on peut tolérer que toute capacité d'investissement soit coupée au SYTRAL pour un bon bout de temps, alors que les TC lyonnais ont actuellement un besoin criant d'infras nouvelles
cesar a écrit :Sauf qu'il y a un véritable projet de desserte pour l'est lyonnais
Métro C a écrit :Salut
Ah bon, et lequel ??
Pour les personnes qui font des km pour venir travailler à Lyon, d'une part je ne vois pas vraiment le lien avec le sujet, mais en plus il y a bien de l'argent qui rentre pour la ville, vu que les taxes des entreprises se font, me semble-il, en fonction du nombre d'employés de celles-ci.
cesar a écrit :Vous reprochez à M. Aulas de faire des affaires et de rentabiliser ses investissements.
........, vous avez la chance d'avoir un investisseur qui finance l'infrastructure, on ne peut pas lui demander non plus de s'installer dans des endroits étroits ou ses chances de rentrées seraient moindre.
Quelques exemples récents qui prouvent le contraire
.... GERLAND offrait des perspectives limitées !
Aucun investisseur privé n'aurait pu être tenté par le challenge GERLAND (prix du foncier trop élévé et impossibilité de rentabiliser l'infrastructure par manque d'espace)
GERLAND = investissement 100% public
Pour des simples projets de rénovation, on tournait autour de 250M€ en comptant les aménagement et les a-cotés.
Si on crée un nouveau stade à GERLAND, on tournerait plus à 400M€ d'investissement publics...
Le lien avec le sujet c'est que vous sembliez critiquer la faiblesse d'investissement du SYTRAL.
Le modèle économique doit évoluer, le SYTRAL ne peut ni compter sur les subventions de l'ETAT pour ces nouveaux projets ni compter sur un agrandissement de son périmètre d'action (Lissieu dernier membre du GL avant longtemps) et les recettes liées à l'exploitation (les recettes liés à la billeterie) finiront par stagner si ce n'est déjà le cas.
Donc pour se développer, il faut trouver de nouveaux moyens !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parken_StadiumD'autres manifestations ont pris place dans ce stade comme le Concours Eurovision de la chanson 2001 et des concerts : AC/DC, Madonna, Depeche Mode, U2, Michael Jackson, Céline Dion, Eminem, Britney Spears, Tiësto...
ce ne sont pas des investissements pour trimballer 15 000 voyageurs x 2 (aller et retour) X 50 fois par an qui vont l'aider à le faire.
! Par contre, lorsqu'il gère sa boîte avec les sous du contribuable, là ça me fait beaucoup moins rire... cesar a écrit :Sans compter les bassins d'emplois, les habitations qui vont se créer autour et accroître considérablement la zone de chalandise pour le sytral
Il est aussi naif de croire que le stade va être utilisé seulement pour des match de football.
Regardez ce qui se passe en Angleterre, les stades sont utilisés pour accueillir des groupes scolaires, des spectacles, des concerts !
Presque tous les jours, il y a quelque chose qui se passe !

Les profits sont privés, les pertes seront collectivisées.
cesar a écrit :On se croirait dans Tintin chez les SOVIET...
(...)
Puisque c'est votre maire qui vous le dit...


).
Mais c'est vrai que l'OL se portera probablement bien (en tant qu'entreprise, je veux dire). Et c'est peut-être ça le plus important... 

Le problème du stade de Décines est qu'il est posé sans réflexion d'ensemble sur une politique d'urbanisme et de transport qui soit pensée au quotidien. Les investissements de la collectivité pour l'accessibilité au nouvel équipement auraient été mis à profit au quotidien pour améliorer la qualité du service sur le réseau, il n'y aurait rien eu à dire parce que les investissements supplémentaires généraient des coûts annuels amortis sur 365 jours dont environ 330 jours d'exploitation par unité. Là, on a des investissements supplémentaires qui engendrent des coûts d'exploitation et financiers amortis sur 365 jours pour 100 jours d'exploitation réelle
cesar a écrit :Que dit le Monsieur qui s'occupe du projet "Utile 7 jours sur 7"
cesar a écrit :Ce n'est pas en sortant des chiffres au pifomètre que vous allez démontrer quelquechose.
cesar a écrit :Il y aura plusieurs phases sur ce projet, ce qui est intéressant de savoir comment va évoluer la zone
cesar a écrit : et pas comme vous le faites en restant focaliser sur le stade, le stade et rien que le STADE.
