus de 15 mn à pied d’un arrêt de car pourront appeler la veille (ou le vendredi pour le lundi) au 0800 869 869 pour se faire transporter au premier arrêt. Elles anticiperont leur retour, et à la descente du car, elles seront prises en charge et reconduites à leur domicile. Elles ont aussi la possibilité d’être amenées au centre des communes de Pollionnay, Courzieu, Yzeron, Saint Laurent de Vaux, Craponne ou Vaugneray. Ce service fonctionne de 7h00 et 20h00 et les réservations sont aussi possibles sur le site du département du Rhône (http://www.rhone.fr), rubrique transports. Le transport à la demande est accessible quelque soit votre titre de transport (ticket, carte à trajet ou abonnement), vous permettant donc de continuer votre voyage sur les autres lignes du réseau.
Les titres de transport seront différents des titres TCL mais des titres combinés Cars du Rhône/TCL existent. Ils seront disponibles à bord et chez le dépositaire habituel de la commune (Mme BOST).
Les abonnements des scolaires étant déjà financés par le Département, ils le resteront avec l’application du quotient familial habituel
Sondage
Sylvain a écrit :La bonne nouvelle c'est que RhônExpress sera bientôt limité à la nouvelle station de « Pusignan – Champs de Maïs », ce qui permettra de renforcer l'offre de T3.
[align=center]Guerrilla à Lyon entre les bus des villes et les cars des champs[/align]
Très remonté, Bernard Rivalta, président le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral) menace de bloquer les lignes d'autocars départementaux qui pénètrent sur le territoire du Grand Lyon. Le département du Rhône vient en effet de restructurer son réseau interurbain sans concertation avec le Sytral. Certaines lignes font doublon.
Ce n'est pas un hasard de calendrier : le 8 juillet 2013, le département du Rhône déployait sa nouvelle offre de transport public. Le même jour, Bernard Rivalta organisait une conférence de presse à Lyon pour dénoncer l'arrivée des autocars départementaux à l'intérieur du périmètre des transports urbains.
"La loi stipule qu’une autorité organisatrice de transport ne peut pas faire rouler ses véhicules sur le territoire d’une autre sans son autorisation, a expliqué l'élu du Grand Lyon. Or le conseil général ne nous a toujours pas demandé cette autorisation. Par conséquent, les cars qui circulent dans l’agglomération lyonnaise sont dans l’illégalité".
Mais ce qui agace le plus le président du Sytral, ce sont les lignes en doublon dans les secteurs de Meyzieu ZI, Vaise/Gorge de Loup et Carré de soie. "Faire circuler deux véhicules de transport public sur un même itinéraire revient à jeter l’argent par les fenêtres. En cette période de rigueur où l’on nous demande de faire des efforts de gestion, instaurer des doublons c’est ce moquer du monde !"
Au delà de cette limite, votre ticket n'est plus valable
Cette situation illustre le manque de coordination entre les deux collectivités locales, mais pas seulement. C'est aussi un choix politique. Les secteurs de Mézieux ZI, Vaise/Gorge de Loup et Carré de soi sont situés en périphérie du périmètre des transports urbains, à proximité des communes de Genas, Vaugneray et Pollionnay.
Et elles ont décidé de ne pas adhérer au Sytral. "Certaines communes se sont crues plus malignes que les autres et pensent que nous allons payer à leur place". Pas question. "Je ne vais pas pénaliser le réseau Lyon pour des collectivités qui n’ont pas voulu adhérer", fustige Bernard Rivalta.
Il a donc décidé de "bloquer" les cars interurbains dès qu'ils veulent pénétrer dans le périmètre de transport urbain. "Les conducteurs seront avisés de cette décision". Et les contrôleurs des Transports en commun lyonnais (TCL) doivent informer les passagers des autocars que la donne a changé : ils devront acheter un autre ticket pour les transports urbain. Quant à ceux qui bénéficient de tarifs sociaux, ils ne seront théoriquement plus en règle dans les autocars interurbains, puisque ces tarifs préférentiels sont pris en charge par le Sytral.
Nouvelle négociation le 10 juillet 2013
Bernard Rivalta affirme qu'il ne s'est pas engagé dans une "guérilla", et qu'il souhaite clarifier la situation avec le département du Rhône. Une réunion est prévue le 10 juillet 2013 : "Le conseil général ne s’entêtera pas et nous trouverons un accord", prédit-il.
A plus long terme, avec la création de la métropole lyonnaise, "Nous mènerons des négociations avec le futur département pour éviter les doublons et organiser un meilleur service. Car la mutualisation est le premier principe d’une bonne gestion économique", conclut l'élu.
Lyonrail a écrit :Et Transmisère ?
A Corbas, des familles s'insurgent contre la récente modification de la desserte
Depuis la rentrée de septembre, les trajets scolaires sont devenus source de tension pour 52 familles de Corbas. L'acheminement des élèves, jusqu'alors assuré par car entre la commune et le collège et lycée La Xavière à Vénissieux, a été suspendu par le conseil général dans le cadre de la réorganisation du transport scolaire.
