Aubergine / pomme :
pas vendeur. Pas bon ça, coco ; tu aimes les aubergine toi ? bon courage.
Il vaut mieux situer le rapport affectif du client avec le produit en direction d'un environnement positif centré sur les plaisirs de la table. Si on parle "aubergine", la connotation gustative induite n'est pas le plaisir sucré, raffiné, construit, goûteux, mais l'alimentaire de subsistance primaire, immédiatement lisible dans le concept "aubergine = prune", "prune = contredanse", donc : coercition, contrainte, enfermement, hop, de là on passe à l'in-sup-por-ta-ble et donc le client N'EN VEUT PAS !
Or, c'est exactement le contraire qui est souhaité.
Si, si !
Or donc, il est souhaitable que la démarche marketing d'accompagnement soit articulée autour d'une constante simple :
Il y a la clim. Point 1. C'est frais.
D'où : il faut en profiter tout de suite. Point 2 (sinon, on rate quelque chose...)
Ca coûte 2 euros. Point 3. Analogie évidente avec le cornet 2 boules. (Sans la chantilly.)
Donc l'évidente conclusion est la suivante :
Parler, marteler, insister sur : "
pomme / cassis".
Ou éventuellement de "
pistache / cassis".
Nothing else.
Et s'en tenir à cette déclinaison simple sur l'ensemble du packaging, les faces répétitives tendant à la saturation informationnelle qui participe au renforcement du volet notoriété.
Mais il fallait aussi rechercher un concept sortant un peu du camaieu gris fer / gris souris / taupe clair / gris anthracite, avec une pointe de bleu pour faire gai...
Pas comme à Paris / Ile de France avec un design complaisant bien lourd, bien tarte, pour enfoncer le moral de tout le monde, quoi.
Juste un peu moins psychorigide...