Evidemment que le "Monsieur qui s'occupe du projet", comme tu dis, il va pas dire "bôh ça servira peut-être 100 jours par an"
cesar a écrit :Ce que je dis c'est qu'il faut arrêter de sortir des chiffres au pifomètre !
(...)
Tous ces chiffres concernant l'exploitation, la provenance des usagers sont plus que biaisées.
cesar a écrit :Ce que je condamne c'est ce cheminement d'hypothèses plus ou moins contestables les unes autant que les autres aboutissant à une conclusion faussée c'est à dire à l'inadaptation de l'offre par rapport à la demande de TC.
cesar a écrit :Je veux bien entendre votre théorie mais pour moi cela ne reste que de la théorie...
Si blabla Si blabla Si blabla alors blablabla moi aussi je peux faire des choses comme cela.
cesar a écrit :Pour des personnes sachant tout sur tout et malgré tous les posts, je ne vous ai toujours pas entendu sur l'alternative à GERLAND. (...)
Vous tournez au tour du pot et faites la politique de l'autruche ou vous contournez le problème (on ne fera pas le projet).
merci à toi césar, je ne pensais pas trouver un jour autant de mauvaise foi en si peu de lignes que dans ton post précédant !!!
...



cesar a écrit :L'important c'est qu'il y ait de nouvelles instrastructures dans l'agglo qui se construisent, qu'on ne freine pas l'initiative privé.
Le reste ce n'est que du détail.
Le reste ce n'est que du détail
...cesar a écrit :C'est drole cette maniere d'interpréter et de transformer mes propos
...
Mais la démocratie ce n'est pas cela.
Rémi a écrit :Demain, on déciderait d'implanter une université dans le fin fond de Corbas ou à Poleymieux au mont d'Or sans adapter l'offre de transport de façon cohérente qu'on trouverait ça aussi incohérent.

cesar a écrit :Chacun restera sur sa position C'est votre plus grand droit de croire ce projet mal ficelé mais cela fait 5 ans qu'il est en préparation (depuis 2006) et cela serait insulter les gens qui travaillent au SYTRAL depuis toutes ces années pour ce dossier.
cesar a écrit :Je ne sais pas qui vous a formaté pour penser comme cela
cesar a écrit :Moi, je pense que même si le terrain avait été extrémement bien placé, vous auriez été sinon autant dans une opposition farouche.
cesar a écrit :Il ne faut surtout pas qu'une personne soit au dessus du lot, il suffit que quelqu'un propose quelquechose qui sorte de l'ordinaire, quelqu'un qui ait une réussite éclatante pour que l'on coupe les vivre.
Rémi a écrit :Ce n'est pas parce que Montout est le seul site pouvant accueillir le stade que c'est forcément un bon emplacement en matière d'aménagement du territoire et de coûts pour la collectivité publique.



Évidemment, le foncier est limité ! J'entends par "position centrale", une localisation dans une zone proche des gros pôles centraux de l'agglomération et suffisamment dense par ailleurs pour que les TC y soient justifiés. Dans les années 1970, on a mis Lyon 2 à Bron. 20 ans plus tard, Lyon 3 s'est installé dans une zone centrale à proximité du métro. Même si les conditions politiques ont changé, il a été pris en compte le fait que le coût du foncier/immobilier était put-être à relativiser au global par rapport aux contraintes de déplacements. Un gros équipement placé dans une zone centrale, c'est un moyen potentiel d’optimisation des financements si la clientèle initiale (ou potentielle à court terme) hors gros équipement peut justifier l'investissement. Dans la même logique, même si la clientèle initiale n'était pas suffisante mais que l’investissement a déjà été réalisé, le gros équipement peut alimenter l'infrastructure et lui donner sa pertinence. 
). Du coup, ce n'est pas la linéarité qui est en cause mais le niveau d'écarts.