«Il y avait jusqu'à présent une tolérance de la part du département pour récupérer les enfants de Corbas. Désormais les choses sont plus cadrées. Comme ces élèves habitent dans une zone couverte par le Sytral (TCL), les cars ne sont plus autorisés à les transporter», résume Sébastien Milioni, directeur de cabinet du maire de Corbas. «Ce nouveau réseau a permis de redéfinir les compétences de chacun. Ces familles vivent et se déplacent sur le territoire du Sytral. Elles doivent s'adresser à cette autorité», précise le département. Mais, pour les familles, la pilule est difficile à avaler.
Un trajet deux fois plus long
«Avant, le trajet de nos enfants était direct et durait une demi-heure. Aujourd'hui, ils mettent plus d'une heure le matin et le soir», s'agace un père de famille. «Et le pire, c'est que le car qui les emmenait jusqu'alors passe toujours devant chez nous, sauf qu'il circule presque à vide. C'est scandaleux pour les familles et c'est un vrai gâchis financier», tempête une mère.
Comme elle, de nombreux Corbasiens ont écrit au Sytral dans l'espoir d'obtenir la mise en place d'une ligne Junior directe (JD). En vain. «La politique du Sytral en matière de transport scolaire est de privilégier l'usage des lignes régulières. Les JD sont réservées aux zones peu desservies par les TCL, ce qui n'est pas le cas de Corbas où passe la 54. Nous avons donc renforcé la fréquence de cette ligne régulière le matin», indique-t-on chez Keolis et au Sytral, où l'on semble toutefois comprendre l'agacement des familles. «A priori, les parents n'ont pas suffisamment été informés en amont de l'arrêt de la desserte par le conseil général.» Pas sûr toutefois que cela suffise à apaiser la grogne à Corbas.
Elisa Riberry
■ Lignes Junior
Keolis Lyon exploite 174 lignes Junior Direct. Mais «sur nos 60 000 scolaires abonnés, la grande majorité voyage sur les lignes régulières du réseau TCL», assure-t-on chez Keolis.
Madame, Monsieur,
Vous avez adressé ou vous avez lu une pétition me demandant d’améliorer les transports.
Croyez bien que c’est une priorité pour moi, presque une obsession, dans la continuité de la prise en charge du 2ème ticket par la commune depuis 2001.
Cependant, les décisions ne nous appartiennent pas toutes.
Je connais les difficultés décrites, notamment en ce qui concerne les fréquences et, nous sommes très actifs auprès des décideurs pour obtenir une nette amélioration.
Par contre, cette pétition perd de son crédit lorsqu’elle affiche des affirmations gratuites ou fausses.
Par exemple, la fréquentation de la piscine a bien progressé cet été alors qu’il est affirmé qu’elle aurait baissé à cause du transport, etc….
La compétence transport n’appartient pas aux communes. Les transports urbains sont pris en charge par la communauté urbaine. Les transports interurbains sont de la compétence du Département. Un accord entre ces deux entités devait être poursuivi, comme depuis 1973, pour que l’on puisse conserver la ligne C 24. L’entente n’a pas été possible. Le Préfet en juillet 2010 avait donné la marche à suivre pour l’adhésion des communes au SYTRAL dans des conditions équitables.
Le SYTRAL l’a refusée et a ensuite décidé de supprimer la ligne sans se préoccuper ni des usagers ni des représentants de la commune.
A partir de là, le Département à travers le Syndicat Mixte des Transports du Rhône (SMTR) a pris en charge l’organisation des transports sur notre commune. Quoiqu’on en dise, cette solution présente des points positifs importants :
- Elle permet d’avoir une offre de transport diversifiée pour une demande très variée. Nous constatons que le transport à la demande rend de mieux en mieux son service une fois la période de rodage terminée.
- Elle permet aux familles de bénéficier d’abonnements scolaires à un prix beaucoup plus avantageux que le tarif TCL.
- Elle permet de maîtriser les coûts pour la commune puisque décidés par le Conseil Municipal.
- Elle permet d’avoir des interlocuteurs accessibles pour faire évoluer ce nouveau service. Nous l’avons fait sur les tarifs, sur les transports scolaires. La prochaine étape est l’amélioration des fréquences de la ligne 47.
- Elle évite de taxer à hauteur de 1,75% la masse salariale (taxe du département à 0,5%), des 700 emplois (pour les employeurs de plus de 9 salariés) de la commune au titre du versement transport. Ce point est important à l’heure où la défense de l’emploi sur l’Ouest Lyonnais est primordiale. Je ne connais pas de directeur d’établissement ou de chef d’entreprise favorable à ce versement.
La presse s’est fait l’écho ces jours-ci de la volonté des responsables du Grand Lyon et du Département de créer un syndicat regroupant les transports urbains et interurbains. C’est ce que nous appelons de nos vœux depuis longtemps. Je crois que pour préparer l’avenir dans ce cadre, il vaut mieux être en situation de pouvoir discuter que d’être prisonnier d’un engagement irréversible dans une structure au sein de laquelle notre représentation et notre influence seraient quasi inexistantes.
Nous restons très mobilisés afin d’être les porte-parole des utilisateurs du service pour signaler toute anomalie et pour demander des améliorations nécessaires.
Conscient des désagréments que ces changements occasionnent, je remercie tous ceux qui par leur patience, leur compréhension et leur participation positive contribuent à ce que le service se mette en place complètement.
Le Maire
Daniel JULLIEN
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