Pour OL Land, ça risque d'être pareil. Pour avoir suivi le projet T3, je me rappelle les difficultés pour développer de vraies centralités urbaines à Décines et Meyzieu. On est loin d'évolutions de l’environnement urbain qui rendront les investissements liés à la desserte d'OL Land justifiés au-delà des soirs de match... 
, et dans un bâtiment de taille suffisante (pour l'instant du moins). 
Métro C a écrit :Salut,
Concernant Lyon II à Bron, ce n'est pas une grande réussite : outre des locaux conçus plus ou moins mal et dans un état plus ou moins mauvais (mais ça, on aurait aussi pu le faire en centre ville), ce campus pose de nombreux soucis à cause de son éloignement : peu ou pas de résidences étudiantes à proximité, temps de transport depuis le centre ville très important, avec le T2 totalement surchargé... Lyon III, en revanche, a installé son campus à la Manu, en centre ville (au sens large du terme), bien desservi par bus et par le métro :MD:, et dans un bâtiment de taille suffisante (pour l'instant du moins).
Dans un contexte où Lyon II et Lyon III sont en concurrence directe , il est clair que le campus de la Manu est un atout très important pour Lyon III, le campus de Bron étant plutôt considéré comme un boulet (et ce au sein même de Lyon II, y compris au niveau de la direction).
(même si certains batiments ont dû être rénovés).
Je n'ai pas de cartes sous la main mais pour travailler sur des thématiques proches dans d'autres agglomérations, je ne suis pas sûr que les plus grosses zones d'emploi (en termes d'effectifs eet, surtout, de densité) se trouvent en périphérie. Contrairement à la représentation qu'on en a, les zones d'emploi sont souvent peu de choses face aux centres urbains. C'est souvent dû simplement à la densité qui est généralement très faible dans les zones d’emploi de périphérie. Ces zones sont souvent très étendues mais peu denses. Bref, je veux bien qu'on regarde ça sur une carte mais il faut se méfier des effets contre-intuitifs.
Il en va de même pour les zones commerciales. Dans le cas lyonnais, je crois que la Part-Dieu ou la Presqu'île sont des zones commerciales de première importance. Là aussi, on peut regarder des chiffres mais je me méfie pareillement des effets contre-intuitifs des grosses emprises au sol qui en réalité ont une faible densité d'occupation.
). En tout cas, la question n'est pas de savoir si on veut saborder les zones existantes mais de se demande si on développe les mêmes choses. Si on reprend le cas de nos universités, les établissements se développent à Gerland, en lien avec les entreprises. Quel est l’intérêt de concentrer des milliers d’étudiants sur un site ? Ce qui importe, c'est de pouvoir mutualiser certains moyens (restaurants universitaires, résidences, bibliothèque...) mais j'imagine qu'on sera d'accord pour dire qu'au-delà d'un certain seuil, une trop forte concentration est contre-productive. Qu'on regroupe les établissements, écoles, etc. qui sont dans le domaine des sciences de la vie et de la terre à Gerland, ça a tout sens. Mais quel serait l'intérêt d'y mettre aussi les lettres et les arts ? Ils n'ont pas besoin de partager la même bibliothèque et ils risquent d'être assez nombreux sur des localisations différentes pour qu'on puisse faire des restaurants universitaires.... En plus, ils ne devraient pas avoir trop de cours les uns chez les autres... Et même si c'est le cas, le fait d'être implantés en centre-ville leur permettra d'être à côté d'une ligne forte... Bref, entre ce modèle et le campus à l'américaine, mon cœur d'urbaniste ne balance pas... 


Ou auriez vous pu par exemple pu installer le parc technologique si cela n’avait pas été Saint Priest/Bron ?
), Vaulx-en-Velin et, plus généralement, un tas de coins présentant une accessibilité intéressante mais pas encore valorisés suffisamment (je pense à Villeurbanne "intramuros" dans sa portion est).Ce n’est pas en fait pas tant l’OL LAND qui vous gène au fond, c’est un certain système (système de consommation de masse basée sur d'immenses zones et les très grands bassins d’emplois) mais on ne peut pas refaire le monde non plus..
Mais quand on ne croit pas l'économie planifiée ou à la "main invisible du marché", on a juste le choix d'éviter que les stratégies de court terme (économiser sur le foncier pour ne pas s'occuper des problèmes d'accessibilité au site) ne l'emporte sur les problèmes à venir. Parmi ceux-ci, qu'on le veuille ou non, il y a le renchérissement des coûts de l'énergie. ça va peser sur tout le monde, entreprises compris, que ce soit directement ou indirectement (par la baisse de pouvoir d'achat des populations). Face à ça, on peut toujours se réjouir que les entreprises fassent des économies de court terme ou alors, on peut se dire qu'anticiper un minimum les contraintes à venir, ce n'est justement pas être "court-termiste"... 
amaury a écrit :Mais La Doua était largement extérieur il y a 50 ans (je crois que ça date de cette période). 50 ans pour s'intégrer à la ville, c'est pas mal... :crazy2:
amaury a écrit :De façon général, on ne peut plus dire aujourd'hui que le modèle de la ville dans la ville fasse rêver chercheurs, techniciens et élus... sauf s'il s'agit, au sens premier, d'une ville DANS la ville (et non en périphérie ;)). En tout cas, la question n'est pas de savoir si on veut saborder les zones existantes mais de se demande si on développe les mêmes choses. Si on reprend le cas de nos universités, les établissements se développent à Gerland, en lien avec les entreprises. Quel est l’intérêt de concentrer des milliers d’étudiants sur un site ? Ce qui importe, c'est de pouvoir mutualiser certains moyens (restaurants universitaires, résidences, bibliothèque...) mais j'imagine qu'on sera d'accord pour dire qu'au-delà d'un certain seuil, une trop forte concentration est contre-productive. Qu'on regroupe les établissements, écoles, etc. qui sont dans le domaine des sciences de la vie et de la terre à Gerland, ça a tout sens. Mais quel serait l'intérêt d'y mettre aussi les lettres et les arts ? Ils n'ont pas besoin de partager la même bibliothèque et ils risquent d'être assez nombreux sur des localisations différentes pour qu'on puisse faire des restaurants universitaires.... En plus, ils ne devraient pas avoir trop de cours les uns chez les autres... Et même si c'est le cas, le fait d'être implantés en centre-ville leur permettra d'être à côté d'une ligne forte... Bref, entre ce modèle et le campus à l'américaine, mon cœur d'urbaniste ne balance pas... ;)
Centrale et EM Lyon sont à Ecully. L'absence de ligne forte (et le fait que c'est très coûteux de construire une ligne forte jusque là-bas...) ne plait pas à tous les étudiants.... Et pourquoi être sélectif ? Où se situent les deux ENS lyonnaises ? A Gerland, non ? C'est sûr que ce n'est pas la place Bellecour mais ce n'est pas non plus Ecully, Bron et encore moins Marcy-l'Etoile (Lacroix-Laval) ! :)
"On ne peut cependant pas reprocher à ces entités de jouer sur les coûts et d'avoir volontairement fait abstraction de la desserte"
Ben tiens ! Qu'es-ce qu'y faut pas lire ! :mdr:
Je trouve que cette question est très mal posée parce qu'elle part du présupposé que les entreprises en question devraient impérativement être proches les unes des autres, qu'elles constitueraient un tout. A ma connaissance, ce n'est pas vrai. Dès lors, si elles ne nécessitent pas de logistique spécifique (ce qui me semble être le cas en général), elles auraient tout aussi pu s'installer à d'autres endroits. Je ne sais pas à l'époque mais aujourd'hui, je citerais : le Carré de Soie, le secteur des anciens ateliers SNCF d'Oullins, le Puisoz (puisque l'OL ne veut pas y aller ;)), Vaulx-en-Velin et, plus généralement, un tas de coins présentant une accessibilité intéressante mais pas encore valorisés suffisamment (je pense à Villeurbanne "intramuros" dans sa portion est).
Exactement ! On s'est enfin fait comprendre. :angel: Mais quand on ne croit pas l'économie planifiée ou à la "main invisible du marché", on a juste le choix d'éviter que les stratégies de court terme (économiser sur le foncier pour ne pas s'occuper des problèmes d'accessibilité au site) ne l'emporte sur les problèmes à venir. Parmi ceux-ci, qu'on le veuille ou non, il y a le renchérissement des coûts de l'énergie. ça va peser sur tout le monde, entreprises compris, que ce soit directement ou indirectement (par la baisse de pouvoir d'achat des populations). Face à ça, on peut toujours se réjouir que les entreprises fassent des économies de court terme ou alors, on peut se dire qu'anticiper un minimum les contraintes à venir, ce n'est justement pas être "court-termiste"... ;)
).
).tout dépend ce qu'on entend par campus.
cesar a écrit :Pas besoin de chercher loin.
Un campus (du mot latin désignant un champ) désigne l'espace rassemblant les bâtiments et l'infrastructure d'une université ou d'une école située hors d'une ville (Wikipédia)

cesar a écrit :Sinon pour recentrer un peu plus sur l'OL LAND, il serait intéressant d'afficher votre conception de la périphérie.
Parce que lorsqu'on vous lit, c'est pour vous c'est plus une coquille vide qu'autre chose.
Il ne faut pas qu'il y ait de zones commerciales, de technopoles, de campus, de parcs de loisirs, de projets dépassant une certaine taille (disons au moins 20ha)
En gros d'après ce que je comprends, il faut que la deuxième et troisième couronne de l'agglomération se cantonne à être une succession de ville dortoirs.
cesar a écrit :Quand on sait qu'après les impôts locaux, ce sont ces activités qui générent le plus de recettes fiscales pour ces villes.
Il serait vraiment intéressant d'exposer ce qu'est pour vous la périphérie ?
Par là, je veux dire que lorsqu'on a :
) ?
Bien sûr, Décines n'a pas grand chose à voir avec Marcy-l'Etoile et donc je n'irais pas dire que la périphérie est homogène. Mais mettre OL Land ici ou là en périphérie pose problème tant qu'il s'agit d'un projet à vocation d'agglomération (et éventuellement au-delà !).
)
) mais parce que la baisse de pouvoir d'achat des salariés limite les débouchés des entreprises et parce qu'inciter les salariés à utiliser les moyens de déplacements qui provoquent le moins d'arrêts de travail, c'est largement rentable pour elles...il n'y a pour moi aucunement besoin de "technopoles" ou de "projets dépassant une certaine taille
Parce que Lyon (la commune), elle n'a aucune recette fiscale, peut-être ?
De plus, on n'a jamais vu une "super zone d'activité" géante avec son lot de parking transformer une ville-dortoir en ville animée.
En effet, les personnes habitant en ville iraient à l'hôpital en ville et les personnes venant de la périphérie sud-ouest feraient moins de distance pour aller à Lyon Sud
cesar a écrit :Allez dire cela, à Antibes, Biot, Valbonne, Mougins et les autres villes périphériques etc.. qui accueillent Sophia-Antipolis !
30 000 emplois, 1400 entreprises et plus 4500 étudiants sur 2400ha
C'est le pôle de compétitivité de référence en FRANCE.


cesar a écrit :Il ne faut pas tomber dans le diktat des TC.
De toute façon, le risque du diktat des TC est aussi fort que celui du passage à la loi des "ayatollahs" de la marche ou du vélo. C'est dire !
On notera que dans le quartier (enfin, l'île) amstellodamois que j'ai évoqué, il ne s'agit pas de supprimer la voiture. Il s'agit de lui donner la place qu'elle peut occuper dans un contexte de congestion/pollution/renchérissement des coûts de l'énergie : un mode de transport à réserver à des usages spécifiques et qu'on n'est pas obligé de posséder en propre (ex. location, autopartage...).L'objectif d'une ville périphérique est de jouer un rôle de soutien, de complémentarité et non de reproduire le modèle de la ville "centre".
De façon générale, dans ton message, tu fais l'amalgame entre plusieurs choses. Je préfère me répéter :
. Dans tous les cas, même si on est obligé de faire étendu et, du coup, même si on est obligé d'aller voir hors du centre, rien n'oblige à aller trop loin...
).
), il sera bien embêté... Alors que s'il habite près d'une ligne de TC correcte et bien reliée vers le centre et va travailler dans une centralité pas trop loin non plus et elle-même bien reliée au centre, il aura au moins un peu d'argent à la fin du mois à mettre autre chose que dans sa voiture... 
ça préfigure les changements qui sont en train de s'amorcer. De plus en plus de familles abandonnent la deuxième voiture. Je doute, dans la plupart des cas, que les facteurs environnementaux occupent la place prépondérante dans ces choix... Si l'action publique ne cherche pas à limiter les impacts du développement économique avec une vision de court terme, on s'en mordra tous les doigts dans pas si longtemps. C'est pour ça que l'attitude du Grand Lyon dans cette histoire qui me semble du pur "oui oui" à l'OL me parait archaïque et court-termiste... 
.
.[br]: Mercredi 13 Juillet 2011 à 14:15:41[hr][/hr]leprogres.fr, 26 juillet[align=center]Procès OL contre Étienne Tête : renvoi au 2 février 2012[/align]
Dans un communiqué diffusé hier soir, l’OL a annoncé que « le procès intenté par le ministère public à M. Tête, qui devait se tenir le 22 juin dernier, a été reporté au 3 février 2012 à la demande de M. Étienne Tête ». Ce procès fait suite à une enquête consécutive à une plainte en dénonciation calomnieuse déposée par OL groupe et son Président. Le 24 janvier 2010, Étienne Tête avait dénoncé à l’Autorité des marchés financiers des irrégularités dans la communication financière de la société OL GroupeE. C’est le tribunal correctionnel de Paris qui examinera cette affaire.
[align=center]Grand Stade de Lyon : l’OL a signé un accord avec le groupe Vinci [/align]
Le projet de Grand Stade de 60.000 places avait fait l’objet d’une déclaration d’intérêt général en mai
L'Olympique Lyonnais a signé un protocole d'accord avec le groupe de BTP et de concessions Vinci pour son projet de Grand Stade de Lyon, dans le cadre d'un partenariat "privé/privé". Vinci s'engage à devenir actionnaire jusqu'à une participation maximum de 49% de la société maître d'ouvrage du projet.
Au cours d'une "phase projet" d'environ six mois, l'OL et Vinci négocieront le contrat de conception-réalisation, dont la signature devrait intervenir à l'issue de cette période,"afin de permettre le lancement de la phase construction", précise un communiqué de l'OL.
Le montant du projet devrait s'élever à 381 millions d'euros hors taxes, Vinci s'engageant à "participer au financement sous forme de fonds propres ou quasi fonds propres", en devenant actionnaire jusqu'à une participation maximum de 49% de la société maître d'ouvrage du projet.
Ces montants ainsi que les délais de réalisation, qui aujourd'hui fixent la date de livraison au deuxième trimestre 2014, seront précisés au cours de la phase projet.
D'autres investissements seront portés par des partenaires extérieurs, notamment les hôtels, le centre de loisirs et les immeubles de bureaux.
Le total des investissements privés liés au projet "devrait ainsi "représenter un montant global de 450 millions d'euros HT".
Le patron de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, avait promis de bâtir l'enceinte "sur fonds entièrement privés", pour 450 millions d'euros, la collectivité prenant en charge les seuls accès au stade pour 180 millions d'euros.
Le projet de Grand Stade de 60000 places à Lyon, retenu pour accueillir des matches de l'Euro-2016 de football qui aura lieu en France, avait fait l'objet en mai d'une déclaration d'intérêt général (DIG).
Cette décision a permis au Grand Lyon de lancer, du 14 juin au 18 juillet, les enquêtes publiques requises pour modifier le plan local d'urbanisme en vue de la construction du Grand Stade, un projet qui ne manque pas d'opposants.
Ces enquêtes doivent conduire à la délivrance du permis de construire, "fin 2011-début 2012", pour un lancement des travaux dès la signature du contrat de conception-réalisation, soit "au plus plus tard le 30 avril 2012".
Le groupe Vinci est par ailleurs concessionnaire du Stade de France et des stades de Bordeaux, Le Mans et Nice, dont il est aussi concepteur-constructeur.
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